Gareth Bale

principales failles de ces mesures. I LES MESURES APPLIQUEES PAR LES ETABLISSEMENTS DE CREDIT A/ La surveillance prudentielle • Le Comité de Bale = suite faillite bque Herstatt, BRI favoriser l’harmonisation des regles et contrôle des operations bancaires. Dés 1988 Ratio COOKE « Bale I » = niveau engagements /fd propres = 8% Dès 2006 Bale II ratio de solvabilité ou MCDonough = prise en compte risque marché, crédit et operationnel (amelioration methode calcul risques). Ratio décomposé

Service, Dagong2, Dominion Bond Rating Service, ICRA (Investment Information and Credit Rating Agency of India), MicroRate (notation de micro-crédits). Le rôle des agences de notation dans la réglementation bancaire Bâle 2[modifier | modifier le code] Dans la règlementation bancaire Bâle 2, la méthode dite « standard » autorise les banques à avoir recours aux notes des agences de notation pour déterminer le niveau de fonds propres approprié. Pour que les banques puissent utiliser le rating d'un organisme

change, risque de position) Paragraphe II le risque de credit Paragraphe III le risque operationnel SECTION 2 : les méthodes de calcul des risques ou les règles prudentielles conventionnelles (de la convention de Bâle I à Bâle II) Paragraphe I Bale I Paragraphe II La refonte de Bale I A. Pilier I Exigences minimales en fonds propres-renforcées- B. Pilier II Processus de surveillance prudentie lle C. Pilier III Discipline du marché PARTIE II : BANQUES ISLAMIQUES : REFERENT RELIGIEUX ET LOGIQUE

Bale I A- Les premiers accords de Bâle. Le risque de liquidité Le risque de taux d'intérêt: Le risque de crédit ou de contre partie: ratio COOKE RISQUES Figurant au Bilan : RISQUES Hors bilan: BALE I B- Quelles limites aux accords de Bâle? Premièrement L'évaluation des engagements de crédit est mal adaptée pour mesurer les différents risques: La deuxième limite est l'augmentation des produits dérivés et de la titrisation depuis les années 80. Troisièmement, selon les risques vus précédemment

nécessité de mettre en place des plans de continuité d’activité. → Annonce du plan I. Le PCA, élément essentiel de la Gestion du risque opérationnel : La méthode d’évaluation, dite ratio Mc Donough, du nom de l’ancien président du comité de Bâle, est entré en vigueur début 2008. Elle intègre, élément nouveau, le risque opérationnel, qui désigne les risques imputables au facteur humain, aux systèmes et procédures, aux causes extérieures. → Le PCA est issu du CRBF 97-02, complété par un règlement

contraintes liées à la loi Sarbanes Oxley ou à son pendant français, la LSF (loi de sécurité financière), les établissements financiers ont mis en place le pilotage des risques exigé par le comité de la réglementation bancaire et financière puis par Bâle 2. - Ainsi de solides référentiels de données consolidées font donc maintenant l’objet de toutes les attentions car il s’agit de délivrer au travers des SI une information claire et précise (notion de traçabilité) - Depuis ces dix dernières années

DEUXIÈME PARTIE : ÉCONOMIE MONÉTAIRE ET BANCAIRE A l’aide de vos connaissances et du document présenté en annexe 2, répondez aux questions suivantes : 1. Qu’est-ce-que le comité de Bâle ? 2. Présentez les normes prudentielles imposées par Bâle II. 3. Comment Bâle III est-il venu renforcer les exigences de Bâle II ? 4. Quels sont les impacts de ces nouvelles mesures de contrôle sur les banques ? 5. Présentez les autorités de contrôle de l’activité bancaire et financière en France. 12BQEMB

COMMISSION BANCAIRE EUROSYSTÈME CONFÉRENCE-DÉBAT ASSOCIATION D’ÉCONOMIE FINANCIÈRE BÂLE II : GENÈSE ET ENJEUX 2004 JEUDI 27 MAI CONCLUSION DE CHRISTIAN NOYER INTRODUCTION Mesdames, Messieurs, Chers collègues, En guise de conclusion à cette conférence-débat qui nous a rassemblés aujourd’hui, permettez-moi tout d’abord de vous dire combien j’ai été ravi d’accueillir dans la Galerie dorée autant d’éminents orateurs et participants. Cette conférence-débat a été l’occasion d’un échange

dites de Bâle II, ainsi que celles dites de Bâle III , dans l'activité bancaire . Intro : La crise financière de 2007a révélé la nécessité de renforcer les dispositifs prudentiels afin de prévenir les risques systémiques. Ainsi les normes de Bâle II en 2008 , suivis des normes Bâle III en 2011 en sont les illustrations . Nous allons étudier dans quelles mesures ces dispositifs impactent l'activité bancaire , qui fait de la banque une entreprise à part entière. I- Historique : ➢ Bâle I : BRI

2 – risques opérationnels 2-1 risques operationnels Ils s’alimentent à une inadéquation ou une défaillance imputable à des procédures, des personnels et des systèmes internes, ou à des événements extérieurs. Dans le cadre des accords de Bâle 2, les exigences en matière de maîtrise des risques opérationnels s’étendent aux prestataires à qui sont confiées « les activités externalisées. 2.2 Risque juridiques Ils s’alimentent à tout litige avec contrepartie, résultant de toute imprécision