Géronte

sa bien aimée et il lui demande de le faire entrer en tant qu' apothicaire.ET il accepta 12. Ces deux derniers entrer Sganarelle prit le temps de distraire le père de la jeune fille durant qu’elle s'enfuit avec son bien aimée Léandre. 13. Lorsque Géronte s'aperçoit de l'absence de sa fille il condanna à pendre Sganarelle qui retrouvé sa femme Martine 14. Alors que l’on croyait que le couple de jeune amoureux étais parti il furent apparition avant la sentence de Sganarelle 15. Léandre annonce donc

l'image du couple:Tout au long de la pièce Molière nous fait comprendre que le duo ne s'entend pas, voir pas du tout.Entre disputes et vengances Sganarelle et Martine ne font pas bon ménage. Valère et Lucas : Valère et Lucas sont deux serviteurs de géronte mais la chose marquante du duo est la differnce d'education. exemple page 41: Valere adopte un bon francais pour s'éxprimer ons suppose donc qu'il vient d'une bonne famille: "chacun a ses soins dans le monde ,et nous cherchons aussi ce que nous

grande reconnaissance... De plus comme nous l'avons vu dans le Barbier de Séville, Beaumarchais montre le ridicule du médecin qui ne ici ne tient pas son rôle. L'effet du rire est augmenté par les noms souvent ridicules donnés aux personnages : Géronte a une connotation avec la gérontolologie, Fleurant (L'apothicaire) dont le nom rappelle les fleurs, les plantes médicinales mais aussi Purgon qui fait surement référence aux purges couramment pratiquées à l'époque. Dans ces pièces on voit aussi que

l'apprentissage de la danse, de la musique, de la philosophie et de la manipulation des armes. La comédie se termine toujours bien comme dans le médecin malgré lui où Sganarelle échappe à la guillotine, Lucinde retrouve la parole, Léandre apprend à Géronte que son oncle est mort et qu’il est héritier. Grace a cette nouvelle Léandre peut épouser celle qu'il aime, Lucinde. Ainsi l'on peut dire «Tout est bien qui finit bien». 

deux tombés amoureux. Dans sa malchance, Léandre se retrouve capturé dans un Galère Turque. Lorsque son père, Géronte l’apprend (par l’intermédiaire de Scapin), il devient furieux, et dans sa colère, celui-ci ne peut s’empêcher de répéter : « Mais que diable allait-il faire dans cette galère ». Au travers de cette phrase on peut desceller un comique de répétition, et on comprend donc que Géronte exagère pour faire comprendre au spectateur la bêtise de Léandre son fils qui s’est retrouvé piégé. Ce qu’il

et Léandre, fils de Géronte, se sont épris l’un de Hyacinte, jeune fille pauvre et de naissance inconnue qu’il vient d’épouser, le second de la « jeune Égyptienne » Zerbinette.Au retour d’Argante, Octave, très inquiet de la réaction paternelle à l’annonce de son union et, de plus, fort à court d’argent, implore l'aide de Scapin, valet de Léandre. Mais cet « habile ouvrier de ressorts et d’intrigues » ne parvient pourtant pas à faire fléchir le vieillard.Argante répète à Géronte la nouvelle qu’il tient

Le faux médecin cite d’ailleurs : soit qu’on fasse bien, soit qu’on fasse mal on n’est toujours payé de même sorte. Sganarelle n’a même pas les compétences requises pour guérir la jeune femme qui est rendue muette et il ose demander de l’argent à Géronte puisqu’il tend la main pour recevoir de l’argent avant même de l’avoir soignée. Ce geste a été répété pas une fois mais 2, << Tendant toujours la main et la branlant, comme pour signe qu’il demande de l’argent. >> Cette insistance démontre

années : la perte d'un enfant et un échec dans son métier de comédienne. Il sont aussi utiliser dans le comiques de geste par exemple. Que serait la fameuse scène chez Molière dans laquelle Scapin incite Géronte à se mettre dans le sac sans les fameux coup de bâton ? En effet faisant croire à Géronte qu'il est menacé, Scapin assure qu'il va le protéger en l'emmenant sur son dos jusqu'à chez lui. Il changera alors sa voix pour faire croire que les persécuteurs sont présent et donnera lui même les coups

Scapin où les didascalies sont très nombreuses, puisque Scapin tient à la fois son propre rôle et contrefait un spadassin, changeant alors complètement sa voix. De même, Molière souligne l’importance des coups de bâton et de la sortie de la tête de Géronte hors du sac dans lequel il s’est caché. C’est aussi le cas de Cyrano de Bergerac où Edmond Rostand multiplie les indications concernant les gestes et les poses des personnages, mais aussi leur ton de voix : « gravement », « riant », « imperturbable

française. 2. Sur la pièce : La pièce « L'illusion comique » est issue de l'édition LAROUSSE, Petits classiques. Les personnages sont Matamore, un soldat fanfaron, Clindor, le serviteur de Matamore, et amant d'Isabelle, qui est la fille de Géronte, Pridamant, le père de Clindor et Alcandre, le magicien. Dans l'Acte I (p27), Pridamant consulte Alcandre, un magicien, pour savoir ce qu'est devenu son fils, Clindor, qu'il n'a pas vu depuis 10 ans. Alcandre commence par lui raconter le passé mouvementé