Fusions Acquisition Dans Le Secteur Automobile

leur activité. Quatre niveaux Il existe plusieurs définitions de la mondialisation/globalisation, selon le niveau auquel on se situe. On peut parler de la mondialisation de la planète tout entière, d'un simple pays, d'une industrie ou d'un secteur d'activité spécifique, d'une entreprise particulière, voire d'un « métier » ou d'une fonction particulière au sein d'une entreprise. Au niveau mondial, la globalisation désigne l'interdépendance économique croissante des pays telle qu'elle se reflète

il accroît sa richesse nationale. On dit que pour cette production, il détient un avantage comparatif. En contrepartie, il devra acheter les biens qu'il ne produit plus. Selon cette théorie, chaque pays a intérêt à se spécialiser dans les secteurs d'activité où son avantage relatif en termes de productivité est le plus élevé ou bien où son désavantage est le plus faible. C'est-à-dire que, même s'il est moins productif que ses partenaires sur tous ses produits, il doit se spécialiser sur ceux

leurs conséquences sociales a- Une désindustrialisation de l'Europe ? Dans les pays les plus développés : industries du textile, de l'habillement → nouvelle division internationale du travail + sidérurgie, métallurgie, construction navale + automobile, électroménager, chimie + mnt, nouvelles technologies (informatique, NTIC). Processus de désindustrialisation : vieillissement de l'appareil productif ralentissement de la demande interne émergence de nouveaux marchés hors d'Europe mise en

réalisée par la société ATKearny, les concentrations semblent être un phénomène inéluctable. Cette étude menée entre 1988 et 2000, dans 53 pays et auprès de 25000 entreprises, montre que les mouvements de concentration suivent une courbe en « S », tout secteur d’activité confondu. A l’heure de la mondialisation et du libéralisme économique, la question des délocalisations (def p. 404) et des concentrations des entreprises est posée comme un problème aussi bien social qu’économique, tant au niveau des pays

est capitale pour la survie de l'entreprise. La variation de cet élément nécessite donc une analyse de l'apport réel en productivité et en même temps un souci de flexibilité de ces équipements productifs par rapport aux évolutions de la demande du secteur d'activité. La notion de capital ici fait référence à l'exploitation d'un domaine connu par l'entreprise et à l'accumulation depuis sa naissance de son savoir-faire et de son expérience. ii. Les nouvelles technologies L'investissement

ETUDE DE POTENTIEL DU SECTEUR INDUSTRIEL EQUIPEMENTS AUTOMOBILES AU MAROC ETUDE REALISEE DANS LE CADRE DE LA COOPERATION MAROCO-ALLEMANDE GTZ 2003 ETUDE REALISEE PAR Cabinet : Consultants internationaux : INTEGRATION Bruno DE CENIVAL Jean Claude HALLEZ Gilles MAGUET Adnane BERBACHE Mehdi LAHLOU Leila KANOUNI Consultants nationaux : COMITE DE PILOTAGE Président : M. Ali MOAMAH Président de l’Association Marocaine pour l’Industrie et le Commerce Automobile (AMICA) Membres

Le client a radicalement changé Le client est devenu versatile Le client est devenu expérimenté Le client a des valeurs (écologie, droit du travail, démocratie) 7 L’environnement de l’entreprise: de plus en plus complexe Libéralisation Des secteurs Baisse des prix Nouvelles réglementations Nouveaux risques (piratage, terrorisme,..) Essor des NTIC Montée de la concurrence Changement Du comportement Des clients Succession de crises Introduction La communication: donner du sens

grandes organisations en quête d'identité et d'unité. e - Impact relatif à l'intensité concurrentielle du secteur Selon une étude de deux professeurs de Harvard, J. Kotter et J. Hesket, il apparaît que l'impact de la culture d'entreprise sur la performance économique est d'autant plus important que les entreprises sont confrontées à un niveau de concurrence élevé. A l'inverse, dans un secteur en plein développement peu compétitif, son impact devient négligeable. 4) La culture d’entreprise et le

SECTEUR DES ASSURANCES AU MAROC Nul ne peut ignorer le rôle que joue le système financier dans la stimulation de la croissance et ce, à travers la collecte et l'injection des flux financiers dans les rouages de l'économie. Dans ce cadre le secteur des assurances, entre autres, joue un rôle important. Ce secteur ne cesse de prendre de l'importance, que ce soit par les sommes importantes qu'il draine ou au niveau des tendances lourdes qui le caractérisent ces dernières années (concentration, libéralisation

0,00% Solde budgétaire -9,9% du PIB Dette publique en % du PIB 245% du PIB Balance commerciale -68 Mds euros IDH 0,91 Monnaie 1 yen = 0,0076 euro Dépenses d'éducation en % du PIB 3,80% Part des principaux secteurs d'activités dans le PIB Agriculture : 1,2% Industrie : 27,5% Services : 71,4% • Commerce extérieur – – – – – – – – – – Exportations : 689 Mds euros. Importations : 621 Mds euros. Principaux pays clients : Chine (18%), Etats-Unis