Graphème

Emphatiques Sourdes go : Sonores R Nasales cil Vibrantes Non-emphatiques fe} Emphatiques Q Latérale H Semi-consonnes u x Les critéres retenus dans I'élaboration de I'alphabet * L'univocité du signe : aunson correspond un graphéme et un seul ; *L'extension géographique : ne retenir que les oppositions distinctives communes aux trois variantes. «Le rendement fonctionnel : la productivité des oppositions phonématiques. sation de la variation linguistique : sont exclues

Diapositive 1LEXICOLOGIECours S3M. MELIANIIntroduction généraleLes langues ont depuis toujours bénéficié d’un intérêt grandissant quant à leur élaboration. Leur appréhension s’est développée de la description (philologique et grammaticale) à l’explication (linguistique). Elles ont été investies dans leurs différentes composantes, son et discours, et sens et forme.Le sens a été l’aspect le plus délicat à saisir. Il est véhiculé par les lexies (unités du lexique, mot, expression…) Langue et usages

de «plurisystème». Le système phonogrammique est le plus facile à appréhender pour des élèves, chaque lettre correspondant à un son, comme par exemple «dur». Le système morphogrammique est plus compliqué. Certains mots ont un ou plusieurs graphèmes qui ne sont pas audibles et qui donnent pourtant une information grammaticale, lexicale. C'est le cas par exemple des accords en genre et en nombre, ou des désinences pour les morphogrammes grammaticaux. Les morphogrammes lexicaux relèvent souvent

caballo / cavalo) sont accompagnés de quatre fichiers-sons. De plus, certaines consonnes font l’objet de tableaux comparatifs complémentaires : d’une part, un tableau contrastif de la prononciation dans les quatre langues d’un même graphème ou d’un même groupe de graphèmes (par exemple ce, ci) ; d’autre part, un tableau comparatif montrant l’analogie des transformations que subissent certaines graphies en fonction de leur entourage vocalique, de façon à conserver leurs valeurs phonétiques (en français

linguistique générale) : Le signifiant, le signifié, et le référent. Autrement il s’agit du rapport entre les mots et les choses. Selon Saussure, le signe linguistique unit, « non une chose et un nom mais une partie concrète ou signifiant (phonèmes et graphème) et une partie abstraite ou  signifié. Le signifiant évoque donc un signifié et un référent (ce à quoi le mot renvoie dans le réel ou l’imaginaire). L'image acoustique est appelée signifiant : ce n'est pas le son matériel, mais l'empreinte psychique

alphabétiques. Il ne possède ni majuscules ni caractères d’imprimerie différents de l’écriture manuscrite. Les lettres se lient entre elles (à l’exception de 6 graphèmes qui ne se lient pas à la lettre qui les suit). Les caractères s’écrivent de façon différente suivant leur situation à l’intérieur de mot, mais correspondent à des graphèmes identifiables : Chaque caractère peut donc apparaître sous plusieurs formes graphiques : initiale : pas de liaison avec une lettre précédente, mais liaison avec

l’alphabet français. On appel alphabet français l’alphabet utilisé pour écrire le français. Il utilise l’alphabet latin moderne avec ses 26 lettres auxquelles il faut ajouter 5 diacritiques qui l’enrichissent alors de 13 voyelles accentuées et du graphème c cédille (ç) ainsi que de deux ligatures (e dans l’a et e dans l’o) En français, à la différence d’autres systèmes linguistiques, les signes diacritiques ou les combinaisons de lettres (digrammes et ligatures ne sont pas pris en compte dans l’ordre

constituants graphiques commence d’emblée et met en jeu, une fois de plus, l’observation et l’association : en se servant des critères de plus en plus précis, l’enfant identifie non pas les sons, mais les frontières de mots, puis de syllabes, puis de graphèmes. NB : La globalisation est en en opposition à la méthode analytique: partir du détail pour l’aller à l’ensemble. La cristallisation de son enseignement de lecture globale, fait oublier toutes ses recherches et expérimentations. III

se traduit par de grandes difficultés dans les conversions grapho-phonémiques. On observe : - une méconnaissance des règles de conversion ; - des erreurs d'ordonnancement avec des inversions, des ajouts, des omissions ; - des substitutions de graphèmes visuellement proches : b/d - u/n... ; - des confusions entre phonèmes sourds et sonores : p/b - t/d... ; - des substitutions de mots graphiquement proches. La lecture de l'enfant repose essentiellement sur sa capacité à reconnaître le mot globalement

méthodes ont été développées pour tenir compte de cette difficulté et du trouble de mémoire de travail de l’enfant dysphasique (par exemple la méthode d’imprégnation syllabique). Lorsque l’enfant a acquis la conversion entre les lettres et les sons (graphème - phonème), il faut l’aider à développer son stock orthographique. Par la suite, il faut travailler l’accès à la compréhension du texte lu, spécialement s’il est long avec des phrases inférentielles, pour éviter un décrochage de l’élève en troisième