Gabelle du sel

offices (propriétaires de leur charge-office) Tiers-État aucun privilège - la taille (impôt) - au roi élevée - bourgeois - impôts indirects (commerce) - petit peuple au dont - petit peuple des des villes gabelle (impôt sur villes : aisés ou - paysans le sel) pauvres - la dîme (dixième - de la récolte) au laboureurs : aisés clergé - grande masse - redevances aux des nobles pauvres P roi, bourgeois : 98 % (près de​  ​ 20 M) dont 85 % de paysans paysans paysans

Languedoc et Provence où elle porte sur les biens due par les seuls roturiers, bien des villes en sont exemptées ; fardeau pèse sur les ruraux *impôts indirects sont plus variés : gabelle porte sur le sel qui doit être acheté dans greniers royaux nombreuses provinces jouissent d’exemptions et volonté de François Ier d’étendre la gabelle dans le Sud-Ouest entraîne grande révolte début du règne de Henri II (1548) Aides, créées au XIVe s., pèsent en théorie sur ttes les marchandises mais surtout boissons et

des besoins du seigneur, ce qui pouvait angoisser le peuple. On peut également citer le champart qui désignait une redevance en nature proportionnelle à la récolte, en outre c’était la part du champ qui revenait au seigneur et la gabelle qui désignait l’impôt sur le sel. Certes, il y eu une première tentative de modernisation de l’économie en Mars 1776, proposée par le contrôleur général des finances Anne Robert Jacques Turgot (1727 à 1781) au roi Louis XVI. Ce projet de réforme préconisait la

changement de gouvernance effective Pour assurer sa souveraineté, le roi à besoin de la force et d’importantes ressources financières. Sous Charles VII et sous Louis IX, l’impôt (la taille sur les roturiers, les aides, taxes sur le commerce, la gabelle du sel) et l’armée, devenus permanents, représentent deux nouveaux pouvoirs considérables du roi, en fait deux des fondements de l’état moderne ( Jusque là le roi devait compter sur « le ban et l’arrière plan », c'est-à-dire l’aide militaire volontaire

gouvernement : une critique de l’administration locale, de la fiscalité, des impôts directs (la taille, la capitation, et les vingtièmes), de la détermination de la taille (ce sont des critères arbitraires, de la fiscalité indirecte, et de la gabelle (impôt sur le sel), car il est arbitraire. Le mode de perception est aussi critiqué, car ils sont perçus par une institution appelée la « ferme générale » (association de financiers qui font des avances au gouvernement mais à l’avantage de récupérer l’impôt

été forte pendant la campagne de non-violence commence à s'étioler. Gandhi essaye bien d'atténuer ces différences à travers divers moyens, incluant un jeûne de trois semaines en automne 1924, mais avec un succès limité. 5. Le Swaraj et la marche du sel (Satyagraha) Gandhi reste en dehors de toute agitation durant la plus grande partie des années 1920, préférant résoudre les différents entre le parti Swaraj et le Congrès national indien, et multipliant les initiatives contre la ségrégation des

1701) et le dixième (10% des revenus de l'Etat). A la fin du XVIIIème on note l'avantage des pays d'Etat qui ne payent que 13% des impôts directs. Les impôts directs sont un système plus complexe: - La gabelle se partage entre les pays de petite et grande gabelle (selon la présence de sel). - Les traites. - Les aides (sortes d'impôts à la consommation). Ce système est d'ailleur pourvu de multiples défauts, du fait de la difficultés de lever ces impôts, de la carte fiscale de la France confuse

marchandises. Puis la gabelle, qui était un impôt sur le sel. En fait, tout sujet du roi avait obligationd ‘acheter un certain nombre de sel dans les greniers à sel du roi, et d’autre part le sel était fortement taxé. Saché que cette denrée était fondamentale pour la conservation des aliments. Cet impôts était appliqué de manière inégale sur le plan territorial. Dans le pays dit des grandes gabelles, IDF, orléans, etc, impôt frappant le sel à la vente et monopole royal dans la vente du sel de cuisine obligatoire

sont les plus élevés d'Europe: huit à dix pour un à Roquetoire près de Saint-Omer, à Gosnay près de Béthune et sur des terres de Notre-Dame des prés de Douai. Les 18 vignobles s'étendent et produisent des vins qui se font une vive concurrence. Le sel alimente une exportation de plus en plus importante et fait, avec le vin, la fortune des ports atlantiques (Bayonne, Bordeaux, La Rochelle, Bourgneuf). La guède ou pastel donne lieu à une culture commerciale en Picardie. Les Foires de Champagne, qui

millions de taëls sur 40). Le tribu en grain versé par les provinces grosses productrices de riz du Bas Yangzi est destiné à nourrir la cour, le clan impérial, les fonctionnaires et les troupes de la capitale. Les ressources des douanes et de la gabelle également. L'Etat impérial contrôle le développement général de l'économie. Responsabilités économiques considérables. Maintien d'une structure sociale figée, qui ne correspond plus à la dynamique réelle des forces économiques.