Gatt Omc Cnuced

BOUBRAHIMI LISTE DES ABREVIATIONS Organismes, institutions et organes CNUCED: Conférence des Nations Unies pour le Commerce et le Développement GNS: Groupe sur les Négociations des services. Ce groupe a été crée dans le cadre du Cycle d'Uruguay pour l'examen de la question des services et de l'opportunité de les multilatéraliser. OCDE : Organisation de Coopération et de Développement Economique . OMC: Organisation Mondiale de Commerce ORD: Organe de Règlement des Différends

Sommaire : Introduction 2 I. La création de l’OMC 1. Du GATT à l’OMC 3 2. L’accord de Marrakech 6 II. Le rôle de l’OMC 1. Membres et structure 7 2. Principes et activités 12 Conclusion 17 Introduction * Née le 1er janvier 1995 et siégeant à Genève, l’OMC est le seul organisme international qui s’occupe des règles régissant le commerce entre les pays. * Au cœur de l'organisation se trouvent

l'article « Pays en développement ». Sommaire [masquer] 1 Les indicateurs 2 Historique 2.1 La création de l'ONU et des instances internationales de développement 2.2 L'opposition entre les États-Unis et l'URSS 2.3 L'émergence du Tiers-Monde : la CNUCED, le Nouvel ordre économique international (NOEI) et la convention de Lomé 2.4 Les différents modèles de développement 2.4.1 Combler le fossé entre le développement économique et le développement social ? 2.5 Les années 1990 : le consensus de Washington

précèdent des échanges internationaux depuis l’après-guerre. Les échanges progressent plus vite que les volumes de production d’où l’ouverture croissante des économies. Ces échanges sont dopés par la généralisation du libre-échange mise en place avec le GATT en 1947 et la création de l’OMC en 1995. L’internationalisation des échanges a abouti à une mondialisation des marchés. Cette mondialisation permet l’intensification des échanges de biens, de services et de capitaux. (La mondialisation touche la production

économiques et l’émergence de nouvelles technologies dans le cadre des télécommunications et de transport ont entraîné une transformation radicale de la physionomie du commerce mondial. Selon les indications de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC), les échanges internationaux continuent à progresser à un rythme plus rapide que la production. Les produits manufacturés représentent le secteur le plus dynamique du commerce mondial grâce aux exportations de machines de bureau et d’équipements de

des échanges mondiaux et ¼ de la production mondiale et emploient 90 millions d’individus. On assiste à une libéralisation du commerce: IDE 3x plus importants entre 1976 et 1990. En 1990, 200 milliards de dollars, en 2000, 1400 milliards. 2002, la CNUCED a comparé la VA des multinationales au PIB des États: EXON a plus de VA que le Pakistan, General Motors produit plus que le Pérou, l’Algérie, le Maroc… En mettant en concurrence les États, les firmes contribuent à une homogénéisation des politiques

internationaux de B, de main-d'œuvre et de connaissances. Au plan éco, la mondialisation désigne l'accélération, à l'échelle mondiale, des échanges de B et de S rendus possibles grâce à la levée progressive des entraves au commerce dans le cadre du GATT puis de l'OMC depuis 1995 et par le développement des moyens de transport et de communication. L’expression « La mondialisation en question » exprime les doutes que l’on peut avoir quant aux Bfaits supposés automatiques de la mondialisation. Par ailleurs

participent, chacun dans leur domaine, à l'organisation du commerce international ( Parag. II ). Parag. I : L’organisation mondiale du commerce ( OMC – WTO ) Créée par l’accord de Marrakech du 15 avril 1994 et entrée en vigueur le 1er janvier 1995, l'Organisation mondiale du commerce a pour mission d'organiser le commerce à l'échelon mondial. Elle succède au GATT ( General Agreement on Tariffs and Trade, Accord général sur les droits de douane et le commerce) et est issue de son dernier cycle de négociation

pauvreté, le remboursement des annuités augmenté des intérêts, se fait au détriment de leur développement ou même de leur survie. Comment en est-on arrivé là ? Première cause : La faiblesse des rentrées fiscales. Nous avons vu qu'en moins de 50 ans le GATT avait réussi à abaisser le niveau moyen des droits de douane de 50% de la valeur marchande à 5%. Cela a certainement dopé le commerce international qui a crû beaucoup plus vite que la production mondiale, maiscela a également asséché les recettes des

les plus marquantes. En effet, le taux de croissance annuel moyen des IDE dans le monde entre 1980 et 1996 est de 8%. Rien que pour l’Union Européenne, ils étaient de 380 milliards de dollar en 2009, et de 421 milliards de dollar en 2006, selon le CNUCED. Enfin, nous pouvons affirmer que le processus de globalisation financière est un des départs inéluctables de l’activité des Nouveaux Pays Industrialisés (NPI) depuis 25 ans. Le fort taux de concentrations des IDE américains et européens dans