Glorieuses Revolution Invisible

l’évolution des théories économiques. Au XVIIIème siècle : la division du travail, une promesse Jean Perronet, ingénieur et directeur des Ponts et Chaussés, s’est intéressé à la question du travail et de la productivité, a eu vent d’une espèce de « révolution » à l’usine de l’Aigle en Normandie. Jean Perronet a rédigé un mémoire pour le Roi décrivant la nouvelle façon de travailler dans cette manufacture d’épingle, ils ont divisé les étapes en 16 opérations : couper le fil de fer, assembler la tête de

qui sert les intérêts particuliers et ce qui sert les intérêts particuliers est ce qui produit le plus de plaisir. Autrement dit, le bien est la maximalisation du plaisir : c’est de l’hédonisme et dans une certaine mesure égoïsme. C’est la main invisible qui rend possible ce principe. Principe Economique * Deuxième principe. Comme ces plaisirs dépendent dans une grande mesure des autres, il est sage et intelligent de chercher le plaisir des autres pour obtenir pour soit d’avantage de plaisir

l’approche libérale. Il y a des atomes (individus), et c’est une économie pour un individu. Elle enseigne le comportement égoïste et rationnel et au chef d’entreprise de maximiser les bénéfices, le reste on s’en fout, la main invisible gère le reste. Pour Keynes, la main invisible n’existe pas. On n’obtient pas un optimum sans rien faire. Si on laisse faire le marché, on va dans le trou. DL baisse --> w baisse  R baisse  Db&s baisse p baisse P baisse  DL Cercle vicieux. Dans lequel l’économie tombe

phénomène unique aux effets pervers. Aucun d’eux ne le décrit comme un modèle diversifié. Historique du capitalisme On considère que le capitalisme apparaît entre le XVIème et XVIIème siècles. Il se développe vraiment pleinement lors des révolutions industrielles (XVIIIème et XIXème siècles). Il y a 3 grands changements historiques qui font que le capitalisme apparaît : - l’apparition de l’entreprise (avant cela prenait forme au sein de la famille). Cela commence au moment où les paysans

seulement un espace géographique, c’est aussi un territoire imaginaire ou l’on projette ses fantasmes. A cette époque le terme « Orient » englobe tout ce qui se trouve à l’Est de la France. C’est-à-dire les Etats Slaves, l’Empire Ottoman, la Russie glorieuse, l’Arabie, l’Inde, la Chine et le Japon. L’Orient, c’est l’autre, l’exotique qui fait rêver. Là-bas, les femmes s’habillent de matières légères, telles que les mousselines et les indiennes (cotonnades teintées). Tout au long du siècle l’Orient revient

intéressant paradoxalement. T. a élaboré une vision de la société basée sur la quête du bonheur, du bien-être (s’oppose à Marx ou à Auguste Comte : lutte des classes et vision organiciste) T. nous dit que la marche vers la modernité n'est pas si glorieuse, facile, tracée, monolithique. Elle est au contraire difficile, hésitant. Il invite ainsi à une vigilance vis à vis de la démocratie. « Le but est la démocratie, mais la démocratie est un risque.» Pour T. l’égalité détermine la Liberté. Cette 

qui sert les intérêts particuliers et ce qui sert les intérêts particuliers est ce qui produit le plus de plaisir. Autrement dit, le bien est la maximalisation du plaisir : c’est de l’hédonisme et dans une certaine mesure égoïsme. C’est la main invisible qui rend possible ce principe. Principe Economique * Deuxième principe. Comme ces plaisirs dépendent dans une grande mesure des autres, il est sage et intelligent de chercher le plaisir des autres pour obtenir pour soit d’avantage de plaisir

qui nous attachent les uns aux autres et à la société, qui font de la masse des individus un agrégat et un tout cohérent. ». Pour Durkheim, ce « tout », cet « ensemble », la « société » est autre chose que la somme des individualités. À la « main invisible » d'Adam Smith et au cadre de la concurrence qui règle l’économie, Durkheim oppose la solidarité fondée sur des buts communs qui permettent aux individus de trouver dans le groupe et la vie collective un réel plaisir, une source de satisfaction

développe. Puis il commence à être dénoncé. D'un point de vue économique, à partir de la reconstruction de l'Europe, émergent le bien-être et la société de consommation ; les richesses ne sont plus aussi concentrées. Ce sont les trente années dites glorieuses d’expansion et de croissance économique. Les grandes entreprises s'implantent partout dans le monde ; on parle de multinationales voire de transnationales. La croissance et la complexification du capitalisme sont à l'origine d'un développement

là où la physiocratie à été en échec, la France n’a pas pris l’option du libéralisme politique, elle allie libéralisme économique au centralisme politique. Aucun régime politique ne c’est débarrasser du centralisme politique et administratifs, la révolution à centrer l’essentiel des pouvoirs à Paris. La France conserve un très grand interventionnisme étatique. Par exemple, entre 1930-1848 sous la monarchie de Juillet, Guizot ne cesse de légiférer sur tout, de tout réglementer bien qu’elle soutient