Gestion Budgétaire

publics Justice sociale et solidarité nationale Les objectifs : (selon Kaldor) La croissance Le plein emploi L’équilibre extérieur La stabilité des prix Les instruments : La politique de l’emploi qui va agir sur les salaires Politique fiscale et budgétaire : agir sur les revenus des gens Politique monétaire B. L’emploi : Le chômage est déséquilibre entre l’offre et la demande : l’O supérieur à la D O : émane des ménages et D entreprise ou l’état Conditions pour être considéré chômeur : 1) Etre sans

interventionniste. Dans le système libéral, le budget de l’Etat était un budget « économiquement neutre », et la procédure budgétaire était dominée essentiellement par le parlement. Dans le système interventionniste qui a suivi, le budget cherche au contraire à influencer l’économie, c’est donc la fin de la neutralité budgétaire. Dans ce système, la procédure budgétaire est une procédure essentiellement contrôlée par le pouvoir exécutif. 1/ Définitions des finances publique : Traditionnellement

long terme mais depuis 1998, ces revenus supportent la CSG (11%)  Certains impôts portent sur le capital taxé lors de sa transmission, de sa gestion et de sa détention. L’impôt sur les successions est prélevé à la suite d’un héritage. Son barème varie en fonction de la lignée et fait peser une fiscalité lourde sur les transmissions d’entreprises. La gestion de patrimoine fait apparaître des plus value suite à la vente d’actifs. Les plus valus subissent un impôt spécifique. La détention du patrimoine

engendre une augmentation importante des dépenses sociales. Cet effet de tenaille compromet l’équilibre financier des organismes sociaux dont la gestion est plus difficile. De plus, le vieillissement de la population va faire baisser à terme le rapport démographique (nbre d’actifs/nombre d’inactifs). Cela ajouté à l’allongement de la durée de vie compromet la gestion des retraites. • Problème de légitimité : la protection sociale peut favoriser des phénomènes de trappe au chômage ou de trappe à pauvreté

................19 Renforcement de l’intégration économique Concentration du risque financier Partie II : Crise de crédit et tensions budgétaires : un risque pour la zone euro ..................................................... 25 Chapitre I : Crise financière et plans de relance mondiaux ......................27 Activisme monétaire Interventionnisme budgétaire Chapitre II : Déficits publics, mur de la dette et balance structurelle ..........30 Financement de l’effort de relance et creusement

(liberté intérieure de circulation Biens, services, personnes) prolongement du système monétaire européen (taux de change fixe entre les monnaies et une monnaie unique) coordination des politiques économiques (Banque centrale européenne pour une gestion commune monétaire) 2. Les 3 étapes et les conditions de passage à la monnaie unique entérinés par le traité de Maastricht (7 février 1992) 1. les 3 phases de l'U.E.M. 1° phase : libérer totalement la circulation des capitaux, réalisée à la date

Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) Faculté des Sciences Economiques et de Gestion (FASEG) [pic] COURS DE POLITIQUE ECONOMIQUE MAITRISE DE SCIENCES ECONOMIQUES M. Birahim Bouna NIANG Maître de Conférences Agrégé Dakar, Novembre 2007 Table des Matières INTRODUCTION GENERALE ………………………………………………………………….. CHAPITRE I : LES PROGRAMMES DE POLITIQUE ECONOMIQUE…………………….. I) Le programme keynésien : le rôle prépondérant

en matière de politiques économiques. En effet, au sein de la zone euro, l'ensemble des actions que peuvent mener les pouvoirs publics pour agir sur l'économie appartient à des institutions différentes qui sont peu coordonnées. La politique budgétaire le domaine des Etats nationaux et la politique monétaire relève de la BCE, qui est indépendante des Etats. Problématique = La création d’une vaste zone économique intégrée englobant les principaux pays européens a-t-elle modifié profondément

F aculte des Sciences Economiques et de Gestion de T unis Annee U niversitaire : 2010 2011 eres Annees LAT CI; LAT BF; LAEGQ 1 Analyse M acroeconomique Serie no:2 Exercice no:1 On considère une économie fermée décrite par les relations suivantes: C = 500 + 0:75(Y I = 1000 md = 0:4Y T) 10000r 20000r où C représente la consommation, Y le produit ou le revenu, T les impôts nets des transferts, I l’ investissement, r le taux d’ intérêt et md la demande de monnaie, G les dépenses publiques et

soutien de la demande 1) Selon J. M. KEYNES, « à long terme nous sommes tous morts » 2) La nécessité de l’intervention de l’Etat pour soutenir la demande effective, un premier aperçu de la théorie keynésienne 3) La mise en place de politiques budgétaire et monétaire expansives pour soutenir la croissance économique et favoriser le plein emploi a) Une politique de relance par le budget de l’Etat b) accompagnée d’une politique monétaire expansive B. En période de croissance effective trop forte