Gaston Baty

B. La responsabilité des acteurs économiques à assurer un environnement sain comme moteur du bien-être de la cité Bibliographie ❖ Manuels, ouvrages 1. Bachelard (Gaston), « La Poétique de l’espace », Presses universitaires de France, 1957, 9e édition en 2004, 214p. 2. Baty –Tornikian (Ginette), « Cités jardins Genèse et actualité d’une utopie », Paris Edition Recherches / IPRAUS, 2001, 158p. Ouvrage disponible à la bibliothèque de l’Ecole des Beaux Arts et Architecture

théologique. C- Le spectacle dans le texte Prendre en compte nature particulière du texte, qui intègre sa propre négation en tant que texte sous la forme d'un spectacle potentiel, à venir. Un texte ouvert, foncièrement inachevé. Citation n°7 : Gaston Baty. Développe métaphore du noyau et du fruit. Revient en arrière par rapport positions avancées d'Artaud. La chair vive du théâtre c'est le spectacle, mais texte a fonction de conservation, de transmission, c'est une partie essentielle. Mais ne doit

oeuvre qui a été réduite à un art de l'interprétation confié à de "grands tragédiens". C'est seulement avec Gaston Baty en 1939-1940 qu'apparaît la première mise en scène de Racine qui se présente comme une lecture personnelle de son théâtre: la pièce choisie était justement Phèdre (théâtre Montparnasse). Non que cette lecture reposât sur une interprétation nouvelle de la tragédie: la Phèdre de Baty était déjà celle de Chateaubriand et de Sainte-Beuve, une Phèdre chrétienne et janséniste. Mais c'était

Péguy au catholicisme - fondation des Camelots du Roi - Réflexions sur la violence, Georges Sorel (mythe du grand soir, grève générale) - transfert des cendres de Zola au Panthéon (manifestations d’extrême-droite) - Le mystère de la chambre jaune, Gaston Leroux (Rouletabille) (puis Le parfum de la dame en noir) - Kahnweiler organise l’exposition des premières œuvres cubistes de Georges Braque - début des Pieds Nickelés dans L’Epatant (Louis Forton) 1909 - chute de Clemenceau (Briand lui succède)

000 en 2006 Lieux de diffusion en 2013 : Internet, librairies spécialisées (mais pas à Paris...), bibliothèques… Bientôt 60 ans d'existence. Plus de 200 parutions, 4 changements de direction, 3 étagères bien serrées à la bibliothèque Gaston Baty.... Travailler sur la revue TDR dans le cadre de notre séminaire obligeait à faire des choix. Les possibilités sont nombreuses: se concentrer sur une époque, considérer l'étude de la revue uniquement par le prisme de Richard Schechner, ou par

accepte de jouer lui-même un rôle de la pièce ou qu'il soit son propre metteur en scène, toutes ces configurations montrent à l'évidence que la genèse du texte de théâtre ne peut guère se concevoir sans la prise en compte des propriétés scéniques. Gaston Baty, metteur en scène et théoricien du théâtre, a défini ce rapport entre texte et représentation dans les termes suivants: Le texte est la partie essentielle du drame. Il est au drame ce que le noyau est au fruit, le centre autour duquel viennent

apportée sur le mode esthétique à un problème existentiel qui hante tant la vie que l'œuvre d'Alfred de Musset : celui de l'antagonisme 12. Op. cit., p. 120. 13. On se rappellera que, depuis la création (3 décembre 1896) jusqu'à la représenta tion de Gaston Baty (10 octobre 1945), il était habituel de voir une femme tenir le rôle. Parmi les principales, on citera Sarah Bernhardt (Théâtre Sarah-Bernhardt), Madame Falconetti (Grand Théâtre de Monte-Carlo) et Marguerite Jamois (Théâtre Montp arnasse). Le 15

désagrément ». (Saint Evremond). Le Cartel des quatre : Jouvet, Dullin, Baty, Pitoëff (1927-1939). En 1927, à l’initiative de Jouvet, quatre « chefs de troupe » se groupent en association des « Théâtres du Cartel » selon la loi de 1901. Chacun des membres a sa conception propre du théâtre. Ainsi : • Jouvet est le seul à ne pas monter d’auteur élisabéthain. • Pitoëff est le seul à ne pas monter Molière. • Baty est le seul à ne pas être comédien. • Dullin est le seul à diriger, parallèlement

insiste pour que l'on reprenne la pièce, mise en scène par MounetSully avec Paul Mounet dans le rôle de Titus. Le succès est complet et la pièce enfin reconnue à sa juste valeur. La pièce est présentée dans de nouvelles mises en scènes : en 1946 par Gaston Baty, en 1949 par Maurice Escande, en 1962 par PaulÉmile Deiber, en 1979 par JeanFrançois Rémi. Enfin, la dernière mise en scène de Klaus Michaël Grüber en 1984 déclenche une polémique. Certains y voient une interprétation magistrale de la tragédie racinienne

inenvisageable de conserver l’acte V, si violent vis-à-vis de l’occupation allemande à Florence, et si corrosif face au système politique et judiciaire (rappelons que Lorenzo est condamné à mort sans autre forme de procès). En 1945 au contraire, Gaston Baty prend le parti de refuser l'intégrité littéraire de l’acte V, qui est transformé et coupé au point que même la mort de Lorenzo se trouve supprimée. Pourtant, cet événement était, pour le dramaturge, le second point culminant, sorte d’acmé secondaire