Fuite De Liquidité

l’épargne se fait en deux temps. La consommation dépend du montant du revenu et l’épargne est un résidu. - L’épargne est placée ou thésaurisé en fonction du taux d’intérêt. - Donc le montant de l’épargne placé dépend de la préférence pour la liquidité. - Conséquence : l’épargne n’est qu’un résidu et l’égalité entre épargne et investissement se fait après B. L’EPARGNE NE DETERMINE NI LE NIVEAU D’INVESTISSEMENT NI LA CROISSANCE - L’épargne en temps que résidu peut affecter le niveau de la consommation

mission de lutter contre l'inflation et de défendre la stabilité des prix. Il faut remarquer que la crise des subprimes a mis à mal la santé des banques, ce qui a nécessité de la part des Banques centrales qu’elles fassent d'importants apports de liquidités. Cela a fait craindre à beaucoup des poussées inflationnistes. Mais en réalité, la crise s'est traduite aussi, surtout après le gonflement des dettes publiques et des politiques budgétaires restrictives qui s'en sont suivies, par un risque de déflation

économie fermée des 30G au travers ISLM permet de constater que tant qu’il n’y a pas de contraintes extérieures, la politique budgétaire encore plus si elle est accompagnée d’une politique monétaire accommodante et si on est dans zone de trappe à liquidité est d’autant plus efficace. A partir des années 1970 on se rend compte que le passage en économie ouverte remet en cause cette efficacité des politiques budgétaires de relance car contexte de stagflation. En quoi la mondialisation limite donc la

l’investissement. Chez Keynes l’épargne est la part non consommé du revenu, il s’agit d’une fuite dans le circuit économique, freinant l’activité de production. Epargne = revenu-consommation Pour Keynes l’épargne peut être soit investie sous forme ou thésaurisé. Selon Keynes les agents renoncent à convertir la totalité de leur épargne en placement afin d’en garder une partie sous forme de monnaie. On appel la fonction de liquidité, le désir de détenir une épargne liquide de la par des ménages. En outre le taux

fiscaux comme faisant partie des principaux responsables de la conjoncture économique actuelle, ils sont en quelques sortes les « boucs émissaires », alors qu’ils ne sont pas à l'origine de la crise mais, de par leur législation, ils favorisent la fuite de capitaux. Dans le but de palier à cette crise économique, les Etats ont immédiatement lancé des mesures contre ces derniers. L'OCDE (Organisation de Coopération et de Développement Economiques) a mit en place une liste de paradis fiscaux partagés

monnaie détruite. B/Mesure (agrégats monétaires) : La masse monétaire se constitue de l’ensemble de la monnaie en circulation, elle prend des formes très différentes et se classe en trois agrégats en fonction de leur plus ou moins important degré de liquidité : M1 : monnaie fiduciaire et dépôts à vue. M2 : M1+les dépôts à terme d’une durée supérieure ou égale à deux ans + les dépôts remboursables avec un préavis inferieur ou égal à 3 mois. M3 : M2 + pensions + les titres d’OPCVM monétaires et les instruments

obtient de la monnaie fiduciaire, grâce à une opération de réescompte, qu’elle cède à la banque populaire. Cette opération a permis à la Banque Centrale de créer de la monnaie fiduciaire. Elle a doté la banque populaire d’un supplément de liquidité, élargissant ainsi sa base de création monétaire selon le mécanisme du multiplicateur. Bilan définitif de la PB Actif Passif Créance sur la BCM - 5000 Monnaie fiduciaire 5000 Compte de A 5000 2 -

degré de liquidité : M1 : est constitué par les disponibilités monétaires (billets, monnaie et dépôt à vue) M2 : est constitué de M1 auquel on ajoute les placements à vue en francs (on parle à leur propos de quasi-monnaie). M3 : inclut M2 auquel sont ajoutés les placements à terme, les dépôts de devises... M 4 : est composé de M3 et des bons du Trésor et des billets de trésorerie au-delà de M4, il y a les agrégats de placement P1, P2, P3. De ces agrégats on calcule le taux de liquidité qui permet

des anticipations de hausses de prix futures, entraînant la formation de « bulles ». Pour fournir aux investisseurs un rendement élevé, les gestionnaires de fond ont été incités à se porter sur des actifs de plus en plus risqués. L'abondance de liquidités mondiales et le bas niveau d'intérêt ont en outre favorisé « l'effet de levier », c'est-à-dire le recours à l'emprunt pour financer l'achat de ces actifs. Des produits financiers sophistiqués se sont développés sans évaluation ou contrôle satisfaisant

intérêts à ceux qui en ont besoin, mais le principe est le même, une récession est du à une accumulation des liquidités, les gens épargnent plus qu’il n’investissent. On peut y remédier en émettant des coupons. La Réserve Fédéral et les banques centrales sont celles qui émettent les coupons, leur tâche est de maintenir la stabilité de l’économie en émettant ou en prélevant des liquidités. Mais avant, pendant les années de la Grande Dépression qui est née de l’effondrement de la demande solvable