Graziella Narrateur

pouvoir dans leur poésie, le monde est en perpétuelle mouvement devant l’inertie des personnages. Deuxièmement nous allons démontrer que le personnage romantique est plus souvent acteur de sa propre vie, qu’observateur. Tout d’abord, le narrateur nous dévoile des personnages sachant prendre des risques. En effet ils sont courageux aussi bien devant l’adversité que devant la mort. Dans « Pauline » d’Alexandre Dumas, par exemple Alfred se met en danger pour sauver Pauline. Dans « Carmen »

répond à un discours qui ne lui était pas destiné ? (0,5 point) IV – Les interventions du narrateur 7. Relevez, dans les quatre premiers vers, une intervention du narrateur. Quel temps est utilisé ? Justifiez son emploi. (1 point) 8. Vers 28-29 : « Elle eût beaucoup mieux fait/ De passer son chemin sans dire aucune chose » : à quel mode est conjugué le verbe de cette phrase ? Comment le narrateur juge-t-il le comportement de la tortue ? Quel trait de caractère est ainsi mis en évidence

Dans ce roman, Ferdinand Bardamu, le narrateur, participe à la première guerre mondiale, avant de séjourner en Afrique, puis aux États-Unis et enfin en France, à Paris en tant que médecin. Dans ce commentaire nous allons étudier les manifestations du mouvement littéraire du Nouveau Roman. Pour cela, nous allons étudier les jeux de répétitions et les variations de situations. Ensuite nous démontrerons la présence d’un usage intense du monologue du narrateur et enfin celle des descriptions minutieuses

INTRODUCTION L'auteur : - c'est intéressée a la littérature et au cinéma - refus du réalisme. influencée par la tendance du nouveau roman - elle a vécut (en partie) les événements du roman : vit à Sadec et elle aurait eu une avanture Le livre : - difficulté de situer le roman : roman? roman autobiographique? - date de parution : Marguerite Duras a 70 ans, elle revient sur un épisode de jeunesse. - prix Goncourt L'extrait : - sous forme de petits paragraphes inégaux - thème non clair/

laisse rêver le lecteur. 1. L’organisation : Cette description est organisée selon le point de vue de l’auteur/narrateur. Les marques de sa présence sont définies par la présence du pronom personnel « je » (ex. je me souviens, je ne me rappelle pas, je me promenai…). En se déplaçant, l’auteur nous fait découvrir des éléments du paysage qu’il voit. Puisque l’auteur/narrateur se déplace, celui-ci respecte un cadre temporel (du soir jusqu’au lever du jour). 2. Les caractéristiques lexicales :

approfondirons avec l’innovation qu’apporte Balzac au roman. Dans cet incipit, le narrateur dépeint la maison Vauquer de manière réaliste. Tout d’abord, nous définirons le rôle de cet incipit. En effet, ce passage est très important pour la compréhension de la suite du roman. Cette partie du roman présente les personnages, le lieu, le de temps de l’action et l’intrigue qui donnera au lecteur en vie de continuer à lire. Le narrateur, externe malgré les similitudes entre Rastignac et Balzac, ancre son récit

son cauchemar lui rappelle des souvenirs des passages de son enfance lorsqu'elle se retrouvait sur le bord de l'eau avec sa famille. Tout ces souvenirs vont faire qu'elle va réussir à se sortir du pétrin au momment présent. Le narrateur Le narrateur est narrateur dieu.Il voit tout et sait tout . Il nous raconte l'histoire de Jessie. Tout au long du récit, nous avons le droit à la pensée de celle -ci. Plusieurs voix viennent la conseiller dans ses choix et l'aide à prendre les bonnes décisions

d'Honoré de Balzac, réaliste, écrit en 1835. Au bonheur des dames d'Emile Zola, naturaliste, écrit en 1883. Bel-Ami de Guy de Maupassant, naturaliste, écrit en 1885. Nous dégagerons le thème commum de ces quatre textes afin de démonter comment le narrateur met-il en scène le goût de la réussite qui anime ses personnages. Dans un premier temps, nous trouverons les points communs de ces textes, puis, nous finirons par étudier comment les personnages sont présenté dans leur ambition. Dans ces quatre

presque, ne cachant rien : ni leurs actes (qu’il pensait être à l’époque des actes de bravoure), ni les regrets, ni le regard à la fois nostalgique et désabusé, qu’il porte aujourd’hui sur ses actions passées. La passagère pose les questions et le narrateur répond, elle veut tout savoir, comment et pourquoi son père a mené cette vie qui l’amené à ce destin tragique. Alors Martin lui dit tout, des caves où ils préparaient leurs tracts, en passant par les fourgonnettes dans lesquelles ils échafaudaient

d’objets qui s’animent (une cafetière, un presse-papier). Ces indices visibles d’une vie « impossible » sèment le doute et l’angoisse. Exemple : le thème du vampire ou de « la morte vivante » dans Véra ou La Morte 2. Le thème du double obsédant Le narrateur se sent persécuté mais on ne sait jamais si ce double existe réellement ou si c’est le fruit de son imagination malade. Exemples : William Wilson de Poe, Le Horla de Maupassant, Le Chevalier double de Gautier. 3. Le pouvoir magique de certains