Grands Principes De La Dévolution Successorale

l’enfant après ses 21ans. Ce droit intermédiaire est remis en cause par la révolution(1789) Décret du 20 septembre 1792 : état civil et laïque -> l’Eglise est dépouillée de son emprise sur l’état es personnes. Le Code Civil : 2 grands principes * Principe de fond : * La supériorité du mari -> l’épouse doit obéissance ; ne peut accomplir aucun actes juridiques sans son mari « seigneur et maître ». * La suprématie de la famille légitime sur la famille naturelle : Droit de

inséré dans plusieurs réseaux qui sont autant de protections, même s'ils représentent également souvent une contrainte : l'individu appartient à une communauté villageoise, un diocèse, un métier, et, avant tout, à une famille. Rq.Les propos du grand civiliste Gérard Cornu, à propos du lien qui unit aujourd'hui la personne et la famille, ont une résonance plus profonde encore dans notre ancien droit : « Ce qui est sûr c'est que le droit civil n'oppose pas la personne et la famille, il s'y réfère

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Introduction L’allongement de la durée de vie, la multiplication des familles recomposées, l’âge avancé des successibles au moment de succéder à leurs parents sont autant de facteurs qui ont poussé le législateur à modifier par deux fois le paysage successoral. Le droit des successions et des libéralités a été marqué par deux importantes évolutions, d’une part la loi du 3 décembre 2001 et d’autre part, la loi du 23 juin 2006. Si la première a eu pour effet de promouvoir les droits du conjoint survivant

L'arrêt Lemaistre est un arrêt rendu par le parlement de Paris, le 28 juin 1593. Il s'agit d'un texte très particulier qui se prononce sur des questions touchant la nature même de l'Etat Monarchique. Le XVI ème siècle est marqué en France et dans une grande partie de l'Europe, par des guerres de religion entre catholiques et protestants. Lorsque Henri III meurt assassiné par un fanatique catholique en 1589, il n'a pas d'héritier direct mâle et laisse un pays en pleine guerre civile. Son premier successeur

Les primes manifestement exagérées ( diapo)Le droit des successions est celui qui organise la dévolution des biens aux héritiers à la mort d’une personne. Il règlemente le rapport et la réduction des libéralités afin de maintenir l'égalité entre les héritiers et leur droit à la réserve. Le rapport, réglementé par les articles 843 et 863 du cc, a pour but d'assurer l'égalité entre les cohéritiers. Il n'est dû que par les bénéficiaires d'une assurances vie qui ont aussi la qualité d'héritiers du

qui permettent le transfert de propriété. La succession. le texte renvoi à la succession légale, en droit français notre propriété n’est pas viagère, elle est marqué du saut de la perpétuité, quand un proprio décède, la succession organise la dévolution de son droit, et il y aura un nouveau propriétaire, l’héritier acceptant qui est continuateur du défunt. La succession légale est soumise à la loi. On va parler d’héritier pour les bénéficiaires, soit les héritiers légaux, ou héritier Ab intestat

Partie 3 : l'enfant On note une obligation de l'entretient de l'enfant, l'autorité parentale, la dévolution du nom de famille, le droit des successions. On va étudier la manière dont s'établit la filiation et la manière dont on le conteste. Le lien de filiation : c'est le lien juridique entre un enfant et son père et ou sa mère. C'est un des deux éléments du nom de famille. Cette filiation est jugée plus importante que l'alliance, car elle a vocation à être pour tout le temps. Les objectifs

application réelle, on doit réserver la dénomination de lois fondamentales aux dispositions qui règlent la dévolution du trône (et ses corollaires) et à celle qui impose l'inaliénabilité du domaine de la couronne. A - La loi de succession à la couronne Le système de dévolution de la couronne s'est constituée coutumièrement depuis le XII° siècle. Au commencement du XIV° siècle, un seul principe était coutumièrement acquis touchant la transmission de la couronne: elle passait de plein droit au

bien les problèmes qu'on rencontre dans le droit successoral, problèmes qui touchent de très près la population et quisont susceptibles de créer la discorde au sein même du noyau familial. Il s'agit donc d'une matière qui doit être manipulée avec la plus grande précaution par le législateur. La rareté des réformes à ce sujet en est la plus grande preuve, le législateur se doit, en la matière, d'agir avec sagesse et retenue. Le droit successoral est, comme le dit F. Lalière, un « jeu de mikado