Gestion intégrée des zones côtières

wilayas côtières. • Des choix à faire entre la petite et moyenne hydraulique (PMH) et grands périmètres d’irrigation (GPI) en fonction des avantages comparatifs avec une plus grande attention pour la première et le souci légitime de rentabiliser la (GPI). 4 d- Assurer une eau de qualité : une action impérative - par un meilleur traitement de l’eau potable – épuration des eaux usées et effluents industriels – limitation des épandages agricoles. e- Le renouvellement de la gestion de l’eau

synthétiques permettant d’appuyer les prises de décision des différents acteurs de la vie politique, économique et sociale du pays à tous les niveaux.   L’utilisation des informations synthétiques sur l’état de l’environnement permet également d’intégrer la gestion de l’environnement dans les différentes politiques et stratégies nationales, ainsi que dans les plans de développement régionaux ou sectoriels du pays.   Les informations réunies et diffusées par le biais des indicateurs du TBE portent sur l’état

thermique de l'eau ainsi qu'à la fonte des glaciers émergés imbibe et salinise les côtes, alors que plus de la moitié de la population mondiale vit dans les zones côtières. Il résulte donc du changement climatique une imprévisibilité très importante des nouvelles conditions locales. En effets, les cultures sont affectées plus négativement dans les zones tropicales qu’à des latitudes plus hautes et l’impact s’avère encore plus sévère avec une augmentation de la température. Tout cela va bien entendu affecter

pluie et donc des nappes d’eau dont le cycle de renouvellement est interrompu, c’est ce qu’on appelle des eaux fossiles. On trouve ces eaux fossiles dans des zones aujourd’hui désertiques mais qui, il y a quelques millénaires étaient soumis à un climat équatorial. Il y a dans le désert nord africain, en Asie, en Amérique du Sud des zones de cette sorte. L’idée de retrouver ces nappes d’eau pour les exploiter est très importante, un grand nombre d’Etat sont en train de prendre conscience de ces

pouvoir auto-épurateur des eaux réceptrices, induisant ainsi un risque pour la santé humaine et les écosystèmes. La gestion des eaux usées représente donc un axe important de la politique environnementale de la Région wallonne, qui doit contribuer efficacement à la préservation et à la restauration de la qualité des cours d’eau, des zones humides, des eaux souterraines et des eaux côtières. La politique régionale en matière de traitement des eaux résiduaires est régie par une directive européenne contraignante

programme : Des objectifs généraux à réaliser : 1) Ce choix décidé, il fallait lui adopter les objectifs généraux assignés au programme par le BO pour définir une méthodologie qui aboutisse à la construction cohérente de 6 ou 7 leçons, reliées et intégrées à la progression annuelle. · Quels sont ces objectifs ? Comment les mobiliser sur ce thème ? On peut les traduire par une formule, à allure mathématique : “ 3X3 ” ! * 3 notions : organisation, aménagement, environnement ; * 3 axes

port sur un hinterland plus large. Hinterland économique La région de l’Oriental génère un flux de marchandises principalement agro-alimentaire. L’économie du transport et de la logistique se développe de manière exponentielle, avec plusieurs zones industrielles et logistiques existantes ou en projet  (Parc Agroindustriel de Berkane, Parc Industriel de Selouane, Parc technologique d’Oujda…) Par ailleurs, le port dispose d’une zone industrielle d’une superficie de 60 ha, occupée actuellement à

AOUT 2006 Résumé Les catastrophes résultant de causes naturelles ont généralement augmenté en fréquence et en intensité dans la sous-région, notamment dans la zone sahélienne. Plus de 75% de la population en Afrique de l’ouest vivent dans des zones affectés, au moins une fois tous les deux ans, par des tempêtes de sables, d’inondation, de sécheresse ou du séïsme. En Afrique de l’ouest, des centaines de vie et des moyens de vivre de la population sont exposés, au moins, à un évènement catastrophique

pilote : ONUDI Agences associées : OMS, DAES Défi 6 – Mettre en avant l’énergie pour répondre aux besoins du développement 21 Agence pilote : ONUDI Agences associées : OMS, PNUE, Commissions régionales / Banque mondiale Les défis en matière de gestion : responsabilités et gouvernance Défi 7 – Minimiser les risques et faire face aux incertitudes 23 Agence pilote : OMS Agences associées : DAES, UNESCO, OMS, PNUE, DIPCN, CCD, CBD, Commissions régionales Défi 8 – Partager l’eau : définir un intérêt

et en se conformant à une combinaison de régimes internationaux et régionaux de non-prolifération, et d'accords de limitation des armements et de désarmement, tels que le TNP, la CWC, la BWC, le CTBT, et/ou à des arrangements régionaux, comme des zones exemptes d'armes, y compris leurs systèmes de vérification, ainsi qu'en respectant de bonne foi les engagements des parties au titre des conventions de limitation des armements, de désarmement et de non-prolifération. 9 2. 3. 4. 5. Les