Fusions Acquisitions Attijariwafa Bank

permettent d’autoriser des coopérations et des ententes à un certain niveau. Les informations issues de l’étude documentaire seront affinées, dans la seconde étape, par les entretiens réalisés auprès des différents acteurs du secteur bancaire, à savoir, BANK AL-MAGHRIB, BANQUES, SOCIETES DE FINANCEMENT, ASSOCIATIONS DE MICRO-CREDIT, GPBM, APSF, FNAM, MENAGES, ENTREPRISES, CCG, MINISTERE DES FINANCES. La réalisation de ces entretiens nous a permis d’appréhender le secteur bancaire plus profondément, et

AU MAROC -2007- 16 Octobre 2007 SOMMAIRE Sommaire Glossaire PRESENTATION GENERALE PARTIE I: LES INVESTISSEMENTS DANS LE MONDE EN 2006 I. ETRANGERS DIRECTS LES RAISONS DE LA CROISSANCE DE L’IDE EN 2006 Multiplication des Fusions & Acquisition internationales au niveau des pays développés Investissements Greenfield Réinvestissements des profits Rôle des Sociétés Transnationales « STN » Persistance de la tendance des modifications apportées aux régimes d’investissement II. FLUX

characteristics and earnings management in Tunisians banks. Specificities of banks in general, and the governance problems of Tunisians banks in particular, has gave a great importance into a board of directors as an efficient corporate governance to monitor the bank and prevent the management from engaging in earnings management. We find that the board size and the presence of state and institutional directors are positively related to discretionary loan loss provisions. In contrast, the use of discretionary loan

du risque, les méthodes disponibles pour sa mesure et procédés de limitation du risque de crédit. Un paragraphe est également prévu pour l’aspect contrôle et suivi du risque de crédit illustré notamment par les directives de la circulaire de Bank Al Maghreb n° 19. La troisième partie de ce travail sera dédiée à une analyse critique du système d’étude, d’analyse, de suivi et de contrôle du risque au sein de LA BMCI. Nous traiterons des défaillances du système actuel et proposerons des recommandations

 Remerciements Liste des abréviations BAM : Bank Al-Maghrib (la Banque Centrale du Maroc) BMCE : Banque marocaine du commerce extérieur BMCI : Banque marocaine CC : Conseil de concurrence CCF : Comité chariâ pour la finance CEC : Comité des établissements de crédit DGI : Direction Générales des Impôts DTFE : Direction du

performance et prudence  LAGSIMI Zineb, MAILOUCH Younes  2010  Le commissaire aux comptes et la gouvernance d’entreprise  LABO NOMA Adamou  2010  Audit des casinos  LAOUIJA Mouna  2010  La due diligence dans les opérations de fusion-acquisition  LAAMARTI Tarek, EL AOUNI Firas  2010  La prise en compte du risque dans la décision d´investissement  LAABOUDI Samia  2010  L’Audit et la fraude: cas d’une PME commerciale  KONZAN Abaud Jean-Martial  2010  Quelles perspectives

développement l’échelle internationale, en s’implantant en Allemagne et en Espagne. En 1995, les cabinets Mazars et Guépard Viala (perçus comme des cabinets de taille équivalente) fusionnent. Cette fusion a permis au cabinet de détenir une part significative du marché . En 1998, Mazars fusionne avec l’un des pionniers des métiers de l’audit aux États-Unis, nommé Neville Russell. Mazars poursuit son développement international, en s’alliant plusieurs firmes. Il s’est octroyé l’opportunité de

groupe :  Acquisition de 100% de Upline Group et regroupement des activités de banque d’investissement. I. Présentation de la banque populaire : 6 | P a g e A Z Z E D D I N E A L L I O U I  Prise de participation majoritaire de 53,11% dans le capital de Maroc Leasing.  Absorption de la fondation Zakoura par la fondation Banque Populaire pour le microcrédit.  Prise de participation conjointe avec Attijariwafa bank dans le capital

étrangers, à plusieurs fonds d’investissement (AM Invest, SGAM Kantara Morocco…) ; Participation au compartiment Maghreb du fonds d’investissement AlterMed dédié aux PME en association avec «Viveris Management», doté d’un montant de 21 M d’euros ; Acquisition de Chaabi Courtage, une société spécialisée dans l’intermédiation en assurance et réassurance ; Renouvellement de la notation « BB+ / stable / B » attribuée par l’agence de rating Standard & Poor’s ; Certification des activités crédits et remises

0% 2000 5,6% 2003 2004 Croissance du PIB 2005 4,4% 4,6% 2,9% 2,4% 4,2% 3,5% 1,4% 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013E 2014E Croissance du PIB non-agricole Source : Rapports annuels Bank-Al-Maghrib, Estimations CFG Research pour 2013E, et Estimations CFG Research pour 2014E sur la base d’un consensus des prévisions de divers organismes nationaux et internationaux Le ralentissement des activités non agricoles s’explique principalement