Frontières Personnalité Juridique

CHAPITRE 9 – LE CHOIX D’UNE STRUCTURE JURIDIQUE LORS DE LA CRÉATION D’ENTREPRISE Introduction : La création d’une organisation nécessite le choix d’une structure juridique. Ce choix est déterminant, tant pour le ou les porteurs du projet que pour la pérennité de l’organisation elle-même. Face à la diversité des statuts, le créateur doit s’interroger sur ses motivations (finalités de l’organisation, motivations liées au patrimoine, au statut social et fiscal, au fonctionnement de l’organisation)

PREMIERE PARTIE : LE CADRE JURIDIQUE DE LA VIE DES AFFAIRES Chapitre 1 Le droit objectif Chapitre 2 Les sources du droit objectif Chapitre 3 L'organisation judiciaire Chapitre 4 Les droits subjectifs Chapitre 5 La preuve des droits subjectifs Chapitre 6 L'exercice des droits subjectifs DEUXIEME PARTIE : LES ACTEURS DE LA VIE JURIDIQUE Chapitre 1 La personnalité juridique Chapitre 2 L'individualisation de la personne physique Chapitre 3 La capacité juridique des personnes physiques

CHAPITRE 5 : LA PERSONNALITE JURIDIQUE ET SON UTILITE    Les deux personnalités juridiques : Personnes physiques : tout individu est une personne titulaire de droits et d'obligation. La personnalité juridique est reconnue à tout être humain. Les enfants ou les personnes dont les facultés mentales et physiques sont aptérées disposent aussi de la personnalité juridique. L'attribution de la personnalité juridique aux êtres humains est fondamentale car elle permet de donner aux hommes des libertés

définie le droit par rapport à ses sujets, droit par rapport à ses titulaires. La règle de droit n’est plus abstraite, elle apparaît comme une faculté individuelle. La définition juridique de la personne. Qui est titulaire de droit public ? On s’intéressera à la protection des personnes : -on étudiera les droits de la personnalité (ex : respect de la vie privée, droit à l’image, etc…). -protection plus spéciale à l’égard de certains individus dits vulnérables (ex : mineurs, personnes âgées (tutelle)…)

international = le droit international public (DIP) = ius inter gentes Le DIP est un ordre juridique en soi qui se définit à partir de trois critères spécifiques : ses sujets, son objet et l’origine de ses normes. Un autre critère important du DIP demeure sa volonté de formuler le droit sur un plan international. I.a. Critères ▪ Ses sujets (personnes juridiques titulaires de droits ou d’obligations dans un ordre juridique) : très divers, ils sont également les auteurs de ses normes : états, OI, collectivités

RELATIONS INTERNATIONALES Références : Dictionnaire de la culture juridique, puf. « droit des gens » et « droit international », « les temps ». Manuel Droit international public Dennis Halland, puf. « chapitre introductif des manuels Johannet ». Un sujet de droit international : disposant de la personnalité juridique internationale cad aptitude à se voir reconnaître des droits et éventuellement des obligations= la capacité. Etat, organisation internationale, individus. Chapitre I :

veut dire plus petit. Comme tout être humain, la personnalité juridique s'acquiert à la naissance, le mineur est doté de la personnalité juridique, on pourrait penser alors qu'il est doté de la capacité juridique, c'est-à-dire de droits, d'obligations et d'aptitude à exercer des droits. Il y a des exceptions, certaines personne sont frappées d'incapacité notamment le mineur non-émancipé. Son aptitude à exercer ou à jouir des prérogatives juridiques se trouve diminué. Cet encadrement est imposé par

souveraineté fond de compétence internationale de l’Etat B – la souveraineté critère international de l’Etat C – les droits souverains de l’Etat * L’autonomie de décisions * La souveraineté et la soumission aux règles juridiques internationales Paragraphe 2 : les conséquences juridiques de la souveraineté A – le monopole de la législation B – le monopole de la contrainte [Publié par : www.ledroitpublicmarocain.com ] [Auteur : Fikri Bouchaib] * L’affaire Eichmann * L’affaire Raibon Warrior

d'asile. En 2007, le seul recours juridictionnel dont bénéficie l'opposant contre la décision administrative de reconduite à la frontière est le référé liberté. Ce référé présente un avantage mais aussi un inconvénient. L'avantage, c'est que le juge statue sous un délai de 48h. Mais le référé liberté n'est pas suspensif. Pendant les 48h, l'opposant peut être reconduit à la frontière. L'affaire est alors portée devant la Cour EDH. Cette dernière indique que le référé liberté n'est pas un recours juridictionnel

1ere partie, les différentes personnes On doit distinguer la personnes d’autres notions et en droit la personne va s’opposer aux choses. définition d’une personne par Cornu : c’est l’être qui jouit de la personnalité juridique étant précisé que selon ce même moteur, la personnalité juridique s’entend de l’aptitude qui appartient aux personnes physiques et à certaines personnes morales à être titulaire de droit et à être assujetti à des obligations. En droit nous avons les personnes physique