Gradation

antiphrase : figure de style consistant à dire le contraire de ce que l’on pense tout en faisant comprendre que l’on pense le contraire. italique, guillemets procédé de l’ironie locuteur ⋄ destinataire apostrophe impératifs, style injonctif gradation : suite de mots d’intensité croissante ou décroissante Les contradictions soulignées par V. Hugo début du texte : règles interdisant le meurtre ⋄ non respecter par la justice, garante pourtant de la loi. (1° §) la fin du texte : contradiction

un mal physique - lexique du froid + oxymore « enfer polaire » - gradation dans l’intensité du froid - Antithèse chaleur / froideur 2) Le spleen est un mal psychologique - lexique des sensations auditives → lourdes, répétitives → all en « ch. », [k] + ass [ou]/ [o] → sons graves et lointains, mais aussi bruits répétitif, monotone. - L’hivers envahi le poète sous le signe de la mort : bois → échafaudage → cercueil  gradation vers la mort II/ Les composants métaphysiques du Spleen 1) La

ayant les mêmes désirs. Par contre, la chienne a, tout simplement, plus de vigueur que la vieille femme qui en est à la fin de ses jours. La femme et la chienne sont donc, connectées ensemble, émotionnellement parlant, tout au long de l’histoire. La gradation débutant par le gémissement de la chienne, se transformant en plainte monotone, puis déchirante et finalement, en une plainte horrible, est explicative de l’explosion de douleur, des émotions contenus par la chienne et la vieille femme et de l’escalade

d'équivalences sensuelles mais morales, avec les notions de " corrompu, riche, innocente ".  Gradation à travers ces 3 qualités :  - corrompu : il est lourd,  - riche : il est tenace,  - triomphant : il est dominant.  Gradation qui culmine par le mot très fort " expansion ", qui montre que le parfum prend plus d'ampleur encore . Diérèse " expansion " qui mime la prolongation de cet infini. La gradation se continue comme si cette sensation provoquait chez le poète l'élévation, et un oubli du spleen

pousse à, incite à, || 5. Connecteurs logiques NatureRapport logique|Adverbes|Conjonctions de coordination et de subordination(lient 2 éléments d’une phrase)| Addition|En outre, de plus, par ailleurs, d’une part …d’autre part, …|et| Gradation|Tout d’abord, ensuite, puis, enfin, bien plus,…|| Comparaison|Ainsi, de même, |ainsi que, de même que| Opposition|Au contraire, inversement, en revanche|mais| Concession|Cependant, néanmoins, certes, sans doute, pourtant, toutefois|bien que, quoique

plus d'équivalences sensuelles mais morales, avec les notions de " corrompu, riche, innocente ". Gradation à travers ces 3 qualités : - corrompu : il est lourd, - riche : il est tenace, - triomphant : il est dominant. Gradation qui culmine par le mot très fort " expansion ", qui montre que le parfum prend plus d'ampleur encore . Diérèse " expansion " qui mime la prolongation de cet infini. La gradation se continue comme si cette sensation provoquait chez le poète l'élévation, et un oubli du spleen

surveillance, il y a là une idée d'immuabilité et d'omniprésence ; «collée dans un cratère de nuages», dépendance de la ville. Les montagnes sont menaçantes, personnalisation des montagnes, elles sont influentes, puissantes, nous pouvons voir une gradation au vers 26. Au vers 27, «on les pave», avec le pronom indéfini nous pouvons voir une tentative négligeable de dompter l'indomptable. L'humanité est à la merci de la Nature. La Nature est inhospitalière, nous pouvons voir ça avec la disparition,

Français 3M03 Analyse fragments 100, 117, 125, 124, 48Situation· Recueil d’écrits de Pascal / fragments de réflexion découverts et rassemblés après sa mort· Apologie du christianisme : pourquoi faut-il continuer de croire en Dieu alors que la science évolue / l’existence de Dieu ne peut pas être prouvée par une expérience· D’après une légende, c’est le miracle de la Sainte Epine (1656) qui est le point de départ des réflexions de Pascal· Pascal meurt en 1662 et les Pensées de Pascal sont publiées

sentiments personnels au fil du temps avec l’utilisation de la première personne «  ou donc est le bonheur ? Disais-je – Infortuné ! » v.1 par la gradation dans le temps, plusieurs moment de sa vie sont évoqués de la naissance à la mort «  naitre, et ne pas savoir que l’enfance éphémère »  v.3 et «  mourir en regrettant la vieillesse et la vie » v.52. Cette gradation est d’ailleurs reprise dans ses derniers vers (v. 49 à 52). Le lyrisme se fais aussi de par la musicalité de ses vers comme la répétition du

apparaissent comme un cri de révolte dans le paysage culturel et littéraire du XXe siècle. Sujet divisé : Premier paragraphe : Gradation : << c’est le cœur gonflé de sève et d’audace qu’ils s’enfonçaient dans la forêt. Ils ne craignaient ni la peine, ni la fatigue, ni la mort […] C’étaient des beaux et forts hommes, faits par les plus saines femmes du monde. >> ; Comparaison/gradation : << Une fois la conquête faite par les anglais et les sauvages exterminés par les vices de l’Europe, nos blancs, vaincus