Gavroche Pathétique

Lescaut (1731) 6) LE REGISTRE PATHETIQUE Il consiste à susciter la compassion, la pitié (au sens propre du terme) : le lecteur (ou le spectateur) est amené à s’apitoyer sur les malheurs des personnages. Le registre pathétique est souvent lié au registre tragique. Méthode : le registre pathétique se reconnaît à la présence des thèmes et des champs lexicaux du malheur, de la souffrance (physique ou morale), des émotions. La ponctuation peut également contribuer au pathétique d’un texte car elle aussi peut

ça Heuresement j'avais fini avec ce devoir donc je montre quelques idées pour les autres( Je suis content si vous m'aider pour améliorer ce plan) La mort de Lalie-chapitre XII "Et elle se tut......pour se finir" Moi je pense que le registre PATHETIQUE influence dans ce passage. 1) Avec les G.N qui désignent Lalie (la fille, l'enfant,les deux bons anges, ce pauvre chat, la petite mère,...) et les épithètes qui la décrivent(tremblant; couchée; une drole de figure......),on remarque un grammaire

dénoncée par V. (il s'agit de la loi du + fort, soldats tuent civils) C) Le réalisme et le pathétique au service de la persuasion REALISME : • Avancée dans l'horreur : « canon » → « mousqueterie » → « baillonette » (gradation : combat à distance → combat au corps a corps) • Référence aux victimes civiles : « cervelles répandues », « bras et jambes coupés » (= termes crus, macabres) PATHETIQUE : • Suscite indignation + pitié : « criblés », « égorgés » , « éventrés », « brûlés », « mourir

jamais d’exemple », « toute ma vie »), euphémismes (« je la perdit », « la fin de ses malheurs »), figures d’atténuation : permettent de se rendre compte de ses sentiments. Hyperboles : lui ; euphémismes : elle et sa mort.       v     PATHETIQUE   Pathétique : on sait déjà qu’elle est morte. Malentendu : il interprète mal les signes, « je croyais ma maîtresse endormie », puis irruption du jour qui lui montre la réalité. Eclairage qui passe par les mains. Mort qui les grandit : Des

puisqu’il continue d’aimer sa femme : « je ne vous en aimerai pas moins ») Chacun des 2 personnages cherche donc à gagner ou à conserver l’estime de l’autre en exprimant la vérité de ce qu’il ressent. II.UNE SCENE THEATRALE ET PATHETIQUE 1) Une scène de théâtre *Par son thème : l’aveu, par son caractère verbal, est éminemment théâtral (cf. l’aveu de Phèdre à Hippolyte : Racine, Phèdre, II, 5) *Par la présence de l’amant caché (à la même époque, dans Britannicus de

premier temps nous verrons comment Voltaire vise a persuader son lecteur en faisant appel a ses emotions avec une vision esthetique et philosophique sur la guerre des Bulgares. Ensuite nous analyserons les moyens qu'il utilise pour decrire un tableau pathetique Enfin nous etudierons sa manière de le faire par un jeu sur l’enonciation, il parvient a convaincre par la raison en meme temps qu’il s’adresse à la sensibilté du lecteur. En effet il utilise au debut l’aspect esthetique, en employant 4 adjectifs

l'orpheline, ou Gavroche le gamin des rues. Nous nous intéresserons donc à un seul de ces personnages : Gavroche, l’enfant des rues. Le passage que nous étudions raconte la mort de Gavroche, tué par la garde nationale pendant l’émeute parisienne de juin 1832. L’action principale de Gavroche est de ramasser des balles pendant que les insurgés se battent contre les soldats. Nous nous demanderons donc comment Hugo illustre-t-il la guerre à travers la scène de mort de Gavroche ? Nous verrons

éprouve pour Cosette qu'il a rencontrée au Luxembourg au bras de son père.   Marius a pour voisin un effroyable chenapan, le sieur Jondrette, qui vit de chantage et de la prostitution de ses filles, Éponine et Azelma, ainsi que son fils, un gamin, Gavroche, que Victor Hugo a rendu populaire. Ce Jondrette n'est autre que Thénardier, tombé au fond du gouffre. Le vieux monsieur du Luxembourg, toujours trop charitable, vient visiter ce gredin qui écrit des lettres lamentables à toutes les personnes généreuses

cours) Texte support : Extrait des Misérables de Victor Hugo, 1862 Gavroche est le fils des Thénardier qui ne l’aiment pas. Il vit dans les rues parisiennes et prend part à l’insurrection républicaine de juin 1832, en tenant de récupérer des cartouches non utilisées pour ses camarades insurgés. C’est ainsi qu’il va trouver la mort. Il n’a que 12 ans mais sa fin est héroïque et sublime. Le spectacle était épouvantable et charmant. Gavroche fusillé, taquinait la fusillade. Il avait l'air de s'amuser beaucoup

………aux pessimistes mises en garde de Norbert de Varenne au chapitre VI(« Et puis après ? Toujours la mort pour finir ») . Nous analyserons également comment l’……… du lieu et plus particulièrement de la lumière parvient à renforcer cette …………… pathétique .Enfin nous soulignerons la valeur………… symbolique d’un instant privilégié ( le crépuscule) qui………….. cet événement majeur de l’………….. romanesque. La première partie du roman, d’où est extrait ce passage, ………les débuts de Georges Duroy dans