Fugitive Beaute

reflète dans ses poèmes. Le paysage dans ses poèmes est presque toujours la ville. Ses poèmes sont souvent impersonnels et cela est en réaction contre la poésie romantique. Baudelaire a aussi inventé dans sa poésie l’idée d’une beauté qui est moderne, c’est-à-dire une beauté qui est éphémère. Sa poésie était tellement contemporaine qu’elle fut difficile à appréhender par le public. C’était une nouveauté radicale, il inventait la poésie de son temps. Il n’est plus comme au temps de Lamartine un poète

souvenir nostalgique de l’amour a)L’évocation d’un souvenir amoureux dans le cadre de la nature qui a vue naître cet amour Le poème rapporte la souvenir d’une promenade. Temps du passé. Nature omniprésente, manifié. Il se dégage une harmonie, une beauté (vers 6.16.9). Espace de contemplation. Epithètes valorisantes « belle nature » (v.51). Evocation d’une femme aimée. Champs lexical de l’amour (v.23, v47), de l’affection ce poème est un véritable hymne à l’amour. b) Une élégie nostalgique Expression

balançant le feston et l'ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté Dont le regard m'a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ? Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être ! Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais

d'allumer les flambeaux de l'hymen, rougissait, et la pudeur donnait un nouveau charme à sa beauté ; et suspendue au cou de son père qu'elle enlaçait de ses bras caressants : «Cher auteur de mes jours, disait-elle, permettez-moi de garder toujours ma virginité ; Jupiter accorda cette grâce à Diane». Pénée cède aux désirs de sa fille. Inutile victoire ! tes grâces, ô Daphné, s'opposent à tes desseins, et ta beauté résiste à tes vœux. Cependant Phébus aime ; il a vu Daphné et veut s'unir à elle : il espère

est rapide, vif mais il peut très bien être aussi beau, il veut peut-être faire le rapprochement de la beauté de la fille à celle d’un oiseau, on ne s’est pas de qu’elle sorte oiseau il parle, il pourrais parler d’un flamant rose d’une beauté pure tout comme la jeune fille qu’il observerais. Au vers 3, il dit « A la main une fleur qui brille », ici la fleur est comparable à la jeunesse et à la beauté éphémère. Au vers 4 « A la bouche, un refrain nouveau », la jeune fille serais en train de chanter tout

puis de verbes, qui permettent de la caractériser. On passe ici du général au particulier. On part de la silhouette (général) à la main, la robe (particulier) . On a aussi des métonymies, le vêtement est essentiel à l’esthétique de la modernité. La beauté est à la fois éphémère mais également éternelle. Vers 3 --> « une» (x2) : article indéfini --> il renvoit au caractère éphémère Vers 2-3 --> Cadance ascendante, le rythme s’allonge, impression que la femme se rapproche de l’auteur Vers 3-4 --> Rythme

moderne avec la peinture académique.   Ce mouvement pictural est notamment caractérisé par des tableaux de petit format, des traits de pinceau visibles, la composition ouverte, l'utilisation d'angles de vue inhabituels, une tendance à noter les impressions fugitives, la mobilité des phénomènes climatiques et lumineux, plutôt que l'aspect stable et conceptuel des choses, et à les reporter directement sur la toile. La lumière est une lumière naturelle provenant du soleil. Les ombres au sol sont des repères qui

Proverbe Chinois Retour liste des thèmes Beauté physique " La beauté du corps, découronnée de celle de l'âme, n'est un ornement que pour les animaux. " Démocrate " Les jolies filles ne sont pas toujours heureuses et les garçons intelligents sont rarement beaux. " Proverbe Chinois " A côté de la beauté, l'esprit et le coeur font toujours l'effet de parents pauvres. " Etienne Rey Retour liste des thèmes Beauté féminine " La beauté sans la grâce attire, mais elle ne sait pas

J'ai à raconter à quelle occasion je fus pris d'abord de la maladie du siècle. J'étais à table, à un grand souper, après une mascarade1. Autour de moi mes amis richement costumés, de tous côtés des jeunes gens et des femmes, tous étincelants de beauté et de joie ; à droite et à gauche des mets exquis, des flacons, des lustres, des fleurs ; au-dessus de ma tête un orchestre bruyant et en face de moi ma maîtresse, créature superbe que j'idolâtrais. J'avais alors dix-neuf ans ; je n'avais éprouvé

Proust : « du côté de chez Swann »L’être aimé n’est pas à l’origine du sentiment amoureux. Aimer est une aspiration illusoire, le désir se fixe sur une vision imaginaire de l’autre. Là où pour Stendhal, l’être aimé se voit attribué des perfections morales et physiques qui en font un être parfait, la cristallisation proustienne est plutôt une poétisation fantasmée qui projette son objet dans un univers esthétique. Pas de coup de foudre mais des transmutations de sentiments à partir d’événement involontaire