Graziella Narrateur

religieuses sont bonnes sœurs. L'une est vieille avec une face déformé par la petite vérole. L'autre,a une tête jolie et maladive rongée par cette foi dévorante. NARRATEUR: Le narrateur de cette nouvelle se situe en dehors de l'histoire, il emploie la troisième personne du singulier ou du pluriel. Il adopte un point de vue externe : le narrateur voit et sait ce que verrait objectivement une caméra. Le lecteur perçoit leurs sentiments par son jugement.Il est objectif car il décrit les faits et ne donne

sous forme de questions adressées au narrateur concernant ses personnages, questions auxquelles il répond par des platitudes du type "Par hasard, comme tout le monde", "Du lieu le plus prochain" ou ne répond pas en répondant par une nouvelle question : "Que vous importe ?", "Est-ce que l'on sait où l'on va ?" sont totalement atypiques dans la tradition narrative du XVIIIè siècle. Le ton est celui de la provocation amusée. On a l'impression que le narrateur se moque du lecteur en voulant le désintéresser

romantisme (solitude, expression des sentiments,..), le fantastique, l’orientalisme, le réalisme et l’autobiographique (nourrit par la vie de Balzac). Présentation rapide du passage : Description du jeu et du joueur type. Beaucoup de réflexions du narrateur, effet descriptif à l’incipit. Inscription dans le genre réaliste et autobiographique avec « Vers la fin du mois d’Octobre », il nous situe dans le texte mais il nous manque seulement l’année. Axes d’études : 1. Le texte répond-il aux

énigmatique et préoccupé ? Il s’agit, ici, d’un récit autobiographique ; le narrateur se souvient d’une de ses promenades et, non seulement il décrit le paysage, mais il raconte aussi le cours de sa pensée. D’ailleurs il introduit son récit par cette phrase : « Je me rappellerai toute ma vie une herborisation que je fis un jour du côté de la Robaila, montagne du justicier Clerc. ». Dans cette phrase introductive, le narrateur présente ce qu’il va raconter comme un souvenir gravé à jamais dans son

est au bilan … • connecteur « ainsi , voilà pourquoi » • le narrateur s’adresse au lecteur pour justifier l’état des lieux qu’il s’apprête a faire • on retrouve là le ton du début du livre : narrateur possède une position de surplomb par rapport aux autres . • il raconte ( récit rétrospectif) , mais certains indices prouvent qu’il y a participé 2) o reste du texte = description de l’apogée de l’épidémie o présence du narrateur plus discrète o description objective a l’imparfait « on »

il est apparemment déterminé à faire son aveu mais on remarque que cet aveu se fera au terme d’un échange douloureux entre les deux personnages et que l’aveu sera implicite (l.50=>fin). Dans la première partie du texte, c’est-à-dire l.1=>10, le narrateur décrit les signes extérieurs des tourments vécus par Raskolnikov ainsi que les sentiments contradictoires qui l’agitent. L’explication de ceci est donnée à la ligne 8 « Cela signifiait seulement que la minute était arrivée ». D’ailleurs le terme

part entière. Emily Brontë utilise de plus les caractéristiques du roman épistolaire pour nous faire bien ressentir certains personnages dans leur subjectivité. Le roman contient trois narrateurs, tous trois intradiégétiques : Lockwood, Nelly et Isabelle. Lockwood doit être considéré comme étant le narrateur principal de l’histoire, puisque c’est lui le premier à nous rapporter le récit, mais il est bien moindre en importance que Nelly. En fait, son personnage est presque tout à fait hétérodiégétique

écrite travail de recherche Durée d’étude du roman : 3 à 6 semaines selon les intentions du maître - Production écrite : des exemples d’activités : - trouver une autre suite - modifier le caractère d’un personnage - réécrire en changeant le narrateur, le point de vue, le temps, l’époque… - texte puzzle - résumé - réécrire en retirant des éléments, en ajoutant des éléments… - insérer un dialogue - écrire à partir d’une illustration - écrire à partir d’un titre - écrire la suite de la quatrième

« Les deux prêtres […] chez Mme de Nucingen » Le convoi funèbre de Goriot Le père Goriot Balzac Dans les pages précédentes, le narrateur a raconté la mort du père. Il a insisté sur la solitude de cette agonie : au retour de la soirée chez madame de Beauséant, Eugène a trouvé Goriot mourant. Christophe envoyé auprès des filles pour un secours d’argent n’obtient rien, Anastasie est en conférence avec son mari, Delphine dort. Les longues plaintes du père désignent l’objet de son mal : « Ne pas

aussi concerner plusieurs pages. L'incipit s'ouvre ici sur une description minutieuse et organisée, où le narrateur est omniscient, comme nous le prouve l'utilisation du « on », ainsi que la description faite « d'en haut », comme si on survolait l'endroit qui nous est présenté, comme nous montre le mot 's'élève » utilisé à deux reprises lignes 1 et 7. La description est ordonnée, le narrateur nous donne des indications spatiaux précis : « le côté orientale de la montagne » (ligne 1), puis des grands