Galbraith

ménage un degré de liberté supplémentaire pour fixer son prix sur « son » marché. La transparence de celui-ci laisse place dans la réalité à une certaine opacité. La publicité participe à ce conditionnement du consommateur qui amène John Kenneth Galbraith (11) à parler de « filière inversée » car, selon lui, l’offre ne cherche plus forcément à satisfaire les besoins exprimés par les agents mais s’attache plutôt à susciter une demande nouvelle pour les biens et services qu’elle produit. La libre entrée

négative. Dans la théorie économique, la situation n’était guère différente. Prenons l’exemple de l’analyse de J.K. Galbraith sur Le nouvel état industriel (1968). Il distingue les « managers » et les « actionnaires ». Certes, on objectera qu’il ne s’intéresse qu’aux grandes entreprises. Mais, cela signifie également que les petites ne sont 4 plus dignes d’intérêt. J. K. Galbraith parle du petit entrepreneur en des termes peu gratifiants. C’est un individu peu instruit et un peu frustre. En

bien ou d’un service ne constitue pas un acte économique final mais un acte intermédiaire ». T. VEBLEN (1857-1929) Dans Théorie de la classe de loisir(1899) est développée la consommation ostentatoire. JK GALBRAITH Nouvel état industriel (1967) Dans le nouvel État industriel (1967) J-K Galbraith «Les entreprises fixent les prix et font tout ce qu’elles peuvent pour assujettir le consommateur à leurs besoins ». On parle de filière inversée. Proposition de sites : Site Adresse Remarque http://www

le pop art dans les années 60, de nombreux artistes se sont intéressés à la société de consommation et à ses dérives. Apparue dans les années 1950-60, l’expression « société de consommation » désigne, d’après l'économiste américain John Kenneth Galbraith, une société de type occidental au sein de laquelle les consommateurs sont incités à consommer abondamment des biens et des services. La consommation devient, plus qu’un moyen de satisfaire ses besoins matériels, une façon de se différencier. Jean-Michel

a measure that can be compared with the movements of inequality, there is no ‘technical change’ variable, as Galbraith (1998) explains, in the national income and product statistics. For these and other factors, SBTC as an explanation might not be as strong as anticipated. The usual proxy for technical change is productivity growth, but relaying on this measure is problematic. As Galbraith (1998) argues, the distribution of income was more stable before 1970, when productivity growth was high, than

information, la grande crise aurait pu être prévenue ; ce qui aurait évité l'effondrement du marché boursier et les conséquences économiques et sociales désastreuses qui s'en étaient suivies. Tirant les enseignements du crash de 1929, l'économiste Galbraith prescrivait à l'Amérique de contrôler vigoureusement ses comptables pour retrouver sa prospérité. (Annexe crise 2005) III) les causes de non respect de ces différents principes. Le non-respect de ces obligations comptables

Tremblements • Florence Aubenas Quai de Ouistreham Essais Erreurs méthodologiques et méthodes d'observation : J Klatzman, Danger statistiques Le tournant vers le capitalisme : F Braudel La dynamique du capitalisme Croissance et crises : JK Galbraith La crise de 29 L'évolution de la France depuis 45 : J Fourastié Les Trente Glorieuses Mesure et évolution des prix : J Fourastié Pourquoi les prix baissent Nouveaux défis, mondialisation : • • • • • Daniel Cohen Trois leçons sur la société

http://fr.wikipedia.org/wiki/John_Maynard_Keynes La crise de 1929 : 1ère grande crise boursière partie des E-U, transformée en crise économique par des politiques monétaires trop restrictives. Voir Galbraith, La crise économique de 1929. http://www.monde-diplomatique.fr/2005/10/GALBRAITH/12812 L es banques augmentent les taux d’intérêts et diminuent les refinancements bancaires. Elle a été généralisée à l’Europe par la faillit des crédits angshtats. Chaque gouvernement va prendre

ici comme conséquence mécanique d'une mauvaise distribution initiale des cartes. La solution vise à transformer les cercles vicieux en cercles vertueux, par injection de capital et par le développement de la formation. L'économiste, John Kenneth Galbraith (8), lui aussi marqué par l'Inde où il fut ambassadeur, tente une « théorie de la pauvreté de masse ». Assez proche de G. Myrdal dans le diagnostic des causes de la pauvreté, il s'en éloigne par une analyse originale des causes de sa persistance

l’activité de recherche et développement réalisée par les laboratoires de recherche d’entreprises en partenariat. Cette évolution aboutit donc à mettre l’accent sur le rôle prééminent de la « technostructure », pour reprendre l’analyse de J. K. Galbraith. Elle s’explique par l’intérêt financier qu’y trouvent les entreprises. En effet, la recherche requiert aujourd’hui une masse de capitaux de plus en plus importants. En même temps, la durée de vie des innovations qui en découlent se raccourcit ;