Garçon De Café Sartre

à la question ns est donnée pr la pensée 1) Je = sujet personnel : mon identité ne m’apparait pas tjrs clairement … auto-analyse, sur ou sous-estimation, déf sociale du sujet, identité standard, rôle que ns jouons aux yeux des autres (Sartre, l’ex du garçon de café, les conduites de mauvaise foi). Réponses variables et peu sures à la question « qui suis-je », dépendent de moi, du regard des autres, de l’image que je veux donner 2) Mais , Je = sujet pensant (= animal, chose) réf à Descartes, Pascal)

sens que Sartre peut affirmer dans un autre texte : l’existence précède l’essence, l’existentialisme est un humanisme (son livre) La phrase veut dire, nous naissons, nous sommes présents au monde, nous existons, et c’est par cette existence que l’on va créer notre identitéNotre existence ne porte pas en elle-même sa raison d’être. IL nous appartient d’accomplir cette résistance. Nous faisons notre identité.Nous sommes donc libres Exemple : Sartre,

Travail de Maturité Français et philosophie Existentialisme et regard d’autrui chez Jean-Paul Sartre Antoine Verburgh, 3M5 Gymnase Auguste Piccard 12 novembre 2007 Maître responsable : Samia Ryser-Abdo Résumé du travail Jean-Paul Sartre (1905-1980) a présenté à travers ses romans et ses pièces une philosophie de l’existentialisme concrète et engagée. Le principe de base de cette pensée, tel qu’il est expliqué dans sa conférence l’Existentialisme est un humanisme, est que rien, ni Dieu

son caractère farouchement étranger et pour ne jouir des choses que parce qu’il y retrouve une forme extérieure de sa propre réalité. Ce besoin de modifier les choses extérieures est déjà inscrit dans les premiers penchants de l’enfant ; le petit garçon qui jette des pierres dans le torrent et admire les ronds qui se forment dans l’eau admire en fait une oeuvre où il bénéficie du spectacle de sa propre activité". HEGEL. Esthétique (1832) D'un point de vue technique, on distingue deux types

problématique avec la différence Le moi fonctionne sur le principe de narcissisme. Il se pose dans la toute puissance et dans le même mouvement, rejette tout ce qui n'est pas lui. L'identité n'est possible que dans le rejet de la différence. Sartre dit : « le moi se pose en s'opposant » Les identités sont des actes de guerre, elles ne sont pas neutres quand on les revendique et elles ne le sont pas du point de vue de l'aggressivité. Le moi individuel fonctionne comme le moi collectif

théologiens pour devenir libre. Néanmoins, on voit mal quelle place Nietzsch accorde à la liberté : si ce n'est pas une puissance qu'est-ce? On peut soutenir que l'homme est libre par essence. Dans L'existentialisme est un humanisme, Jean-Paul Sartre défend la thèse suivante : l'homme est doté d'une conscience, c'est ce qui le distingue d'un objet. Qu'est-ce que la conscience? C'est l'instrument de la liberté. La conscience fait des projets, elle anticipe sur le futur. Pourquoi? Car le passé,

autrui ne pouvant que perturber cette auto-analyse ; ou bien faut-il plutôt affirmer qu’il y a une génèse de la conscience de soi, qui ne peut avoir lieu que par et devant autrui ? Au fond, l'autre est-il un obstacle ou un “médiateur”, selon le mot de Sartre, entre moi et moi-même ? Il s’agira donc dans un premier temps, d’examiner la possibilité qu’un sujet a de prendre conscience de lui dans la solitude, comprise comme isolement voulu et choisi, afin d’échapper à la présence envahissante

le concept de l’autre en tant qu’autre. Bigre ! Ego, c’est « moi » en latin ; pour l’autre on dit : « alter ego », l’autre moi. L’autre que moi, en effet, l’autre qui n’est pas moi, est un autre moi. Bon mot de café On connaît ce dialogue banal entre un client et le garçon de café : « Un autre, s’il vous plait ! -Le même ? -Oui, un autre ! » « Un autre », en français, peut curieusement désigner aussi bien quelque chose de différent (Exemple : « et maintenant un autre candidat ») et quelque

autrui ferait donc partie de lui-même, et donc de sa conscience. Pour illustrer cette hypothèse d’une manière claire et imagée, la conscience ne serait pas un « bloc » mais une succession de « couches » ; en terme plus rigoureux c’est ce que Jean-Paul Sartre appelle le « pour soi » et « le pour autrui ». La conscience est donc en partie constituée par le regard des autres ; elle est par ailleurs en devenir, contrairement aux choses qui sont dans le « en soi ». Cette constatation, qui prône une organisation

psychanalytiques proposés par Breuer et Freud sont pour lui rejetées de la communauté scientifique. Jean-Paul Sartre lui non plus n’est pas d’accord avec la théorie de Freud. Pour lui l’hypothèse de l’inconscient relève de la mauvaise foi. Sartre pense que l’Homme par la mauvaise foi essaie de se mentir à lui-même. Ce serait un moyen de concilier le corps et l’esprit (« Jean-Paul Sartre et le garçon de café »). Après avoir compris les théories des ces trois illustres auteurs on comprend bien que l’inconscient