Glycoprotéine

assure secondairement la disparition des caillots, parallèlement à la cicatrisation du vaisseau. Elle fait intervenir le plasminogène qui, sous l’action de différents activateurs, va se transformer en plasmine (enzyme protéolytique = glycoprotéine du foie) La plasmine va dégrader la fibrine (le caillot) en produits de dégradation de la fibrine (PDF) solubles (vite métabolisés) Des systèmes inhibiteurs vont assurer la régulation de cette fibrinolyse. Les syndromes hémorragiques sont

Le nombre de molécules de lipides est supérieur au nombre de molécules de protéines car le poids moléculaire des lipides est inférieur à celui des protéines. Il existe des glucides en faible quantité (5% du poids sec) : -liés à des protéines (glycoprotéines, protéoglycanes) -liés à des lipides (glycolipides) -toujours sur le versant extracellulaire (glycocalyx) La membrane des globules rouges (hématies) : 52% de protéines ; 40% de lipides ; 8% de sucres II. Les lipides de la membrane plasmique

hormones ovariennes, sont en concordance avec le cycle ovarien. Il s’agit d’un hydrogel, qui a la consistance du blanc d'œuf, Le pH de la glaire varie entre 6,5 et 8,5, avec un maximum à l’ovulation. Au microscope électronique à balayage, les glycoprotéines de la glaire cervicale prennent l’aspect de fibres d’épaisseur variable. Elles sont organisées en un réseau irrégulier, dont les mailles sont plus ou moins resserrées selon les phases du cycle, avec un maximum de laxité pendant la période ovulatoire

Critère chimique : Les extraits du sang efférent renferment un ou plusieurs produits chimiquement bien définis et biologiquement actifs * D’un point de vue biochimique ce sont des molécules variées peptidiques ou protéiques (Insuline) ou des glycoprotéines ou des stéroïdes. * Critère physiologique : Les produits endocrines libérés dans le milieu int exercent leurs actions généralement à distance sur les organes effecteurs (cibles). Les hormones produites par les cellules spécialisées constituent

modérée ou grave, l’administration de la bilastine en association à des inhibiteurs de la glycoprotéine P, comme p.ex. : le kétoconazole, l’érythromycine, la ciclosporine, le ritonavir ou le diltiazem, peut augmenter les taux plasmatiques de bilastine et donc le risque d’effets indésirables. Pour cette raison, la co-administration de la bilastine avec des inhibiteurs de la glycoprotéine P devrait être évitée chez les patients souffrant d’une insuffisance rénale modérée

codées par des gènes portés par le chromosome 6. Elles sont classées en 2 catégories: - molécules de classe I: glycoprotéine présente à la surface de tout les cellules. Elles sont constituées d’une chaîne lourde  et d’une légère . Leur rôle est de permettre la présentation de l’Ag en association avec le soi ou lymphocyte T cytotoxique (LTc T8) - molécules de classe II: glycoprotéine formé d’une chaîne  et d’une  présente à la surface des lymphocyte B et des macrophages. Ils interviennent dans

types cellulaires mais surtout dans les tissus conjonctifs. Constitution : Des fibres : collagène, élastine et réticuline. Des glycoprotéines (GP) et protéines. Des glycosaminoglycanes (GAG) Sultafés : héparine, kératane sulfate… Non sulfatés : acide hyaluronique. Dans le tissu conjonctif le gel hydraté baignant les cellules et les fibres et constitué de glycoprotéines et de glycosaminoglycanes porte le nom de substance fondamentale. La substance fondamentale contient : De l’eau. Des protéoglycanes

Constitué d'eau à 80%, de fibres d'élastine (l'élastine est une protéine qui compose la plus grande partie des fibres tissulaires jaunes élastiques présentes dans différentes parties du corps) et de collagène noyées dans un gel de glycoprotéines (Les glycoprotéines sont un groupe de protéines conjuguées constituées de protéines et de glucides. ), le derme est le tissu de soutien de la peau. A la différence de l'épiderme, il est vascularisé, ce qui lui permet d'apporter à l’énergie et les nutriments

reconnaissance de la cellule. Les glucides sont associés à des protéines formant alors des glycoprotéines ou à des phospholipides formant des glycolipides. Du cholestérol un lipide est présent entre les phospholipides pour fluidifier l'ensemble et rendre la membrane souple. Schéma de la membrane plasmique Partie hydrophobe Partie hydrophile Protéine canal Cholestérol Glycolipide Phospholipide Glycoprotéine Glucide Milieux extracellulaire aqueux Milieu intracellulaire aqueux Éthanol Glucose

mitochondries = protéines codées par ADN mitochondrial - Ribosome des chloroplastes = protéines codées par ADN chloroplaste - Ribosome cytosolique (libre) = prot cytosolique, cytosquelettique, du noyau … - Ribosomes fixés au RE = prot de sécrétion, glycoprotéines membranaires intrinsèques, enzymes III. RÔLE DU RE DANS LA SYNTHESE ET LE TRAJET INTRACELLR DES PROTEINES 1. MECANISME D’INSERTION COTRADUCTIONNELLE, THEORIE DU SIGNAL - traduction stoppée si absence d’association RE+Ribosome - les