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Fiche de Lecture : « C’est vrai que la télé truque les images ? » Daniel Schneidermann I. Daniel Schneidermann. Daniel Schneidermann est né le 5 avril 1958. Cet homme eut un parcours journalistique mais aussi littéraire : Un journaliste qui a fait ses preuves : Daniel Schneidermann, après des années d’études littéraires, suit des cours à la CFJ (centre de formation des journalistes). Suite à cette école, il entre au journal le monde. C’est là que débute sa carrière de journaliste

propre, suite de cinq tracts reproduisant chacun l'un de ses tableaux avec un poème de Goemans, et Les Mots et les images dans La révolution surréaliste. Ses peintures jouent souvent sur le décalage entre un objet et sa représentation. Par exemple, un de ses tableaux les plus célèbres est une image de pipe sous laquelle figure le texte « Ceci n’est pas une pipe » (La Trahison des images, 1928-29). Il s’agit en fait de considérer l’objet comme une réalité concrète et non pas en fonction d’un terme

paysage de biais puisse se fondre totalement et parfaitement dans un paysage qui est de face. Dans La Trahison des images, Magritte nous montre clairement et ironiquement la différence entre une pipe réelle, l’idée abstraite de la pipe (le signifié) et sa reproduction par le tableau, il veut nous montrer l’interaction de ces différents niveaux de réalité. La Trahison des images, René MAGRITTE, 1929 Dans Les Promenades d’Euclide, nous avons le même problème. Le fait de savoir qu’il y a là un

intéressante par le paradoxe qu’elle propose qui nous a permis aussi de comprendre pourquoi le réalisme porte mal son nom, qui nous fait distinguer le réel et l’œuvre (sa représentation). De même que René Magritte dans son célèbre tableau « la trahison des images » nous étonne car il fonctionne sur un paradoxe pour nous faire réaliser que la vie et l’art sont différents.

A quoi sert le titre d’une œuvre ? Emile Fabre, auteur dramatique français du début du XXe siècle, envisageait le titre comme « le point de vue où l’on met le public pour juger l’œuvre ». Ainsi considéré, il semblerait que le titre n’ait nul autre objectif que celui d’orienter le jugement d’un public dans un sens souhaité par l’auteur. Cette conception sous-entend non seulement une entière passivité du spectateur à l’égard de ce qu’on lui donne à voir, mais également une certaine manipulation

Présentation : Ce tableau s’intitule « Triple autoportrait « . Cette huile sur toile peinte en 1960 par Norman Rockwell mesure 113,5 cm sur 87,5 cm . Cette peinture était destinée à la couverture du Saturday Evening Post du 13 février . Cette œuvre appartient au mouvement de l’hyperréalisme. Ce tableau est exposé au Musée Norman Rockwell de Stockbridge aux Etats-Unis . Contexte historique : A cette époque, c’est aussi la modernisation non seulement dans la vie quotidienne mais aussi dans la peinture

Le thème choisi est la poésie des objets car les poèmes ayant comme thème des objets sont intéressants, puisque ceux-ci ouvrent l’esprit et font voir les objets d’une manière bien différente de celle dont on a l’habitude. De plus, comme le disait Lamartine « Objets inanimés, avez-vous donc une âme ? » à travers certains poèmes, les objets sont décrit tel des êtres vivants. J’ai choisi de classer les poèmes par ordre chronologique. Le premier poème choisi est « Odelette à son bouquet » de Ronsard

en 1842, est considéré comme le livre fondateur de ce genre. Puis, il va se développer dans le 19e siècle avec Baudelaire ou encore Rimbaud, et par la suite au 20e avec par exemple Aragon ou Paul Eluard. La Trahison des images est un des tableaux les plus célèbres de René Magritte, peintre majeur du surréalisme. Il représente une pipe, accompagnée de la légende suivante : « Ceci n’est pas une pipe. ». A partir des questions de la première page, nous allons voir en quoi

Lengua y Literatura Etica, Estética y Literatura Deveseleer Florine Au croisement de Magritte, Nougé et Baudelaire : « La géante » ou la problématisation des mots et des images Le présent travail se propose d’analyser l’œuvre « La géante » du peintre belge René MAGRITTE1, où l’artiste incorpore un poème signé « Baudelaire ». En réalité, il ne s’agit pas de l’authentique texte des « Fleurs du mal » qui porte le même titre que ce tableau, mais d’une réécriture de celui-ci par Paul NOUGE, un

Magritte : - Mise en évidence de l’apparente vision des choses : est-ce que ce que je vois est la réalité. Comment définir cette distinction. (« La trahison des images » : Ceci n’est pas une pipe de Magritte). Qu’est ce qui est tangible ? 3) Le tangible et ses détournements d’images : Comment ce mouvement surréaliste réussit-il à utiliser les images et à les détourner : - prendre les choses au 1er degré (Il pleut des cordes, voir rouge…), - déplacer les éléments de leur contexte (des pieds de chaise deviennent