Gradation

Ø (3 phrases) ternaire à ordre décroissant du plus au moins important à c’est pour le spectateur (4 phrases) ternaire à Dom Juan ne respecte pas le sacrement du mariage, donc il ne croit pas à la religion à prédateur des fêtes (5 phrases) gradation décroissante à hiérarchie - Sganarelle se flatte de son maître à démonstratifs, etc. - Sganarelle se donne de l’importance en utilisation quelques termes à pédant è Molière se moque de l’intolérance de l’époque(ex : ‘turc’à quelqu’un pense

Opposition passé/futur, CDG adopte un ton accusateur pour engager Manon à la fidélité car il lui a déjà pardonné « Cœur » « tendre » Lexique de l’amour Malgré les reproches, CDG exprime son amour « Ah Manon » « Belle Manon » « Chère Manon » Gradation constante Evolution dans la désignation de Manon et souligne que CDG ne peut lui résister et marque une victoire de Manon Une scène qui transpose une sorte de rituel religieux de la confession dans le champs lexical amoureux pour permettre le

les bêtes, les natures. Et de plus, si on le compare à ton père, il est si peu conventionnel”, on constate que l’auteur utilise la gradation pour qu’Elizabeth donne la bonne description des caractéristiques de Thomas dont l’intensité est croissante. Cette succession est amenée sous l’effet de son émotion sur le rappel de Thomas. D’ailleurs, non seulement la gradation, mais l’énumération apparaît aussi dans cet extrait : “Il [Thomas] connait si bien les fleurs et les arbres, les oiseaux, les bêtes

idolâtrer ». Phèdre transforme Hippolyte en une divinité dont elle est folle. L’amour de Phèdre montre une certaine volonté malgré ses sursauts de révolte ou de fuite. Elle agit plus par passion. La force de cette passion qui l'emporte se retrouve dans la gradation vers 273 : « je le vis, je rougis, je palis à sa vue » devant son « superbe ennemi », «  l’ennemi dont j’étais idolâtre » et « une flamme si noire », un oxymore qui montre une fois encore sa confusion. Le champ lexical de la souffrance, de la blessure

ainsi l'image d'un orateur qui s'est rendu maître de son auditoire, ce que renforcent l'emploi de la préposition « sous » (2), qui souligne la puissance oratoire d'Etienne, mais aussi les groupes nominaux de la ligne 7. Ceux-ci, en effet, sont en gradation et montrent la métamorphose d'Etienne sous les yeux médusés des mineurs et du lecteur, ce que souligne l'adverbe de négation « ne... plus » (6). L'adverbe à valeur temporelle « plus » indique l'avant et l'après, le changement de statut d'Etienne

Insistance sur les efforts de C. pour les faire disparaître. Verbes d'action « plongeais », « tirais », « emmêlais ». Répétition de « inutile »+ rythme ternaire = vanité des efforts, impossibilité de C. d'échapper à ce qu'elle hait. Gradation dans les situations : vie quotidienne « eau du bain », « orage de Delphes » > même la puissance divine ne peut en venir à bout. Énumération « de l'eau, du lit, de l'averse, du temps » > rappel de ce qui a été dit = insistance

physique. On observe que les qualités physiques sont indissociables des qualités morales. Un cortège prestigieux → Gradation des types nobiliaires : -Le Duc de Nevers -Le Prince de Clèves -Le Vidame de Chartres (appartient à la famille de Vendome. Princes de sang) Les titres nobiliaires couvrent tout les domaines: -religieux -civils -militaires → Gradation dans les qualités qui sont prêtées aux personnages -Duc de Nevers: vie glorieuse, les délices de la cour -Le Prince de Clèves:

présent dans l’énoncé (transfert)Les figures d’amplification : mettent l'accent sur un élément précis du discours en l'exagérant - Gradation  : fait se succéder des termes d’intensité croissante ou décroissante (gradation ascendante ou descendante) - Accumulation  : procédé semblable à l’énumération mais donnant plus

 On ne voyait aucun changement dans la peinture ». Il se rend à l'évidence : « ce n'est pas lui qui imaginait des choses. Alors s'il n'est pas victime d'hallucination, le tableau s'était réellement métamorphosé . Gradation dans l'horreur : «  c'est bizarre l » à « c'est terrible »L20. · L'analyse du décor Dès le 1èr§, le personnage pénètre dans un monde parallèle : le décor : rôle important et déterminant de la lumière(tamisée

tellement insupportable qu’elle en vient à avoir l’impression de mourir, de ne pas pouvoir survivre à une telle douleur ; ce qui peut paraître paradoxal, puisqu’elle est en train de donner la vie : « Elle se dit : "Je vais mourir. Je meurs" ». La gradation, exprimée par le futur progressif puis le présent, souligne son désespoir. [Transition entre les deux paragraphes] Cette souffrance est telle qu’elle métamorphose en premier lieu son caractère, habituellement doux et patient. [Paragraphe b] Jeanne