Galilée ou l'Amour de Dieu

**** La Modernité en histoire se caractérise par une rupture profonde entre la foi et le savoir. L’épisode célèbre qui caractérise cette rupture est celui de Galilée. Celui-ci fut condamné par les instances religieuses parce qu’il avait scientifiquement établi une vérité qui allait à l’encontre de la foi dominante de l’Eglise romaine. Galilée avait établi que l’héliocentrisme contre le géocentrisme prôné par le Vatican. Giordano Bruno fit la même chose et il fut condamné sur le bûcher. A partir de

maintenant un adjectif : être un dom juan, donjuanisme, donjuanesque. Au XXème siècle cela caractérise une personne qui séduit les femmes de manière compulsive. Mais le Don Juan de Tirso de Molina est celui qui se dresse contre les hommes et les lois de Dieu, il se révolte contre la mort. Ce personnage sert d’hypotexte. I. L’abuseur de Séville et ses énigmes On ne sait pas grand-chose de cette pièce, ni son auteur véritable, ni sa date précise. Le texte : on n’est pas sûr du premier texte

Descartes, Locke, Spinoza et Leibnitz précédèrent les « politiques » bien qu’ils furent, eux également, des politiques, mais qui déduisaient la forme du gouvernement idéal de la définition de l’homme, être libre et qui portait, innée en lui, l’idée de Dieu. Comme il a été précédemment dit, le siècle de l’esprit des lois est traditionnellement décrit comme étant le siècle des lumières. Le contexte de l’époque de la parution de l’esprit des lois s’est accompagné de la naissance d’écrits majeurs. L’année

À Saint-Joachin au Québec, en 1960, le droit à la liberté d'expression est brimé. On vit la censure du clergé. La pauvreté, l'amour et la haine s’enchevêtrent dans un ramassis de frustrations. L’un des objectifs de Bessette est de vouloir transformer la conscience sociale. La vie passive de Jodoin est une caricature de l’esprit bohème et de la révolte qui commencent à régner dans les années 1960. Rejetant le système, il décide de vivre au jour le jour, sans trop d’effort, dans une routine sécurisante

et de la Réforme. D’une part, la Renaissance a été un puissant élan intellectuel qui s’est étendu à toute l’Europe et où des savants ont remis en question des idées et des croyances traditionnelles grâce aux découvertes scientifiques de Copernic, Galilée et part la suite de Descartes et Newton. Cette époque est caractérisée par une soif de vivre, une confiance en l’homme, l’appétit du savoir et l’esprit du libre examen. D’autre part, la Réforme a été un mouvement religieux à la fin du XVème et au

Jamais l’homme ne sera plus apte à la paix qu’en l’état de nature. A ce propos, Rousseau affirme que chez eux l’ignorance des vices est plus efficace que chez d’autres la connaissance de la vertu.[7] Le sentiment de haine ne saurait exister là où l’amour ne peut être conscientisé étant donné que les craintes et les désirs d’un homme incapable de regarder un bien futur demeurent fugaces. Concernant l’homme naturel, on remarque donc que la démarche philosophique de Rousseau est absolument inverse à

qui résulte de la primauté de la raison instrumentale et de l’éclipse des fins dans nos sociétés démocratiques : « le désenchantement du monde ». Un monde désenchanté, c’est un monde dans lequel rien ne peut plus nous conduire à l’être vrai, au vrai Dieu et au vrai bonheur. La conséquence de ce désenchantement, c’est la perte du sens de la vie. Weber affirme « l’impossibilité de se faire le champion de convictions pratiques au nom de la science ». Seule « La discussion des moyens nécessaires pour

1:1-17 La voix des prophètes s’est tue depuis quatre cents ans. Pour Dieu «l’accomplissement du temps est venu» (Galates 4:4). Il va parler «dans le Fils» et faire connaître à son peuple, au monde, ainsi qu’à vous personnellement, la bonne nouvelle de l’Évangile (Hébreux 1:1, 2). Elle se résume en peu de mots: le don de ce Fils. — Mais comment faire entrer nos esprits limités dans la connaissance d’une telle Personne? Dieu y a pourvu en nous donnant quatre évangiles afin de nous permettre de

n’ont pas réussi à rencontrer Dieu. Tous ceux qui, comme l’étaient les grecs, croient plutôt au paganisme, au polythéisme, à l’existence de plusieurs dieux, tous ceux qui sont déistes ou encore tous ceux qui se savent profondément athées. Dans la vision religieuse basée sur la croyance, au fond pour qu’une chose existe, il suffit d’y croire ! Cependant tout ce qui est du domaine de la croyance échappe au champ de l’expérience comme pensait Kant et aussi, Galilée, Descartes et Newton avant lui

("Jésus est le fils de Dieu"), la religion implique un engagement du croyant dans sa foi (qui, bien entendu, peut être plus ou moins intense). Il doit conformer sa conduite à un certain code de vie et pratiquer certains rituels (la messe, la confession, etc.) L’attitude religieuse est, avant tout, un effort pour rendre compte du monde et de la situation de l’homme dans le monde. Dans les faits, la religion est une institution dont l’objet est de rendre honneur et hommage à Dieu. Dieu ou l’ensemble des