Gestion Budgétaire

d’émettre de la monnaie • Perte de souveraineté monétaire des Etats: la BCE va mener une politique monétaire de manière indépendante.(politique du taux de change et des taux d’intérêt) • Politique budgétaire sous contrainte : le pacte de stabilité et de croissance impose une discipline budgétaire stricte. Des sanctions sont prévues si le déficit public est > à 3 % du PIB. Problème de l’harmonisation fiscale et sociale : elle touche des aspects sensibles de la souveraineté des Etats (ex. harmonisation

plus forte outre-Atlantique, tandis que le niveau de vie dans l’Union économique et monétaire (UEM) demeure environ 30% inférieur au niveau américain. Orientés vers la régulation de la demande à court terme, l’impact des instruments monétaire et budgétaire dans la réalisation des objectifs des pouvoirs publics (croissance, emploi, stabilité des prix, équilibre du commerce extérieur) fait l’objet d’une controverse théorique intense dans les débats économiques. Le changement de cap de la politique économique

solde du budget de l’Etat, auquel il faut ajouter le besoin de financement des administrations publiques. Le Pacte de stabilité et de croissance (PSC), élaboré en 1997, ne faisait que préciser la règle : il fixe l’objectif de moyen terme d’un solde budgétaire « proche de l’équilibre ou en excédent ». Dans le contexte de sortie de crise d’aujourd’hui, les Etats se bornent à vouloir réduire leurs déficits, pourtant, la mise en pratique de cette règle des 3% s’avère difficile, lui faisant perdre de sa

volets la politique budgétaire géré par les banques centrales et la politique monétaire mené par l’état. Aujourd’hui l’union Européen tente de concilier la réduction de la dette publique qui a augmenté considérablement sous l’effet de la crise avec le soutien de la demande global et de la croissance du PIB. Mais les contraintes institutionnelles de l’Europe empêche la mise en œuvre cohérente de la politique monétaire de la Banque centrale Européenne (BCE) et des politiques budgétaires des états membres

marchande (services publics) et d'opérations marchandes (entreprises publiques). L'État redistributeur : il prélève des impôts et les transfère vers d'autres agents économiques. L'État interventionniste : il réglemente l'économie et mène des politiques budgétaires, monétaires, industrielles, fiscales. L'État providence : il agit sur la société civile dans la plupart des domaines d'activités socioculturelles, familiales, de santé, d'éducation, etc. 12 - Les critiques faites à la régulation par l'État En amont

128 L'affaiblissement du dogme de l'équilibre budgétaire.. .................. . ... a) Le budget et la politique économique. ........ . ........................ b) Les mécanismes de base . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . La politique budgétaire et fiscale récente . ................................ a) Le rôle des budgets économiques ..................................... b) La politique budgétaire et fisca le récente . . . . . . . . . . . . .

anticipations inflationnistes et jouent tels des cliquets à la baisse pour atténuer les tensions sociales (répartition salaires-profits). Diverses politiques de lutte contre l’inflation...Désinflation compétitive Inflation par la demande : politique budgétaire (hausse des impôts, diminution des dépenses publiques) ou par une politique monétaire restrictive  Renchérir le coût du crédit ( le taux er d’intérêt ) car le crédit est le 1 facteur de création monétaire et donc de hausse de la masse monétaire

venir notamment des politiques budgétaires et de l'emploi, et si des réformes structurelles sont entreprises dans ces domaines. Dès lors, la stabilité des prix est une condition nécessaire mais pas suffisante pour pouvoir saisir les opportunités qu'offre l'UEM. En ce qui concerne la politique budgétaire, il est absolument essentiel que les gouvernements des Etats membres de l'UE continuent à mettre en œuvre des politiques budgétaires visant une situation budgétaire proche de l'équilibre ou en excédent

l’Irlande est indûment restrictive pour l’Allemagne et l’Italie ; des politiques budgétaires dans un entre deux désastreux : trop contraintes pour exercer un effet dynamique sur la demande, mais pas assez pour parvenir à la consolidation budgétaire prévue par le pacte de stabilité. C’est une source de conflits entre les pays qui n’est pas régulée par un exécutif économique capable d’élaborer une politique budgétaire concertée pour la zone euro dans son ensemble. Les petits qui s’en tirent bien accusent

massivement. Afin de lutter, en outre, contre la crise économique, ils ont mis en œuvre des politiques budgétaires expansionnistes afin de soutenir la demande globale. Ainsi selon le Fonds monétaire international (FMI), les pays du G20 ont consacré 17,6% de leur PIB au soutien direct du système bancaire et seulement, toujours en moyenne, 0,6% du PIB EN 2008, 1,5% en 2009 et 1% en 2010 en mesures budgétaires discrétionnaires.  Ajoutons à cela, que les pays de la zone Euro ont consacré 1,6% de leur PIB, sur