Gestalt Cognitive

culture du sujet ; • l’intelligence cristallisée (ou verbale) est au contraire basée sur des connaissances ou des capacités acquises : compréhension du langage, richesse du vocabulaire, capacités de lecture, etc. Actuellement, en psychologie cognitive, on n’emploie jamais le terme trop connoté d’intelligence. On parle plutôt de performances dans des domaines variés, comme les fonctions exécutives, de flexibilité, de contrôle, de vitesse de traitement, de capacités de la mémoire de travail, de

spécifique. Les locuteurs, interrogés sur leur rapport aux langues, produisent des discours dans lesquels on trouve des représentations : mais de quelle nature sont-elles ? Sont-elles de nature cognitive ou de nature discursive ? Plus radicalement, sont-elles le reflet fidèle d’une organisation cognitive — mais, en ce cas, de quel sujet, attendu que la production des représentations met en jeu non pas un seul sujet cognitif mais au moins deux ? Ou n’ont-elles de pertinence que comme objets de

est attribuée au moins aux grands singes hominoïdés comme le sont par exemple les humains, les chimpanzés, les gorilles et les orangs-outans. Il semble assez raisonnable de l'étendre aussi aux dauphins et aux éléphants qui disposent de capacités cognitives et affectives avancées. La conscience dans ce second sens, implique celle du premier, puisque « se connaître », signifie nécessairement « se connaître dans ses rapports au monde » (y compris d’autres êtres potentiellement doués de conscience). L'inverse

mêlant connaissances théoriques et pratiques demandent curiosité, ouverture d’esprit et rigueur. Certains cours, notamment la neurophysiologie, nécessitent des connaissances scientifiques. Au programme La licence aborde la psychologie sociale, cognitive, clinique, la psychologie du développement, la psychopathologie, la neuropsychologie, les statistiques, l’informatique et l’anglais. Au cours de la 3e année de licence l’étudiant est amené à choisir des options qui lui permettront de commencer

Analyse des notions Evident (df gnrale) ce qui simpose nous comme vrai de faon immdiate donc, sans raisonnement (lenchanement dides implique diffrentes tapes, et nest donc pas immdiat). Position du problme La question nest pas seulement de savoir sil existe des vidences trompeuses il y en a mais de savoir si lon peut admettre lvidence comme critre gnral du vrai. (point de vue objectif) et de se demander, plus largement, quelle doit tre notre attitude par rapport la notion de vrit y a-t-il

classique de Pavlov) et comportement d'imitation( apprentissage social de Bandura). ii: Lorsque l'on se rend compte que notre comportement (action) n'est pas en accord avec nos opinions (attitudes) il y a un malaise que l'on appelle dissonance cognitive L'individu doit justifier son comportement pour réduire la tension tout en conservant son attitude. iii: Attribution= Processus par lequel on établit un lien entre le comportement es ses causes internes ou externes. iv: Traitement de l'information=

l'individuel et du collectif paraît la discipline la mieux à même de penser le social comme du cognitif et les propriétés de la cognition comme quelque chose de social relié, outre au raisonnement logique, à l'affectif et au symbolique. La psychologie cognitive a mis en évidence les propriétés structurales de la représentation. Mais, ses modèles basés sur l'intelligence artificielle (traitement de l'information, stockage…) coupent le processus mental de sa base sociale, psychique et corporelle. Pourtant

l'individu. Par exemple : Comment le nourrisson gère l'image du monde extérieur (tant des personnes que des objets) ? Comment appréhende-t-il la nouveauté ? A partir de quel moment un enfant comprend-t-il l'abstrait ? L'ironie ? Etc... Psychologie cognitive : traite le processus du traitement de l'information. Cette psychologie traite des processus en jeu de l'information quand on écrit un texte, calcule, etc. Notre cerveau peut traiter une multitude d'information (verbale/ géographique/etc) en même

1.8 La Premi`re topique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e 1.2.1.9 La seconde topique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.2.2 Le behaviorisme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.2.3 La psychologie cognitive de jean Piaget (Psychologue et p´dagogue e (Neuchˆtel 1896 - Gen`ve 1980).) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . a e 1.2.3.1 Les travaux de Piaget . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.2.3.2 L’´volution psychologique de l’enfant .

retrouve chez tout les auteurs, donc tout les champs théorique : psychanalyse psychologie cognitive Ils ont tous abordés la notion de stade mais différemment Chez les psychanalystes la notion de stade peut ce voir comme une configuration psychique qui préfigure chez l’enfant ce qui sera la personnalité chez l’adulte on ne peu pas parlé de personnalité chez l’enfant car il n’y a rien de figé. En psychologie cognitive la notion de stade est plutôt conçu comme une image d’étape, de développement, développement