Gpec Cas J Choque

2-7081-3681-X Jean BRILMAN et JACQUES HÉRARD Les meilleures pratiques de management dans le nouveau contexte économique mondial Sixième édition DES MÊMES AUTEURS Jacques Hérard • Manuel d’organisation appliquée, Dunod, 2003. Jean Brilman • Le cas Paradot, roman, Aegeus les Éditions du Bicorne, 2005. • L’Entreprise réinventée, Éditions d’Organisation, 4e édition 1996. • Manuel d’évaluation des entreprises (en collaboration avec Claude Maire), Éditions d’Organisation, 3e édition 1993. • Les Clés

Jean BRILMAN et JACQUES HÉRARD Les meilleures pratiques de management dans le nouveau contexte économique mondial Sixième édition DES MÊMES AUTEURS Jacques Hérard • Manuel d’organisation appliquée, Dunod, 2003. Jean Brilman • Le cas Paradot, roman, Aegeus les Éditions du Bicorne, 2005. • L’Entreprise réinventée, Éditions d’Organisation, 4e édition 1996. • Manuel d’évaluation des entreprises (en collaboration avec Claude Maire), Éditions d’Organisation, 3e édition 1993. • Les Clés

gestes, ergonomie des postes de travail,…) dans le but de ménager l’ouvrier et donc d’augmenter la productivité. Pour cela, on intervient sur les méthodes de travail en définissant des règles de fonctionnement, des ressources et des moyens. Dans ce cas là, le cadre détient un pouvoir très fort et peut exercer une autorité sur les ouvriers pouvant devenir excessive. « La pression autoritaire est très forte avec la présence du supérieur » (MILGRAM). Néanmoins, cette autorité sera limitée suivant son

la réflexion  La qualité du management résulte d’une application pertinente des techniques et théories, de la capacité à innover, et relève pour partie d’un « art » qui s’acquiert par la pratique (d’où l’utilité pédagogique de la réflexion sur des cas d’entreprise).  Le terme managérial fait référence à la vision et aux préoccupations des managers et du management (voir § 2.8). 1.3 – LES CONTEXTES DE MANAGEMENT 1 – La relativité du management  Les activités du management sont influencées

la réflexion ( La qualité du management résulte d’une application pertinente des techniques et théories, de la capacité à innover, et relève pour partie d’un « art » qui s’acquiert par la pratique (d’où l’utilité pédagogique de la réflexion sur des cas d’entreprise). ( Le terme managérial fait référence à la vision et aux préoccupations des managers et du management (voir § 2.8). 1.3 – LES CONTEXTES DE MANAGEMENT 1 – La relativité du management ( Les activités du management sont influencées

la réflexion  La qualité du management résulte d’une application pertinente des techniques et théories, de la capacité à innover, et relève pour partie d’un « art » qui s’acquiert par la pratique (d’où l’utilité pédagogique de la réflexion sur des cas d’entreprise).  Le terme managérial fait référence à la vision et aux préoccupations des managers et du management (voir § 2.8). 1.3 – LES CONTEXTES DE MANAGEMENT 1 – La relativité du management  Les activités du management sont influencées par

place actuelle dans le processus de formation et dans le cours de la vie professionnelle : – le bilan de compétences créé en 1991 ; – le lancement de la VAE (validation des acquis de l’expérience) en 2002 ; – la loi de 2005 imposant la démarche de GPEC (gestion prévisionnelle des emplois et des compétences), dans le cadre d’un dialogue social. Avec la loi de décembre 1991 sur le bilan de compétences, la signification implicite de la compétence se précise. D’abord, elle concerne des individus qui cherchent

la réflexion  La qualité du management résulte d’une application pertinente des techniques et théories, de la capacité à innover, et relève pour partie d’un « art » qui s’acquiert par la pratique (d’où l’utilité pédagogique de la réflexion sur des cas d’entreprise).  Le terme managérial fait référence à la vision et aux préoccupations des managers et du management (voir § 2.8). 1.3 – LES CONTEXTES DE MANAGEMENT 1 – La relativité du management  Les activités du management sont influencées

place actuelle dans le processus de formation et dans le cours de la vie professionnelle : – le bilan de compétences créé en 1991 ; – le lancement de la VAE (validation des acquis de l’expérience) en 2002 ; – la loi de 2005 imposant la démarche de GPEC (gestion prévisionnelle des emplois et des compétences), dans le cadre d’un dialogue social. Avec la loi de décembre 1991 sur le bilan de compétences, la signification implicite de la compétence se précise. D’abord, elle concerne des individus qui

place actuelle dans le processus de formation et dans le cours de la vie professionnelle : – le bilan de compétences créé en 1991 ; – le lancement de la VAE (validation des acquis de l’expérience) en 2002 ; – la loi de 2005 imposant la démarche de GPEC (gestion prévisionnelle des emplois et des compétences), dans le cadre d’un dialogue social. Avec la loi de décembre 1991 sur le bilan de compétences, la signification implicite de la compétence se précise. D’abord, elle concerne des individus qui cherchent