Glaces Super Premium

Homemade Holdings Inc. Depuis son existence, Ben & Jerry’s ont réussi à atteindre un chiffre d’affaire de plus de 250 millions de dollars (chiffre de 2006) dont 2.5 millions de dollars de chiffre d’affaire réalisé aux USA. Ben & Jerry’s vend des glaces dans plus de 300 pays et des franchises sont présentes dans plus de 24 pays. Ben & Jerry’s a été racheté par Unilever qui a lancé un plan de restructuration en 2000 . Unilever choisit de se concentrer sur ses marques phares. Mais Unilever n’est

veut strictement rien dire, à la notoriété quasi nulle en 1990, la filiale grand Metropolitan a su se faire une place sur le marché français. On voit se profiler un marketing offensif qui a pris les « jeunes urbains aisés » pour cible et le « super premium » pour créneau. Häagen dazs joue la carte de l’élitisme sur deux tableaux à la fois : Les boutiques installées dans des lieux stratégiques et dans les grandes surfaces avec un concept particulier. Et du côté de la communication, Häagen dazs préfère

ont tout plaqué, tout misé sur un concept en lequel ils croyaient, et ont tout fait pour développer leur entreprise au mieux. Michel et Augustin ont le goût de la prise de risque, ils ont suent prendre des risques pour s’imposer en tant que marque premium parmi les autres. Pour ce faire ils ont repensés toute leur entreprise, ils ont changés de siège social afin de bénéficier d’un espace nécessaire à leur développement. Ils ont ouvrèrent une partie de leur capital à un nouvelle associé, la holding

américaine de crème glacée, créée par Reuben Matus, un petit artisan glacier, dans le quartier du Bronx à New York en 1961. C'est aussi devenu une chaîne de magasins qui vend les glaces de sa propre marque dans le monde entier. Häagen-Dazs produit des crèmes glacées, des barres glacées, des sorbets, et des yaourts glacés. Häagen Dazs est leader de la crème glacée de luxe aux Etats-Unis et au Japon, et malgré son nom à consonance scandinave, l’entreprise est d’origine américaine. Il s'agit de deux

aux États-Unis dans le secteur des ventes au comptoir de crème glacée, de yogourts glacés et de sorbets de très haut de gamme. Ses produits sont aussi offerts au Canada, en Israël, en Grande-Bretagne et même en Russie, et elle commence à s'intéresser au marché de l'Europe continentale, en particulier aux supermarchés français. L'entreprise a vendu en 1995 plus de 20 millions de gallons de crème glacée, yogourts glacés et sorbets, ce qui s'est traduit par un chiffre d'affaires de plus de 155 millions

tendances Les notions de naturalité, légèreté et bienfait n’ont jamais été aussi porteuses. Face à cette tendance, les frontières entre les différents segments de BRSA deviennent poreuses. Place à l’innovation avec les eaux aromatisées, les thés glacés à basse teneur en calories, les sodas aux extraits de fruits 100 % light, les mélanges de jus de fruit et d’eau de source. On constate également l'apparition d’un nouveau segment très porteur: les produits sucrés à la Stévia, nouvel ingrédient permettant

LENVIRONNEMENT ET DU MARCHE LES OBJECTIFS A ATTEINDRE COMMENT NOTRE PLAN REPOND AUX OBJECTIFS I. ANALYSE DE LA SITUATION 1. Analyse externe 1. Le marché Le marché français des glaces est estimé à 312 millions de litres soit 940 millions d’€ en 2001. (page10) On assiste à un tassement du marché en volume (en GMS) en 2001 avec 102,3 millions de litres soit 0 % d’évolution sur la saison estivale 2001. (page10) Sur le long terme

pourquoi le faire ? »). Cela exprime bien leur volonté d'engagement et démontre le ton décalé résolument employé par l'entreprise. B- Fonctionnement - Mise en place Ben & Jerry's se positionne à la 2eme place sur le marché des super premium avec 38% de PDM, juste derrière Haagen Dasz (42%). Rachetée en 2000 par le groupe Unilever, Ben & Jerry's est désormais présente dans 24 pays et compte plus de 600 boutiques. Partout en France vous pouvez trouver des produits Ben &

Les parts de marché - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - p.13 2. Comparaisons des stratégies - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -p.14 3. Les marchés à part : le marché des glaces - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - p.16 IV) Les évolutions possibles et attendues - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -p.17 1. Le développement des MDD face aux autres marques - - - - - - - - - - - -

formules font mouche, promettant «zéro E machin chose», ni OGM, et faisant passer les jus ordinaires pour d'obscures boissons toxiques. Chacun son créneau : Innocent se distingue avec un produit écolo-friendly (lire ci-contre), l'outsider Immedia se veut super cool, Michel & Augustin joue la carte du monofruit et les distributeurs celle du prix défiant toute concurrence. Car le fruit à boire reste un produit cher. Le panel Nielsen évalue le prix moyen du litre à 5,20 euros même si l'arrivée des packs hard