Graziella Narrateur

vendre son pavillon ? Mon avis J'adore ce livre et j'aime beaucoup la façon avec laquelle s'exprime le narrateur et comment le problème s'agrandit au fil des pages, jusqu'a ce que tout s'éclaircit. J'étais très surprise aussi en découvrant que le rodeur n'était que monsieur Ledoux, le neveu de la tante Esther. Le narrateur : Ce livre est raconté à la première personne, le narrateur est présent Les personnages principaux: Mathieu et Shéchérazade. Mathieu a 16 ans lorsqu'il est recruté

Les républicains Espagnols et les Juifs Allemands sont les premières victimes emprisonnées dans les camps d'internement de la zone Sud et livrés aux Allemands quand ceux-ci les demandent. PERSONNAGES Les personnages principaux sont le narrateur (à l’âge de six ans) et sa petite sœur (âgée de 3 ans au début du récit). On parle aussi de leur parents, surtout de leur mère, qui va tout faire pour retrouver ses enfants dont elle a été séparé. Leur père et leurs oncles, médecins, font partis

nom. Combray Le narrateur raconte son enfance à Combray, sa relation à sa mère dont il réclame la présence le soir avant de se coucher. Il évoque ses premières lectures, notamment François le Champi de George Sand. On voit se dessiner l'univers culturel et affectif d'un personnage dont on va suivre la vie et l'évolution pendant le reste de la Recherche. C'est aussi dans "Combray" qu'apparaît le personnage de Swann, et surtout, c'est là que naît la fascination du narrateur pour les Guermantes

Le Roman de la Rose : le jardin des vices et des vertus. Le narrateur arrive au verger, jardin fabuleux entouré d’un mur carré, sur lequel sont peintes différentes allégories : haine, félonie, vilenie, convoitise, avarice, envie, tristesse, vieillesse, papelardise, pauvreté. Le dernier portrait était celui de Pauvreté qui n’aurait pas disposé d’un seul denier, quand bien même on dût la pendre et qu’elle vendît ses habits au prix fort, car elle était nue comme un ver. Si le temps avait était

vénus peut être maléfique, elle peut se montrer cruelle, jalouse et tyrannique. Accroche : L’histoire se passe dans la petite ville d Ille, le narrateur, un archéologue, s’y rend avec un guide pour rencontrer Mr. De Peyrehorade, un antiquaire qui doit lui montrer les ruines antiques de la région. En chemin vers Ille, le guide informe le narrateur que Mr. De Peyrehorade, à découvert une statue de Vénus qui est déjà responsable d’un malheur. Le fils de Mr. De Peyrehorade, Alphonse, est sur le

devant Castel, son incertitude et sa surprise : "Oui Castel, dit-il, c’est à peine croyable, mais il semble bien que ce soit la peste". D’autre part, c’est lui le narrateur de cette chronique imaginaire même si celle-ci est écrite à la 3e personne, et qu’il ne dévoile son identité qu’à la fin. Le docteur fait semblant de ne pas être narrateur, il s’inclut dans « la masse » du peuple et fait donc preuve d’humilité, de modestie. Dans la période la plus critique de l’épidémie, Rieux montre qu’il ne se

avons quelques marques d’ironie. La première est le fait que narrateur nous parle au début de Cicéron pour après faire un jeu de mot avec «  cicerone ». AU bout d’un moment nous ne savons plus quels sont les faits réels proposés par Cicéron et ceux proposés par « cicerone » c'est-à-dire inventés par le narrateur. Cela ne fait que confondre le lecteur. Une autre marque d’ironie pourrait être aussi par exemples au moment où le narrateur raconte la rencontre avec Don Juan et le Diable. Lorsque ces

parle donc à la troisième personne et cela met une distance entre Rodolphe et Emma. C’est elle qui fait l’action qui désire quelque chose. Cela mettra à l’écart Rodolphe. « on s’était coupé les cheveux » cela peut laisser croire que Rodolphe est le narrateur, mais ce n’est pas le cas. Cela peut encore creuser l’écart construit entre Rodolphe et Emma. « Il avait fallu » Ici Rodolphe précise qu’il s’agissait presque d’une obligation. Cela montre la détermination qu’a Emma pour entretenir ces espèces de

maximes, de proverbes comme dans la pure tradition des moralistes classiques. Quelle est cependant la place de la théorie dans le récit ? Sous quelles formes s’y décline t-elle ? Quels sont ses rapports avec l’histoire anecdotique de l’empereur narrateur ? Quelle est la fonction de cette théorie, comment s’accommode t-elle avec la tension propre à l’écriture yourcenarienne ? 1 Marguerite Yourcenar Mémoires d’Hadrien, Ellipses/ marketing S.A, 1999, p.54 1 Telle est la problématique autour

campagne pour y être « rééduqués » par les paysans pauvres. C'est ainsi que le narrateur et son ami Luo, 18 ans, fils tous deux de médecins « des puantes autorités savantes » aux yeux du régime, se retrouvent dans un village montagnard proche du Népal. Les corvées qu'ils doivent faire sont terriblement pénibles, leurs conditions de vie des plus difficiles dans cette communauté d'une très grande pauvreté. Le violon du narrateur (sauvé du feu en interprétant une sonate du compositeur interdit qu'il rebaptisera