Gradation

traduisent des actes de barbarie, l'affrontement, la mutilation et la destruction des corps. Par exemple, au vers 7, « se défaisse, se torse et se ruine » fait penser à « se défait, se tord et tombe en ruine ». La gradation dans la violence est de plus bien marquée. On retrouve cette même gradation dans les vers 12 à 15, accentuée par des vers plus courts. La répétition de certains mots accélère le rythme du récit, et accentue le sentiment de perplexité que l’on peut éprouver en lisant ce poème.

question des préjugés des européens L’auteur montre des européens ethnocentristes, et nous invite à relativiser sur la place des européen dans le monde (=relativisme). On constate également des marques d’ironie, des antiphrases, des hyperboles et des gradations. Montaigne fait l’éloge de la nature en utilisant une analogie (=comparaison), il y a les champs lexicaux de la nature et de l’artifice. La nature est perçut comme une « mère nourricière » (=mère nature). Les essais se réfèrent souvent aux auteur

suivant la mort de Marthe (« D’abord je ne ressentais rien » absence totale de réaction «  Le visage de mon père se décomposait »  Antithèse. L.28  « J’avais la sensation de durcir, de refroidir, de me pétrifier » Gradation.  « Parce que mon père pleurait, je sanglotait »  Gradation » La mère reste les yeux secs ». L.36 « Ma syncope » (perte de connaissance) sommaire l.40 syncope récurrente « à l’heure de la nouvelle de la mort »). Au début nous avons une analogie avec la foudre qui tombe sur un

périphrase qui désigne Dieu. Le souverain est supérieur et il va juger R.Phrase 10 :« Je dirai hautement » = utilisation d’un adverbe qui montre que R est sûr de lui, fier. Il a déjà prévu ce qu’il comptait dire à DieuA travers l’utilisation d’une gradation sur un rythme ternaire « ce que j’ai fait, ce que j’ai pensé, ce que je fus. », et avec un ton solennel, et l’adverbe démonstratif « voilà », R affirme que son livre contient toutes les pensées et la personne qu’est Rousseau et donc qu’il est l’outil

des analyses de son caractère argumentatif puis de la gradation croissante du rôle de François Villon dans le poème.    Premièrement nous allons donc voir le caractère argumentatif de la ballade, notamment souligné par les nombreux procédés d’insistance utilisés par Villon. On remarque ainsi des accumulations avec « elle est piéça dévorée et pourrie » (v.7) ou « yeux cavés, et arraché la barbe et les sourcils. » (v.23-24), ainsi que des gradations croissantes telles que « la pluie nous a débués et

qui s'attache à vous'', ou encore aux lignes 14 à 15: ''Elle veut toute votre personne, y compris votre cœur''. Cependant, d'autres procédés stylistiques, partiellement omniprésents dans le texte, sont aussi importants. Par exemple, il y a une gradation (lignes 49 à 56) qui concrétise tout son vers. Il y a aussi une personnification (ligne 11) qui résume tout le travail effectué sur Yvain. Progression dans le texte Tout d'abord, le récit se déroule à travers quatre étapes. Faisant office de

« tempête » « charognes » vers un resserrement du cadre (aspects de guerre, précis, réalistes, révoltants…) De l’extérieur vers l’intérieur. -Généralités( détails = tout est découvert, rien n’est épargné au lecteur. -Mais augmentation de l’intensité et gradation de l’horreur et de la révolte 2.Une vision désolée de violence et de mort -Vision globale de la violence (Caractère visuel mis en valeur, lexique, densité des termes de violence physique). La mort scande le poème. -Violence = parties du corps

phrases) ternaire à ordre décroissant du plus au moins important à c’est pour le spectateur        (4 phrases) ternaire à Dom Juan ne respecte pas le sacrement du mariage, donc il ne croit pas à la religion à prédateur des fêtes        (5 phrases) gradation décroissante à hiérarchie   C. Un grand seigneur * Aristocrate, noble, ne travaille pas * profite de ses privilèges * il jouit d'un perpétuel plaisir     II.               Le portrait de Sganarelle par lui-même   A. Un

naitre de l’ordre : Répétition et Ressemblance (l’oeil tente de grouper différents types), Proximité (l’oeil tente de grouper les plus proches), Clôture et Fond commun (délimitation), Homogénéité et Texture (Hasard et Trame), Alignement et Série, Gradation (2 caractéristiques contradictoires -> Parenté et Différence sans hiérarchie), Hiérarchisation (éléments primaires et secondaires), Contraste ( donner une identité immédiate) L’Homme met de l’ordre -> Il marque son contrôle sur la Nature. Mais

Survenant ne reste jamais longtemps à un endroit fixe, puisqu’il est toujours en quête du nouveau monde. L’auteur utilise alors la gradation suivante : « Une fois de plus, l’inlassable pèlerin voyait rutiler dans la coupe d’or le vin illusoire de la route, des grands espaces, des horizons, des lointains inconnus ». Comme nous l’avons mentionné précédemment, la gradation crée un effet de persuasion grandissante. Il est bientôt temps pour le survenant de repartir à la quête de nouvelles péripéties dans