Gautier Sans-Avoir

d’Orléans, Lord Seymour (dit Milord l’Arsouille) fondateur du « Jockey Club », Charles Lecour et Théophile Gautier. « La Boxe française est une science profonde qui exige beaucoup de sang-froid, de calcul, d'agilité, de force. C'est le plus beau développement de la vigueur humaine, une lutte sans autres armes que les armes naturelles où l'on ne peut être pris au dépourvu . » -Théophile Gautier- b. Naissance de la Boxe française : Un sport de compétition Après une cuisante défaite contre le boxeur

particulièrement touché par cette tendance et auxquels nous nous intéresserons sont pour l’Angleterre Thomas de Quincey avec Les Confessions d’un Mangeur d’Opium Anglais et pour la France Baudelaire avec Les Fleurs de Mal et Les Paradis artificiels, Théophile Gautier avec Le Club des Haschischins, La Pipe d’Opium, le Haschich, Claude Farrère avec Fumée d’Opium etc.… Nous nous demanderons si les « paradis artificiels » ont réellement eu une influence sur le travail des artistes qui en ont consommé. Nous verrons

des poèmes du faite que certains soient très connus et d'autres moins. Tous les poèmes m'ont interpellés sans exceptions ! Soit par le sens du poème, soit par la mise en forme, soit par la technique d'écriture et chacun est unique. Je dois avouer avoir un coup de cœur je vous laisse vous faire votre propre avis. Paul Valéry est un écrivain, poète et philosophe français, né a Sète ( Hérault) le 30 octobre 1871 et mort à Paris le 20 juillet 1945. Le poème « Anne » met en avant une

plaçant leurs espoirs dans la révolution avant de connaître la désillusion après 1830, sous la Monarchie de Juillet. 3. La troisième génération (1830-1840): On appelle souvent « petits romantiques» ou romantisme mineur le courant, autour de Gautier et de Nerval, qui met en avant la révolte en art. Le mouvement connaît à la fois un grand succès dans les différents genres littéraires, mais aussi s'épuise dans les excès d'une sensibilité exacerbée. Flaubert, né en 1821, nourri de littérature et

Mallarmé, Théophile Gautier ou même Valéry défendent le fait que la vraie poésie est celle qui fait référence à la création poétique et pas celles qui prend en compte le fond du récit. Cependant leur opinion est-elle totalement vraie ? « La poésie […] n’a d’autres buts qu’elle-même » écrit Baudelaire. Cette affirmation est-elle toujours vraie ? Nous verrons tout d’abord que la poésie peut ne pas servir d’autre but qu’elle-même puis nous verrons que la poésie peut cependant avoir d’autres buts et

en des tons variés d’une même couleur blanchâtre sur un fond bleu marbré. Ces faux reliefs qui rappellent les caméos utilisés dans la production céramique de l’époque, étaient souvent employés en combinaison avec des arabesques, mais ils devaient avoir un attrait spécial pour le comte d’Artois, en raison de son intérêt pour la porcelaine [vii]. D’ailleurs, ils avaient déjà paru sur les murs du salon principal de son château de Bagatelle, bâti sous la direction de l’architecte Francois Joseph Belanger

LA 1 Baudelaire : L’albatros. Contexte dans l’œuvre : Ce poème a largement été influencé par « le pin des landes » de Gautier (même forme, même structure) : c’est une reprise de ses contemporains pour exprimer les souffrances qu’il ressent. En effet, ici, le poème trouve sa source d’inspiration dans le malaise de l’écrivain, dans les difficultés propres à sa condition de poète, le poète incompris, exilé et souffrant. Problématique proposée : En quoi repose la modernité de Baudelaire ? Plan

s�inscrire dans une dimension universelle mais aussi actuelle. Nombre de pol�miques ont eu lieu, sur la fonction qu�elle devait ou non adopter, d��tre utile ou d��tre seulement expression artistique, sans autre l�gitimit� que d�exister. Th�ophile Gautier et les tenants de � l�art pour l�art � allaient jusqu�� refuser toute utilit� � la litt�rature, proclamant que � tout ce qui est utile est laid �, tandis que dans un cercle bien proche, un Victor Hugo multipliait les �uvres engag�es ; Jean-Paul Sartre

littérature qui se définirait comme ailleurs et au dessus des considérations sociales ou politiques. Formule d’André Gide (XXe) : « On ne fait pas de bonne littérature avec de bons sentiments ». Se plaçant sur le plan de la théorie artistique, Théophile Gautier, dans sa « Préface » à Mademoiselle de Maupin, définit l’art pour l’art et du même coup la littérature comme ce qui ne peut servir à rien : « Il n’y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien ; tout ce qui est utile est laid, car c’est l’expression

TRAVAIL PERSONNEL Sandrine Gautier Au travers de ce travail, je vais tenter d'illustrer 2 portraits qui me permettront d'aborder les grands thèmes qui me sont chers. Wangari Muta Maathai ainsi que Madeleine Riffaud ne sont pas forcément les plus médiatisés et connus, c'est pourquoi je trouve intéressant de parler de leurs parcours et peut-être même vous faire découvrir ces deux femmes d'exception. Enfin je finirai par un homme, Stéphane Hessel, qui avec son histoire de vie et son dernier essai