Gaston Bachelard Autrui

" La poétique de l'espace " (1957) Gaston Bachelard (1884 - 1962) Edition Quadrige / Puf A une époque de grandes révolutions scientifiques, Gaston Bachelard s'efforcera de faire la part de l'imagination dans la théorie scientifique et inversement de proposer, une science objective de l'imagination poétique. Philosophe français des sciences et de la poésie et épistémologue reconnu, il est l’inventeur de ce qu'il appelle la psychanalyse de la connaissance objective. Il reçoit l'influence de

Gaston Bachelard, né à Bar-sur-Aube le 27 juin 1884 et mort à Paris le 16 octobre 1962, est un philosophe français des sciences et de la poésie. Épistémologue reconnu, il est l'auteur d'une somme de réflexions liées à la connaissance et à la recherche scientifique. Il invente ce qu'il appelle la « psychanalyse de la connaissance objective »[1], inspirée par les travaux de Jung, qui étudie les obstacles affectifs dans l'univers mental du scientifique et de l'étudiant, obstacles qui les empêchent

Etude d’un texte philosophique de Gaston Bachelard Objectif : Clarifier un concept (la science) Problématique : La science s’oppose-t-elle à l’opinion ? Peut-on avoir une opinion en matière scientifique ? Opposition : Science et l’opinion Epistémologie : épistémer : la science Logos : étude, discours Etude de la science Philosophie critique des sciences, l’histoire des sciences Bachelard analyse les conditions de la connaissance scientifique et le soutient qu’elle est victorieuse sur les obstacles

Synthèse. «Le rôle des lecteurs» (Tournier) et «La langue plurielle» (Barthes) Les deux auteurs des textes parlent, explicitement ou implicitement, de da notion des sens du texte littéraire. Mais le sens même est compris différemment: en étudiant la problématique de la pluralité des sens, Tournier réserve le rôle principal aux lecteurs en même temps que c’est la spécificité même du texte littéraire qui est mise au centre de préoccupations de Barthes. Pour Tournier, l’oeuvre ne peut exister que

d’abord parce qu’elle nous en propose des versions nouvelles :”L’imagination invente plus que des choses et des drames, elle invente de la vie nouvelle, elle invente de l’esprit nouveau; elle ouvre des yeux qui ont des types nouveaux de vision” (Bachelard). L’aspect positif de l’imagination tiendrait davantage aux relations qu’elle produit qu’aux éléments qu’elle relie. • Parce qu’elle nous projette hors du strict présent, l’imagination participe de ce point de vue à toute action humaine : mettre

être humain au cours de sa vie car il est perfectible ce que ne sont pas les machines qui correspondent toujours à un programme préétablis et sont donc dépourvues d’émotions et de sentiments. De plus, on pourrait appliquer à l’Homme la maxime que Bachelard attribuait à la science : dans l’homme «rien n’est donné, tout est construit.» On ne naît pas femme on le devient, disait S. de Beauvoir : on pourrait aussi bien dire; on ne naît pas homme, on le devient. L’Homme est un être en devenir, la perfectibilité

vont de pair, l'une n'est rien sans l'autre. L'imagination permet d'accroitre la connaissance, et la connaissance permet d'imaginer encore plus, et ainsi de suite. Bien évidemment, je ne pouvais pas parler de connaissance sans citer la phrase de Bachelard: « Toute connaissance est une réponse à une question. » Mais toute connaissance n'est elle pas aussi une porte vers d'autres questions? 

taciturne illuminaient les voiles » (Saint-Amant, Moyse sauvé) - nuit stellaire = nuit « qui allume ses feux »(Supervielle), ses « onyx » (Mallarmé) - incidence grammaticale : l’opposition de genre entre les deux termes > « génosanalyse » (Bachelard, Poétique de la rêverie) - couple : jour masculin/nuit féminin : « O douce, quand tu dors, la nuit se mêle au jour » (Capitale de la douleur) - ou la nuit es la mère du jour « qui sort de la nuit » (d’Aubigné, Prière du matin) > symbole maternel

images étaient plus importantes que la connaissance. Toute innovation découle en effet de l’imagination. La première démarche vers cette innovation est celle d’imaginer ce que la vérité, ce que le résultat pourrait être. Dans L’Air et les Songes, Bachelard différencie bien l’image encore inscrite dans le principe imaginaire et l’autre qui nous fait agir. La première nous fait rêver, parler. L’autre en revanche dépasse le stade de la simple perception. Le monde des images devient alors un monde à part

discontinue et corpusculaire de PLANCK. Leçons à tirer de ces théories de la propagation de la lumière 1) Dans la connaissance scientifique, la contradiction devient le moteur de l’évolution de la pensée. On peut dire, en paraphrasant G. BACHELARD, que l’évolution de la science se fait par contradiction surmontée et par révolution permanente. Dans l’étude précédente, il y a eu donc de la contradiction entre la théorie corpusculaire et la théorie ondulatoire de la lumière ; 2) Dans la