Glass-Steagall Act

à l'immobilisme et à l'indécision : la séparation EST nécessaire ● ● Plan I. Un refrain connu II. La crise, état des lieux I. Un refrain connu 1. Un peu d'histoire ● XIXème : Henri Germain, un précurseur 1933 : Arrivée du Glass-Steagall Act qui énonce une incompatibilité entre les deux banques 2012 : Sandy Weill, un rôle contradictoire ● ● I. Un refrain connu 2. Politique française ● Pierre Moscovici et le numéro 566 François Hollande et son « indécision » : la séparation

contexte institutionnel 2. L’activité des banques saisies à travers leur bilan 3. L’exploitation bancaire 1) Le contexte institutionnel
Contexte historique  Etats-Unis: Mc Fadden Act (1927), Glass Steagall Act (1933)  Europe, France
Déréglementation → ex: Riegle-Neal Act (1994); Gramm-Leach-Bliley Act (1999)
Concurrence France
Loi bancaire (1984) → Etablissement de Crédit: banques, banques mutualistes et coopératives, caisses de crédit municipal, sociétés financières, IFS

auteur qui tient l'analyse monétariste pour erronée car trop focalisée sur la politique monétaire aux États-Unis et négligeant des éléments importants tels que : le rôle de la spéculation sur les valeurs mobilières, la mise en oeuvre tardive duGlass-Steagall Act, l'incapacité des États-Unis à se comporter en nation créancière, la dislocation de l'Europe après la Première Guerre mondiale13. De façon plus générale, cet auteur refuse d'entrer dans la controverse des années 1970 entre monétaristes et keynésiens

spécialisation des régions agricoles); l’ap- plication de tarifs protectionnistes (McKin- ley Act, 1890) ; le choix du monométal- lisme (triomphe de l’or contre l’argent) pour stabiliser les prix et augmenter le pouvoir d’achat (Gold Standard Act, 1900). Ni la classe ouvrière, constituée en syn- dicats pourtant réformistes (Knights of Labor 1869, American Federation of Labor 1886) ni la loi antitrust (Sherman Act 1890), concédée à l’opposition, ne mena- cent les dispositions générales. Theodore Roosevelt

partie du capital des grandes entreprises, particulièrement au Japon et en Allemagne. Les marchés financiers avaient du coup une importance très faible. Aux États-Unis, les banques de dépôt avaient même l'interdiction d'y participer depuis le Glass-Steagall Act de 1933, adopté en réaction au krach d'octobre 1929. C'est dans les années 1970 que deux nécessités et trois événements ont contribué de manière décisive à la forte croissance des marchés financiers et au basculement vers le système actuel

sur le capitalisme libéralisé à l'extrême, remets son système en cause notamment au sujet des banques. En effet, dés 2009 lors des élections présidentielles américaines, le parti conservateur, dirigé par John McCain envisage même le retour du Glass-Steagall Act abrogé en 1999 au vue des nombreuses violations par les banquiers américains. Cette loi séparait la banque d'investissement de la banque de dépôt; un taux d'intérêt plafonné sur les dépôt bancaire et le système fédéral d'assurance des dépôts

croissance au début. Avant 1980, système avec soit banque de dépôt où les épargnants déposaient leur économie soit les banques d’investissement : assurer une rémunération à l’argent déposé. Au EU, cette spécialisation s’est opérée clairement avec le Glass Steagall Act de 1933. Les taux d’interet étaient fixés par l’Etat : pas de décrochage entre l’Etat et une banque centrale. Circulation des capitaux très limitée avant 80, car vision mercantiliste des Etats : la masse monétaire ne devait pas connaitre des

handicapes pour leurs exportations Q : Le principal risque des plans d’austérité en Europe est (X) de casser tout espoir de reprise économique Q : Concernant la gouvernance du FMI, la dernière réunion a prouvé… (X) pas au programme Q2: – Le « Glass –Steagall » act…. (X) Non, la proposition précédente est complètement fausse, c’est l’inverse il faudrait l’imposer au monde entier, Q6 : – Concernant les économies européennes, les inquiétudes actuelles se portent sur…. (X) La déflation, Q16 : – Les similitudes

volontés des banquiers. On remarque, en effet, qu’à partir de Clinton, le pouvoir de Wall Street sur les politiciens n’a cessé de croître, en même temps que le pays s’est désindustrialisé: Clinton s’est soumis aux financiers en supprimant le Glass Steagall Act de Roosevelt, qui prévoyait notamment de séparer les banques de détails et d’investissements. Aussi, Henry Paulson, ancien Président de Goldman Sachs, était ministre des finances sous la dernière année du mandat de Georges Bush. Il maîtrisait

faire le marché, restant donc passifs devant la spirale de la récession. Il faudra en effet attendre 4 ans, avant que Franklin Roosevelt, élu en 1932, mette en œuvre des réformes (New Deal) et règlemente le secteur bancaire américain (Glass-Steagall Act et Mc Fadden Act). Aujourd’hui, les gouvernements sont plus réactifs, comme en témoignent le « package fédéral » de 700 milliards de dollars aux Etats-Unis et les plans d’action extensifs mis en place par les pays européens. De ce fait, on peut espérer