Gouvernement Jean-Marc Ayrault

abaissant, pour deux d'entre elles, la notation de la France qui passe de AAA à AA-. En 2010, le gouvernement Fillon augmente les impôts et réduit les dépenses, permettant au pays de revenir sous la barre des 120 milliards de déficits en 2011 et 90 milliards en 2012. La France ayant promis à la Commission Européenne de revenir sous la barre des 3 % en 2014, le gouvernement socialiste de Jean-Marc Ayrault a fixé le cap des 3,7 % de déficit pour l'année 2013.

prsidente du tribunal de grande instance de Paris ; Mme Roselyne Bachelot-Narquin, ancienne ministre ; Mme Julie Benetti, professeure l’universit de Reims ; M. Jean-Claude Casanova, membre de l’Institut, prsident de la Fondation nationale des sciences politiques ; M. Jean-Pierre Duport, prfet de rgion honoraire ; M. Jean-Louis Gallet, conseiller la Cour de cassation, vice-prsident du Tribunal des conflits ; Mme Marie-Christine Lepetit, chef du service de l’inspection gnrale des finances

d’euro. Nous devons donc réduire notre déficit car l’Union Européenne nous impose de conserver un déficit à 3% du PIB et pour que les générations futures puissent connaître une croissance malgré les dépenses improductives de l’Etat. Le gouvernement actuel engage des réformes pour diminuer les dépenses et réduire le déficit mais est-il vraiment possible de réduire le déficit ? Tout d’abord, nous devons réduire notre déficit. Le Haut conseil des finances publiques annonce que « L’Etat devrait

qu'après dix ans d'exercice du pouvoir la droite a laissé au pays, c'est-à-dire une fiscalité économique profondément archaïque et injuste qui joue contre la croissance, l'investissement et l'emploi. C'est donc à juste raison que le gouvernement de Jean-Marc Ayrault a souhaité dans le cadre du projet de loi de Finances pour 2014 engager une réforme en profondeur de l'imposition des entreprises, une réforme qui ne peut se résumer, comme semble le souhaiter le Medef, à un allégement massif et inconditionnel

"la passivité" du gouvernement L'UMP a exprimé sa "très grande inquiétude" et a dénoncé la "passivité" du gouvernement après une nouvelle hausse des chômeurs en septembre, la plus forte augmentation enregistrée depuis avril 2009. Dans un communiqué, l'UMP "fait part de sa très grande inquiétude à la suite de l'augmentation considérable du nombre de demandeurs d'emploi au mois de septembre". "L'urgence et la gravité de la situation contrastent avec la passivité du gouvernement, dont la politique


L'ordonnance du 21 avril 1944 prise par le gouvernement provisoire du général de Gaulle à Alger stipule que « les femmes sont électrices et éligibles dans les mêmes conditions que les hommes ». Deux ans et demi plus tard, le Préambule de la Constitution du 27 octobre 1946 inscrit ce principe dans les principes fondamentaux de la République : « La loi garantit à la femme, dans tous les domaines, des droits égaux à ceux de l'homme ».
 
I/ la difficulté des femmes à s'imposer dans la vie politique


premier tour de l'élection cantonale partielle de Brignoles. Le candidat socialiste ne sera pas au second tour. L'extrême droite a réuni plus de 49% des voix avec 40,4% pour le candidat FN Laurent Lopez, et 9,1% pour un autre candidat d'extrême droite, Jean-Paul Dispard.  Ni le front républicain ni la plus forte participation d’un tour à l’autre n’auront suffi à empêcher la victoire annoncée du candidat FN à Brignoles. Celle-ci paraissait acquise au vu des résultats du premier tour, mais l’effondrement

de salaires malgré la loi de 1971 rendant obligatoire l’égalité des salaires entre les hommes et les femmes pour un même travail. Sur le plan politique, le gouvernement actuel, sous la présidence de François Hollande, proclame un gouvernement mixte. Il y a actuellement 19 ministres de chaque sexe dans le gouvernement de Jean-Marc Ayrault. Cette égalité repose sur la réforme de la constitution entre 1999 et 2000 qui favorisent l’égal accès des hommes et femmes aux mandats électoraux et aux fonctions

analogie avec le Tiers état ou le tiers monde, que ce secteur est parfois désigné comme le tiers secteur. Le premier secteur désigne ici le privé lucratif, et le deuxième secteur le public et para-public[7]. En France en 2012, le gouvernement de Jean-Marc Ayrault a reconnu l'importance de l'économie sociale et solidaire en nommant un ministre chargé de ce secteur (Benoît Hamon, ministre délégué auprès du ministre de l'Économie et des Finances, chargé de l'Économie sociale et solidaire et de la

Assemblée nationale constituante 26.8.1789 : Déclaration des droits de l’homme et du citoyen Constitution du 3.9.1791 Monarchie parlementaire 10.8.1792 : Chute de la royauté 21.9.1792 Convention nationale (Première République) 1793-94 : Terreur, gouvernement révolutionnaire Constitution « montagnarde » du 24 juin 1793 inappliquée 27.7.1794 : Chute de Robespierre, réaction et Convention « thermidorienne » Constitution du 5 fructidor an III (22 août 1795) Directoire (Première République) 18 Brumaire