Gouffre

I) B) 2) : 2 personnifications : « prince des nuées », « roi de l’azur » + Caractérisation de l’oiseau par sentiments humains : « indolent, maladroit, honteux. » I) B) 3) : Poésie symboliste : Albatros → poète, Equipage → société, Navire → terre, Gouffre → Mort. Ces éléments permettent lors d’une relecture du poème à mieux comprendre. II) A) 1) «vastes » → adjectif → caractérise l’animal et le poète → notion d’ampleur → univers idéale → liberté. Symbolique → l’oiseau représente l’état spirituel

écrit d'ailleurs sa propre conception de la beauté dans « L'hymne à la beauté », en approfondissant toutes celles qu'il a déjà énumérées. Il la compare à quelque chose d'instable grâce à des oxymores qui créent de violents contrastes, tels que « gouffre noir / astre », « Ciel / Enfer », « De Satan ou de Dieu, qu'importe ? ». Puis vient la fin de la section avec l'arrivée du Spleen, mot intraduisible en français. On pourrait tout de même le traduire par la mélancolie à son paroxysme, cette nostalgie

retrouver confronté à des oppositions majeures au sein d’un État vis à vis de l’investissement vers ce type de production. Le modèle de Moore en ce qui concerne notre technologie peut s’appliquer dans un domaine socio-économique, c’est à dire que le gouffre peut être assimilé à l’hésitation que les États ont à investir dans un tel type de technologie. On peut en effet considérer que quelques années auparavant, la technologie éolienne n’était pas véritablement attrayante, dans la mesure où les prix du

qui ? jailli de l’ombre ; Montant et descendant dans notre tête sombre, Trouvant toujours le sens comme l’eau le niveau ; Formule des lueurs flottantes du cerveau. Oui, vous tous, comprenez que les mots sont des choses. Ils roulent pêle-mêle au gouffre obscur des proses, Ou font gronder le vers, orageuse forêt. Du sphinx Esprit Humain le mot sait le secret. Le mot veut, ne veut pas, accourt, fée ou bacchante, S’offre, se donne ou fuit ; devant Néron qui chante Ou Charles-Neuf qui rime, il recule

par qui ? jailli de l’ombre ; Montant et descendant dans notre tête sombre, Trouvant toujours le sens comme l’eau le niveau ; Formule des lueurs flottantes du cerveau. Oui, vous tous, comprenez que les mots sont des choses. Ils roulent pêle-mêle au gouffre obscur des proses, Ou font gronder le vers, orageuse forêt. Du sphinx Esprit Humain le mot sait le secret. Le mot veut, ne veut pas, accourt, fée ou bacchante, S’offre, se donne ou fuit ; devant Néron qui chante Ou Charles-Neuf qui rime, il recule

L’Homme et la Mer Charles Baudelaire Texte : Homme libre, toujours tu chériras la mer! La mer est ton miroir, tu contemples ton âme Dans le déroulement infini de sa lame Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer. Tu te plais a plonger au sein de ton image; Tu l'embrasses des yeux et des bras, et ton coeur Se distrait quelquefois de sa propre rumeur Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage. Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets; Homme, nul n'a sondé le fond de

recueil, Les Fleurs du Mal.Luca Corti & Sami Mechhidan Groupe : 406 C.E.C. Émilie-Gourd 03/05/2023 Les Fleurs du Mal L’Idéal Le spleen L’élévation, la montée, l’élan (les cimes, le ciel, les nuées, etc) La descente, la chute, la déchéance (les gouffres, les abîmes, le fond, etc) Le paradis originel (perdu) L’Enfer Le spirituel, l’âme Le matériel, le corporel, le sensuel, l’animalité L’infini, l’illimité, l’évasion Le fini, le limité, l’enfermement Autrefois Aujourd’hui La volonté de monter La joie

être pas de dénoncer le tabac. L’albatros Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule

déjà eu faim, naturellement mais je n’avais pas encore connu cette sensation de cette façon, constamment, à long terme, pour ainsi dire. Je m’étais transformé en une sorte de trou, de gouffre, et tous mes efforts, toutes mes préoccupations avaient pour seul but de faire disparaître, de remplir, de faire taire ce gouffre sans fond de plus en plus exigeant. Je n’avais d’yeux que pour cela, toute ma raison était au service de cela, cela seulement guidait tous mes actes, et si je ne mangeais pas du bois

constructions mettent en valeur la portée universelle de cette éducation qui doit appréhender tous les champs de la connaissance. - Répétition et anaphore du mot « tout » + « abîme de science » (abîme : gouffre de profondeur inconnue) = métaphore qui met en valeur le fait que le savoir doit être un gouffre dont on ne voit point la profondeur. Le savoir ne peut pas être limité, il doit être universel, car il libère l'homme et les superstitions du passé. Ouverture de la conclusion Rabelais reprendra