Gaius

classer les obligations en fonction de leur source. Cette classification a été adoptée par le code civil. C'est une classification qui a traversé les siècles car on la doit aussi au droit romain. Elle apparait pour la 1ère fois dans les institutes de Gaïus, (IIème siècle) dans lesquelles on trouve d'une part les obligations qui naissent d'un contrat et d'autre part celles qui naissent d'un maléfice (délictuelle). Cette classification est ensuite complétée par Justinien, 6ème siècle, dans ses institutes

d’éteindre un lien de droit et d’en créer un nouveau en substituant le créancier au débiteur (article 1271 et suivants du Code Civil). -    Les synagraphum et les chirographum : Ces outils sont des instruments écrits qui sont utilisés par les pérégrins. Gaius les définit comme des « actes écrits dans lesquels on reconnaît devoir ou par lesquels on s’engage à dare sans stipulation ». Dans le synagraphe, deux exemplaires sont écrits, un procès verbal rédigé par les témoins relatant leur promesse. Le chirographe

des œuvres doctrinales la plupart du temps, des œuvres qui sont consacrés au droit privé. Parmi ces œuvres, on trouve des traités, des commentaires au droit civil, à l’édit du préteur. Il existe aussi des manuels d’enseignement : « les institutes de Gaius » aux alentours de 150-130avant J.C., « l’enchiridion de Pomponius ». Méthode casuistique : une méthode qui part des cas concrets, les juristes vont traiter les cas pratiques qu’on leur soumet et ils vont relever les questions juridiques que pose

plus à la société des prêtres, mais sont de plus en plus des fonctionnaires de l’empire. * Progressivement le développement de ce métier s’accompagne de la création d’un parcours d’apprentissage du droit. * On voit apparaître des traités de GAIUS ou CELSE « l’art du bon et du juste ». * * Cette science parvient en effet a une grande complexité en répondant aux questions juridiques, mais avec l’apport de la philosophie grec on réussi a parvenir a une haute conception du droit. *

"que") : on prononçait donc les lettres grecques Γ (gamma) et K (kappa) de la même manière. Chez les Romains, qui faisaient la distinction, ceci entraîna une certaine confusion dans l’écriture et la lecture des noms propres notamment. Fallait-il écrire Gaius ou Caius ?Pour lever cette ambiguïté, les Romains ont été amenés à créer une nouvelle lettre, le G, en ajoutant une barre horizontal au C qui, de son côté, faisait quelque peu double emploi avec le K. On notera que dans notre alphabet hérité du latin

Le terme de jurisprudence (en droit romain) renvoie à des avis de juristes : les jurisconsultes. Ces spécialistes de droit romain vont être à l'origine de l'ouverture des premières écoles de droit et vont rédiger des manuels : les institutes. Gaius va rédiger un manuel célèbre. Ces jurisconsultes vont avoir pour fonction d'étudier le droit de manière théorique. Ils vont analyser les différentes situations juridiques et vont dégager les notions de droit des obligations et de contrat. c. Le

rechercher le sens juridique des termes, il conseille de rechercher la notion par rapport a des auteurs, de les comparer. Il y a deux écoles de jurisprudence, les sabiniens et les proculiens. - Julien : c’est l’auteur de l’édit perpétuel. - Gaius : 2eme S - Papinien (fin du 2eme S) - Paul (fin du 2eme S) - Ulpien (fin du2emeS) Ils ont fait des recueils, « RESPONSA » réponse aux questions de droit, ils ont fait des « DISPUTATIONES » ce sont des discussions sur des points controversé. Et

dieux de chacune des parties1. Les cités grecques fixent des règles relatives au traitement des prisonniers de guerre et s'associent pour gérer en commun des fonctions particulières telles que la gestion du sanctuaire de Delphes. Les Romains, avec Gaius, conçoivent le jus gentium comme un droit qui s'applique à l'ensemble de l'humanité. Il ne s'agit pas toutefois du droit international public tel qu'on le conçoit aujourd'hui, car il concerne le traitement et la protection des étrangers sur le sol

mariage romain. Le fondement de tous les droits civiques et privés du citoyen est donc la libertas. La perte de la libertas provoque la perte de la citoyenneté. C’est donc le tuer du point de vue juridique. C’est la capitis deminitio maxima dont parle Gaïus. Elle résulte soit de la captivité, soit de la réduction en esclavage d’un citoyen qui ne peut se faire qu’à l’extérieur de l’empire romain. Ces prisonniers de guerre ou ces esclaves peuvent retrouver le caput en même tant qu’ils peuvent retrouver

politiques PRINCIPAT (Haut-empire) 27-14 après J.-C. 14-37 Auguste Tibère Sources du droit Science du droit privé privé Sabiniens Proculiens Capito(^) Labeo(^) Massurius Sabinus (^) Cassius Longinus (^) M. Cocceius Nerva (^) Proculus (^) 37-41 Gaius (Caligula) 41-54 54-68 Claude Néron M. Cocceius Nerva(fils) (^) Iavolenus Priscus(^) Déclin des antagonismes d'écoles 69-79 79-81 81-96 96-98 Vespasien Titus Domitien Nerva http://vinitor.egss.ulg.ac.be/fichiers/syl/syl.html 15/11/2010