Glissement

sont élastiques ou flexibles, moins les charges sismiques ressenties par le bâtiment sont importantes. Cependant une trop grande flexibilité diminuera considérablement la stabilité de l’ouvrage en temps normal. - Les appuis à glissement : Les appuis à glissement permettent de diminuer les forces horizontales qu'exerce un séisme sur les structures. Il s’agit de deux blocs distincts qui glissent l’un par rapport à l’autre. - Les appuis à roulements : Elles possèdent un fonctionnement similaire

des particules (pavés vs. billes), de la nature des liens existant dans le matériau et du pourcentage de vide (porosité) (sable sec vs. sable humide, fractures gelées ou non), de la rugosité et de la lubrification (par l’eau) de la surface de glissement, etc… Evolution de l’état de stabilité L’état de stabilité peut évoluer et une pente stable sous certaines conditions peut devenir instable lorsque ces conditions changent. Il y a ainsi rupture (ou mobilisation) lorsque S > R. Une diminution

: dans ce cas un ensemble de particules est mis en mouvement par un mobile au sein du mélangeur. Ce mécanisme est prédominant dans les mélangeurs a ruban, a vis sans fin. - Mélange par cisaillement : dans ce cas, apparait un ensemble de plan de glissement de couches de particules dans le mélange sous une action mécanique. Le mouvement relatif de ces plans implique un brassage des particules. En général, la granulation peut être réalisée a faible taux de cisaillement, par exemple en lit fluidise,

températures élevées).Ce système nécessite une surveillance périodique afin d'éviter un bris éventuel de la courroie. Les engrenages (roues dentées) L'engrenage maintenant la transmission du mouvement constante puisqu'il ne peut pas y avoir de glissement grâce à la denture des roues.Ce système peut être de très petite taille ce qui permet de transmettre des mouvements dans de petits espaces.Il s'agit d'un système performant, car les vitesses de rotation peuvent être très élevées. Ce système génère

coordonn¶es, a condition qu'elles soient e e µ ind¶pendantes du temps (comme celles que nous venons de voir, si la longueur des ¯ls des pendules e e est invariable)1 . Elles ne d¶crivent pas les contraintes entre vitesses (par exemple le roulement sans glissement) mais nous verrons plus loin comment on peut en tenir compte. Il ne reste alors que n coordonn¶es g¶n¶ralis¶es ind¶pendantes que nous noterons qi ; i = 1:::n. Soulignons une fois de plus e e e e e que ces coordonn¶es ne sont pas n¶cessairement cart¶siennes

petit pignon de l'arbre primaire avec un grand pignon de l'arbre secondaire. La transmission Types : cardan, chaîne ou courroie Entretien : Pour Une transmission par chaîne : Tension, nettoyage, graissage La lubrification Permet d'optimiser le glissement des pièces les unes par rapport aux autres par l'interposition d'un film d'huile entre les éléments en mouvement. La norme OTAN : Huile minérale O 236 : 15w40 Huile de synthèse O 1179 : 5w40 Huile de transmission O 226 : 80w90 Les autres ingrédients

9. Adhérence Le coefficient fa tel que fa = Fa/P est le coefficient de frottement d'adhérence C’est la force exercé sur un solide qui va à l’encontre du mouvement du solide, donc c’est une force résistante au mouvement 10. Définition de glissement 11. Formule de poid La Pesanteur est l'action de l'attraction terrestre (g) : c'est une force verticale dirigée vers le bas qui s'exerce sur tout corps de masse m. En absence de mouvement, cette action correspond au poids et elle est proportionnelle

rotation entre les rouleaux est réalisée par friction, c’est à dire par adhérence entre les rouleaux. Des anneaux caoutchoutés montés sur les cylindres 1, 2 et 4 permettent le pincement et l’entraînement de la gaine. On admet qu’il n’y a pas de glissement entre la bande et les différents éléments qui assurent son déplacement. • On donne : - La vitesse linéaire de la gaine au point A, VA = 0,4 m/s - Les diamètres des cylindres sont respectivement : D2 = 86 mm D3 = 96 mm D4 = 55 mm • Objectif

le coefficient cinétique de 0,235, ce qui était attendu. En effet, il est nécessaire d’avoir une force d’adhérence (fs) plus grande afin de vaincre cette adhérence et commencer à faire glisser le chariot. Une fois la valeur du fsmax dépassée, le glissement devient consécutif et l’objet nécessite une moins grande force pour le faire avancer. D’autre part, il est possible de comparer le coefficient de frottement statique expérimental au coefficient théorique. Le coefficient théorique est de 0,5

qui montaient d'une volée dans le beffroi, où ils passaient sur les molettes, pour descendre à pic dans le puits s'attacher aux cages d'extraction. Une charpente de fer, pareille à la haute charpente d'un clocher, portait les molettes. C'était un glissement d'oiseau, sans un bruit, sans un heurt, la fuite rapide, le continuel va-et-vient d'un fil de poids énorme, qui pouvait enlever jusqu'à douze mille kilogrammes, avec une vitesse de dix mètres à la seconde. Lentement, Etienne revint à la recette