Gènes de la drosophile

rôle fondamental des protéines dans la réalisation du phénotype est approfondie à travers l'exemple des protéines enzymatiques. L'étude de la synthèse des protéines permet, en s'appuyant sur les acquis de la classe de seconde, d'établir le lien entre gènes et protéines. La compréhension du fait que la diversité phénotypique résulte d'interactions complexes entre la variabilité génétique et l'environnement est l'aboutissement logique de cette progression. Dans un second temps, l'étude de la morphogénèse

entre les gènes, leur mode d’expression peut parfois être appréhendé grâce au raisonnement mendélien. Malgré cela, l’analyse, pourtant relativement simple, du dihybridisme (avec dominance) qui se traduit, en F2, par quatre phénotypes dans des proportions 9-1-3-3 alors qu’il existe neuf génotypes possibles, laisse présager que le petit pois et la drosophile sont des organismes (diploïdes) bien trop compliqués pour saisir les mécanismes fondamentaux de la recombinaison et de l’expression des gènes. Lors

direct. * les nanobiotechnologie Fœtus : terme appliqué à un embryon à partir d'un certain stade de développement. II- Génétique La génétique (du grec genno γεννώ, « donner naissance ») est la science qui étudie l'hérédité et les gènes, c'est une sous-discipline de la biologie. * L'hérédité, qui étudie le phénotype et tente de déterminer le génotype sous-jacent se fonde toujours sur les lois de Mendel. * Un gène est une séquence d'acide désoxyribonucléique (ADN) qui spécifie

photosynthétique a/ b/ a/ Beggiatoa : bactérie des milieux soufrés qui tire l'énergie de l'oxydation de H2S et fixe le carbone dans l'obscurité b/ Mycoplasma genitalium : bactérie parasite des mammifères au plus petit génome connu (477 gènes) – Très grande diversité de métabolisme et d'habitat La cellule procaryote type Pseudomonas aerugenosa – Une membrane plasmique – Un cytoplasme qui contient le matériel génétique (nucléoïde) et la machinerie biochimique – Une paroi

| | | | | | |(Identifier les conséquences de mutations de certains gènes |I |Saisir des informations |PB : Comment s’effectue le contrôle du développement embryonnaire ? | | | |(En déduire la notion de gène homéotique

brassage |- testicules de truites ? | |homologues d’une même paire. |interchromosomique, comme source d’apparition de nouveaux gènes. |-http://www.discip.crdp.ac-caen.fr/svt/cgaulsvt/travaux/animatio/mitmeio/tpmeiose.htm | | | |- http://pedagogie

génétique: 24 30 31 CHAPITRE IV: CLONAGE ET ÉTUDE DE L’ADN CLONÉ. I - Le clonage II - Les banques génomiques III - Les banques de cADN IV - L’étude de l’ADN cloné 36 36 36 38 40 CHAPITRE V: MUTAGENÈSE IN VITRO, EXPRESSION DES GÈNES EUCARYOTES DANS LES BACTÉRIES. 51 I - Les mutagenèses II. Mise en évidence des effets de la modification III. Transfert de l’ADN modifié 51 56 57 3 DEUXIEME PARTIE : APPLICTION DE LA BIOLOGIE MOLECULAIRE : LE GENIE GENETIQUE

nouvelles prospections 4% aèmer J. Scientifiques du R&~U Biotechnologies V6getales AUPELF.UREF, Orsay, juillet 1997 - des introductions de l’extérieur (Togo, Niger, Burkina Faso, Nigeria...) et à partir des banques de gènes des Organismes Internationaux dotés de structures de conservation à moyen et long termes. Cette nouvelle serie de collections prendra en compte, les formes sauvages disponibles, les espèces dites « mineures H et d’importance socio-économique non négligeable

segmentation la synthèse d’ADN est presque continue, phase G1etG2 sont quasi inexistantes. Pour se diviser l’œuf utilise les réserves synthétisées durant l’ovogénèse par la mère. Œuf de grenouille de divise en 37 000 cellules en 43 heures Chez la drosophile on a 50 000 cellules au bout de 12 heures (car on a une mitose toutes les 10minutes) Le rythme des mitoses étant continu il n’existe pas de phase de croissance cytoplasmique entre deux cycles mitotiques. Il en résulte que le volume des cellules

18 1 Résumé Bien que la dominance soit un phénomène génétique omniprésent, ses patrons d’évolution restent particulièrement mal compris. Ronald Fisher a été le premier à proposer une explication au phénomène de la dominance, basée sur des gènes modificateurs de la dominance entre allèles à un gène, et sur lesquels la sélection naturelle pouvait s’exercer. Il fut rapidement contredit par Sewall Wright qui montra que la sélection naturelle était d’intensité trop faible pour exercer une action