Graziella Narrateur

fait d'un point de vue objectif. C'est un paysage ingrat, le narrateur insiste sur l'obscurité, aucun détail n'est valorisant. Dans le premier paragraphe du roman on a une description de la platitude du paysage « plaine rase », « grande route de Marchiennes et Montsou, dix kilomètre de pavé coupant tous droit, à travers un champs de betteraves. », « le pavé se déroulait avec la rectitude d’une jetée ».Dans le deuxième paragraphe le narrateur montre plus l’aspect glacial du paysage « espoir que le froid

De la même façon, la métaphore «le temps n’a point de rive», au vers 35, compare le temps à une rivière qui coule sans cesse. Dans la première partie du poème, alors que le narrateur énonce les effets du temps, la plupart des verbes sont à l’indicatif, ce qui vient ajouter à la réalité du temps fugitif. Ensuite, le narrateur exprime le fait que le temps l’empêche de profiter des moments de bonheur en lui ravissant ce qu’il aime. Dans le passé, le poète vivait des moments heureux avec sa bien-aimée

impression de grisaille dont une sensation d’irréel, annonçant un fait divers, un récit mélancolique et funèbre sur un passé perdu, des êtres évanouis. La valeur symbolique du terrain vague est le vide des choses mortes de la photographie que le narrateur a pour mission de remplir (devoir et travail de la mémoire contredisant l’oubli). La photographie représente des Dora Bruder ; elle est liée au souvenir. Un récit dont le point de départ est un fait divers ne pourrait se passer de l’image argentique

angoissante, il y a très peu de lumière, des recoins très sombre, propice aux apparitions. D’ailleurs, Maupassant nous décrit très bien ce décore dans « Apparition » où il y a l’apparition d’une femme morte. Elle apparaît derrière le fauteuil, ou le narrateur était assit. Maupassant aime intégrer le fantastique dans des lieux humides comme le bord de Seine, la Normandie, Paris etc. Ces contes se déroulent toujours dans des endroits qu’il connaît très bien. Il est aussi attiré par les villes d’eau.

l'emporte et puis le mange, Sans autre forme de procès 1) Où est placée la morale ? Quelles en sont les conséquences ? 2) Commentez les sonorités du vers 4. 3) Comment est présenté le loup aux vers 5 et 6? 4) Le narrateur n’est pas neutre, à quoi peut-on le voir ? 5) De quelle manière s’exprime l’agneau ? Quel ton utilise-t-il ? 6) Commentez les deux derniers vers (temps, rythme, vocabulaire : « procès » ) 7) Comment comprenez-vous l’expression

consommateur se propose, grâce à son estomac dont la contenance est de deux litres exactement, de se substituer à la bouteille fournie par le patron. Mais la ruse pour boire gratis est trop évidente. Ils se rabattent alors sur un verre de lampe. Le narrateur, qui n'est jamais nommé (mais on peut déduire qu'il s'appelle Jacques étant donné que c'est une auto-biographie), se lie d'amitié avec un jeune homme d'origine juive, David Silbermann, élève dans le même lycée parisien. À la vue des brimades dont

Edmond Dantès et les personnages secondaires sont les trois hommes. Dans Les Misérables de Victor Hugo, le personnage principal est le forçat Jean Valjean, les personnages secondaires sont le matelot et la foule. 2. Dans les trois textes, le narrateur est omniscient. En effet, il connaît les pensées et les sentiments des personnages. Commentaire : La Chartreuse de Parme La Chartreuse de Parmes est un roman réaliste écrit pas Stendhal, de son vrai nom Henri Beyle, un écrivain romantique

CHAPITRE2 De sa cellule, le narrateur se souvient de son procès et de sa condamnation à mort. Il relate les circonstances de son procès et sa réaction au verdict fatal. CHAPITRE3 Le condamné semble accepter ce verdict. Il ne regrette pas trop de choses dan,s cette vie où tous les hommes sont des condamnés en sursis. Peu importe ce qui lui arrive. CHAPITRE4 Le condamné est transféré à Bicêtre. Il décrit brièvement cette hideuse prison. CHAPITRE5 Le narrateur nous parle de son arrivée

talent ! 'Récit d'un branleur' fait l'effet d'un antidépresseur. Une cure à suivre... comme son auteur ! Le monde – Hugo Marsan (21/04/2000) RÉCIT D'UN BRANLEUR, de Samuel Benchetrit Le titre est racoleur, mais le roman est vif et attrayant. Le narrateur crée une entreprise, la Société des plaintes, où chacun vient déverser le trop-plein de ses frustrations. C'est aussi l'histoire d'un solitaire qui se rit des pièges de la vie et finit par tomber amoureux. Divertissant, optimiste, anar, Récit d'un

récit dans un cadre, ou encore un espace temporelle. Par ailleurs, il utilise couramment des antonymes pour rendre l’histoire plus poignante. C’est au sein de ce contexte que le lecteur peut commencer à s’identifier au personnage. De plus, le narrateur à souvent tendance à décrire la situation à l’aide d’une focalisation zéro. Ainsi, il fait part au lecteur de tous ce qu’il voit, entend, et donne même son propre avis D’autant plus, il utilise une description sous forme d’ « entonnoir » pour renforcer