Fusil de précision

ans va au parc, accompagné de sa mère, dans l’espoir de jouer avec des camarades de son âge. Seulement Dolfi reste seul et sans amis, comme à l’habitude et sa mère s’inquiète sur son cas. Ses camarades se moquent de lui, pourtant, ils admirent le fusil de Dolfi et l’invitent à se joindre à eux. Le petit Dolfi ne sent pas le piège qui le blessera et il rentre en pleurs chez sa mère. IV- Personnages : A) Relations Dolfi (Adolf Hitler) : le protagoniste ; un enfant La maman : la mère

général de l'armée belge. Portraits des victimes et des bourreaux L'essentiel de son travail est évidemment consacré aux années de guerre et au sort tragique des quelque 3.500 prisonniers qui y séjournèrent dans des conditions inhumaines: 164 furent fusillés et 25 pendus. Pour deux tiers de ces malheureux, leur passage à Breendonk ne fut qu'une étape avant les terribles camps de concentration allemands. Afin de donner une image aussi représentative que possible de la vie de ces prisonniers et des souffrances

intervention tout à fait classique qui a brutalement mal tourné. Un cas de routine peut ainsi devenir une situation extrême. On a commencé à s’intéresser aux situations de stress en 1914, avec le “syndrome du vent du boulet”. Il est arrivé que l’on fusille des gens parce qu’ils refusaient d’aller au front. Peut-être manifestaient-ils de façon ultime et puissante qu’ils ne pouvaient pas supporter d’être à nouveau confrontés à ce qui les avait déjà stressé de manière intolérable. Ce syndrome a ensuite

L’auteur, qui a beaucoup de sympathie pour lui et qui lui a prêté bon nombre de ses propres idées, voire de ses expériences personnelles, nous raconte son histoire (c'est le seul personnage dont nous connaissions aussi bien le passé). Après avoir vu fusiller un homme en Hongrie et découvert que nous étions tous des pestiférés (découverte fort antérieure à la peste d'Oran), il a refusé, avec un aveuglement obstiné, tout ce qui fait mourir. Sa morale est devenue celle de la sympathie, de la compréhension

DAGUERRE (1787-1851) Il prend vent des recherches de Nièpce. Leur association, scellée en 1827, s'éteint avec la mort de Nièpce en 1833. Daguerre est alors assisté avec un jeune architecte, Eugène Hubert. Très vite il s'oriente vers le domaine de la précision de l'image. Il met au point son procédé, le daguerréotype : il consiste en une plaque de cuivre sensibilisée au bitume de Judée, exposée dans une chambre noire, puis révélé aux vapeurs de mercure, donnant une image d'une grande finesse dans le rendu

destin d’une jeune femme romanesque, mais décrit aussi les moeurs de la Normandie des années 1840. On y rencontre toutes les figures qui composent une petite ville de province. Les coutumes, les superstitions, les habitudes y sont décrites avec une précision minutieuse. On le voit, les principaux motifs du réalisme (et du naturalisme) sont le plus souvent en lien avec des questions de société. Ces choix thématiques expliquent aussi la part importante de la description dans les récits. Des récits de

judiciaire. On trouve ici l'idée de tourner la page. • la mémoire communiste Ils s'appuient sur leur engagement dans la résistance intérieure à partir de 41. Ils mettent en avant leur sacrifice pour la France et ils développent le mythe des «75.000 fusillés» estimé par les historiens à 10.000. Ils mettent en avant le petit peuple et dénoncent les élites et le gouvernement. C'est une vision marxiste. Il y a la volonté d'effacer le pacte germano-soviétique. Après la libération, le PC devient le premier

l’action ou les personnages. Il peut encore revenir en arrière (analepse) ou de se projeter dans le futur de l’histoire qu’il raconte (prolepse)) · Première partie du texte : actions de Gavroche, avec certaines pauses : les couplets + précisions = énumération des actions au PS, son attitude, cf aussi troisième balle qui se rapproche, danger imminent ms rythme tranquille des actions, précises = sang-froid « il ramassa son panier, y remit, sans en perdre une seule, les cartouches qui en étaient

décrit une bataille antique or on a souvent l’habitude de lire des poèmes décrivant une des deux guerres mondiales (ce poème retracerait une bataille antique des Parthes). Ici, on retrouve donc le contexte d’une bataille antique : avec une certaine précision du cadre temporel (« centurions », « tribuns », « cohortes » …). Cette scène d’après bataille nous présente les conséquences, les dégâts de la guerre : les nombreuses pertes, la fatigue (« la sueur coulait de leurs visage bruns ») et le désordre

la Rochelle. Une estampe porte en sous-titre : « le triste embarquement des filles de joie de Paris et leurs adieux, à leurs amants, ». L'escorte est composée d'archers « vêtus d'un uniforme bleu d'un chapeau bordé d'argent, armés d'une épée, d'un fusil à baïllonnette. Ils ont mauvaise presse. Brutaux, cupides, ils rançonnent ou dépouillent les prisonniers. Les incidents se multiplient. Les filles du convoi se mutinent, la foule prend le parti des déportées ; même, un amant, aidé de gardes du corps