Gradation

manger avec la Statue, DJ transgresse l’interdit qui sépare le monde des morts et des vivants. II.Les réactions de Don Juan A.DJ reste sourd à cette dernière tentative d’obtenir la grâce du Ciel Double négation « Non non » Enumération en gradation « Spectre, fantôme ou diable » Hyperbole « Rien n’est capable de m’imprimer de la terreur » La répétition de la négation exprime la détermination du rebelle. L’épée qu’il brandit montre son orgueil, sa démesure excessive. Rien ne l’atteint. Il

lecteur remarque une gradation : le libertin commence par appeler la fidélité "un faux honneur " et ensuite il utilise deux hyperboles de la mort: selon lui, être fidèle c'est "s'ensevelir" et " être mort". Ce lien avec la mort révèle la conviction de Don Juan qu'après le mariage l'homme ne sent rien, qu’il vit plus. Ce procédé littéraire donne aussi au lecteur l'impression que "se lier", pour ce personnage, c'est une chose effrayante comme l'est la mort. La gradation renforce encore

donné (V.4). DS le tutoie. Gudiel a du respect pour son maitre « monseigneur ». Don Salluste est autoritaire, énervé. Dans tous ses vers il y a une allitération en « r », il est très âgé (v.7), il grandit tout ce qui le concerne (v.21) : gradation. . Il parle de lui à la 3ème personne? « nuit et jour » : hyperbole, maltraite les autres. II) Un défis du classicissme a) Les règles bafouées -L'action commence très tôt le matin (v.2) V.H fait semblant de respecter les règles

une tragédie", dans un rythme ternaire entraînant, un dernier râle pour vivre encore dans cet univers "monotone et décoloré". Et la gradation se poursuit dans la question qui suit, plus nous approchons du terme, plus l'idée fixe devient "hideuse", "ensanglantée". Et même si le combat qui s'annonce sera jalonné d'angoisses, de terreurs et de tortures,(encore une gradation angoissante) sa violence sera atténuée par son observation, sa description "D'ailleurs, confie l'insurgé, ces angoisses, le seul moyen

« partir » « départ » « adieu » « voyage » Coupe à l’hémistiche : « comme il est résolu // mon trépas l’est aussi » « même heure// un différent voyage » même =/ différent II) Le registre pathétique 1) La tristesse intense du personnage gradation, rythme => la voyant résolu il réitère sa menace une menace désespérée et extrême lamentation plainte la peur ? la jalousie ? Iris = explication du prénom (divinité) assonances et allitération (i, t, on, q etc.) Ponctuation affective 2)

Introduction : Nankin, ville chinoise assiégés par les japonais, cela illustre bien le non respect Violence de guerre : l’enjeux est de montrer la gradation des violences de guerre entre les deux guerres mondiales. Conclusion : J’ai voulu montrer au cours de ce devoir que les violences sont de plus en plus horrible , les civils sont désormais au cœur du conflit, ces guerres cachent des nouvelles formes de violence. Ouverture : procès de Nuremberg. Les violences de Guerre pendant les

« Il y a aussi le lexique de... » ; préférer « L’hostilité de l’environnement s’exprime notamment à travers le lexique de... »). • Inversement, ne termine pas brutalement par des phrases telles que « C’est une gradation » ; essaie plutôt de conclure sur l’effet de ce procédé : « Cette gradation montre la déformation du couteau, à l’image de celle de l’environnement, et l’amplification de la menace ». • Sur l’étalement du temps, il me semble que tu aurais pu qq peu étoffer ton propos. • Il y avait aussi

« Il y a aussi le lexique de... » ; préférer « L’hostilité de l’environnement s’exprime notamment à travers le lexique de... »). • Inversement, ne termine pas brutalement par des phrases telles que « C’est une gradation » ; essaie plutôt de conclure sur l’effet de ce procédé : « Cette gradation montre la déformation du couteau, à l’image de celle de l’environnement, et l’amplification de la menace ». • Sur l’étalement du temps, il me semble que tu aurais pu qq peu étoffer ton propos. • Il y avait aussi

eux ne torturaient que les esclaves qui ne comptaient pas pour des hommes. Voltaire apporte ici un semblant de justificatif historique ⇒ énumérations : « hâve, pâle, défait », « les yeux mornes, la barbe longue et sale, couvert de la vermine », gradation ascendante qui illustre la dégradation du prisonnier ⇒ « il se donne le plaisir de l’appliquer à la grande et à la petite torture » ⇒ « Cela fait toujours passer une heure ou deux » : la torture est présentée comme une sort de divertissement

eux les esclaves ne sont pas humains. 2- L2-5 : en France les accusés ne sont pas considérés comme des hommes L’accusé n’est pas jugé et est mis au cachot : il est dégradé. Champ lexical du dégradement physique l4 have… avec une énumération = gradation on torture pour faire parler 3- L5-9 : le sadisme légal Antithèse plaisir/torture = ironie. Dénonciation de la torture et sadisme des juges. Perversion du corps médical. Non respect du code moral. L’ironie : comme si c’était un jeu « après on recommence