Grammaire Traditionnelle

exemple Pour pouvoir comprendre et être compris lorsque l’on communique dans une langue qui n’est pas la sienne, il faut connaître les mots de cette langue – le lexique ; savoir combiner les mots entre eux selon les règles propres de cette langue – la grammaire ; et reconnaître et reproduire les sons de cette langue et sa mélodie : la phonologie. Cependant, la connaissance et le maniement spontané de ces savoirs linguistiques ne suffisent pas. Il faut que les phrases de la langue soient utilisées à bon

Avant-propos 1 Leçon 1 Quelques notions préliminaires 3 Objectifs du cours 3 La langue : objet d’étude de la linguistique 4 Définition de la notion de langue 4 Langue vs langage vs parole 5 De quoi est constituée la langue ? 7 Lexique et grammaire 7 Niveaux de fonctionnement de la langue 7 Difficulté de l’étude linguistique 8 Limitations du cours 8 Lectures 9 Lecture requise 9 Lecture suggérée 9 Exercices 10 Leçon 2 Le signe linguistique 11 Signe et sémiotique 12 Définition du signe

des outils spéciaux pour manipuler l'objet qu'ils étudient. Les critères les plus utilisés sont le sens, la forme et la distribution. Nous allons illustrer les trois en nous servant d'un exemple bien connu: les parties du discours. Les critères traditionnels des parties du discours sont d'ordre sémantique, comme on peut voir par les exemples suivants. Un nom se définit comme un mot qui nomme une personne, un lieu, une chose ou un concept. Un verbe se définit comme un mot qui nomme une action. Un adjectif se

phénomène de vague, mouvement continu. C’est un code implicite d’où la nécessité de l’analyser. Ça leur permet de recevoir le pacte de lecture, de savoir à quoi s’attendre. Cela crée le concept d’horizon d’attentes chez le lecteur. On peut soit être traditionnel ou au contraire forcer le lecteur à aller dans une certaine direction. Il y a une idée de modification, de création, de marge. On a tous un patrimoine de lecture avec une expérience différente, une attente de lecture différente. On peut mélanger

pluriel ou inversement (ex. les mortels pour les hommes ; un fer pour une épée ; une voile pour un navire). » Notions Poétiques: 1. Trope, nom masculin Sens Figure de rhétorique visant à détourner le sens d'un mot ou d'une expression [Grammaire]. Synonyme: figure. 2. Isotopie En linguistique, une isotopie désigne un ensemble de sèmes communs. 3. Connotation et dénotation Connotation, nom féminin Signification affective ou intellectuelle accordée à un mot ou une expression, en plus

2 1. Français A : Lexique, morphologie, phonologie Cette partie du cours traite du lexique et des mots, de la morphologie et de la phonologie. Elle a pour objectif de retravailler certains aspects de la grammaire du français. Vous y trouverez des notions qui vous seront sans doute familières, mais que vous n’avez peut-être pas encore abordées sous l’angle de la linguistique contemporaine. Envisager la langue sous cet angle est cependant indispensable, car les programmes officiels de l’enseignement

doublée. Le mythe se constitue à partir d'une chaîne pré-existante: le signe de la première chaîne devient le signifiant du second. Barthes donne l'exemple d'une phrase figurant comme exemple dans une grammaire : c'est un signe composé de signifiant et signifié, mais qui devient dans son contexte de grammaire un nouveau signifiant dont le signifié est « je suis ici comme exemple d'une règle grammaticale » Un exemple purement idéologique dans ce recueil est la photo d'un soldat noir regardant le drapeau

compte rendu oral, etc.). La grammaire « Enseigner la grammaire au collège, c’est conduire les élèves à comprendre les mécanismes de la  langue, à maîtriser la terminologie qui sert à les identifier et à les analyser, afin de les amener à  réutiliser ces connaissances pour mieux s’exprimer à l’écrit comme à l’oral et mieux comprendre les  textes lus. » (BO du 28.08.2008) • Les nouveaux programmes mettent l’accent sur l’apprentissage méthodique de la grammaire, selon une progression qui va du

l’avis de Luce Irigaray, « la femme ne parle jamais pareil. Ce qu’elle émet est fluent, fluctuant. Fluant » (apud Frémont, 1979: 324). En définitive, il s’agit pour la femme de « transgresser les systèmes de la langue rattachés à l’univocité traditionnelle de la représentation » (Cremonese, 1997: 74), pour dire la femme qui n’est souvent pas dite ou mal dite par les hommes. Par la conception du roman qu’elle défend depuis 1987, date de son apparition sur la scène littéraire, l’œuvre de Calixthe

Stéphanie Melyon-Reinette Université des Antilles et de la Guyane (University of the French West Indies) Unité de Formation et de Recherche Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives (STAPS) Langue Vivante Anglais Grammaire Enseignant : Stéphanie MELYON-REINETTE Doctorante, 4 année, vacataire Département d’Etudes Anglophones CRILLASH/CELCAAH ème 1/79 Stéphanie Melyon-Reinette Somma ire Sommaire Les Articles Les Noms Autour des Adjectifs Les Adverbes