Graziella Narrateur

italiens morts ( dans le journal en français, peu peuvent lire ). Ils se rendent à Charleroi et leur tonton est compris dans les 300. Ils croient aux rêves prémonitoires. Certains pensent à retourner chez eux car le travail est dangeureux. Le Père du narrateur était barbier avant. Du point de vue du père, les italiens (mine = boulot ) et les belges ( mine = vie ) mineurs sont différents. Les italiens souhaient + de sécurité dans les mines. Les syndicats viennent voir le père pour cela. 91-->105:

 temporelle  entre  récit  et  histoire.  Notre   tradition  littéraire  s’inaugure  par  un  effet  d’anachronie  caractérisé,  puisque,  dès  le  huitième   vers   de   l’Iliade,   le   narrateur,   après   avoir   évoqué   la   querelle   entre   Achille   et   Agamemnon,   revient  une  dizaine  de  jours  en  arrière  pour  en  exposer  la  cause  en  qq  vers  rétrospectifs

qui fait écho à celle du condamné dans la deuxième vignette. Une main, semblable à la sienne, lui tape sur l’épaule. La dernière vignette prend toute la dernière ligne. Les paroles prononcées par le juge sont reprises, mais cette fois c’est le narrateur qui se charge du rappel à la loi. Huit guillotines sont dessinées, les unes derrière les autres, en enfilade (on peut supposer qu’il y en a une infinité), avec un bourreau debout à côté de chacune d’elles. Un bourreau tranche la tête de celui des

garder cette dernière loin du besoin et du malheur. Malgré tout, le roman de Lacombe se termine plutôt bien, car les personnages décident de retourner à la campagne, là où, dans l’imaginaire québécois du 19e siècle, se trouve le Salut. Moraliste, le narrateur s’y adresse finalement directement au lecteur, pour lui expliquer le destin des Québécois et faire l’éloge de la pureté de leur âme. Ainsi, La terre paternelle dicte la voie à suivre pour une foule de romanciers québécois et il faudra attendre le

implicite - assez court, présentation dans les journaux (feuilleton : fragmentation d’un roman pour le présenter chaque jours dans un journal) D- L’EXTRAIT : « Le Forgeron » C’est un portait, une description sous forme de récit « je ». Le narrateur, écrivain, décide de s’écarter de la ville ( paris) et va dans un petit village, s’installant chez un artisan. Il est amené à le fréquenter pendant 1 an et observe ce forgeron exemplaire, infatigable, acharné au travail, créant des objets beaux et

d’elle un être franc (= libre) et cordial, assez agréable à regarder. La vigueur de ses gestes, malgré sa grosse taille, lui tenait lieu de légèreté : elle est l’incarnation de la volupté aux yeux de Jacob. Voilà tant de personnages définis par le narrateur comme de faux dévots, qui sont bien en chair, d’un embonpoint rassurant et d’un air bienveillant, agréable à regarder et qui inspirent la plus belle des sagesses. Si Jacob insiste sur leurs agréments naturels, la fine plume ironique de Marivaux

après une vie de souffrance est "emporté" alors que le riche est "entérré" .Les mots emporté et anges se réfèrent aux cieux alors que "entérré" se réfère à sous la terre. On a la présence d'antithèse "bonheur/malheur";"consolation/souffrance" Le narrateur décrit précisément la situation du riche cela a pour but de faire peur les croyants. L'opposition des personnages dans leur vie se confirme après la mort .Cette opposition ajouté à l'évocation de l'enfer sont des moyens de persuation pour faire

que je ne l’avais été par la fête » montre que le narrateur est surprit de la beauté de cette femme. Celle-ci met en valeur certaines parties de son corps, notamment ses épaules, son cou et sa gorge. Question 2 : Ce texte correspond au romantisme, le narrateur semble prit de passion et ne reste pas insensible au charme de la femme. La passion se fait sans parole, seules les sensations font places dans le texte. En effet, grâce à sa vue, le narrateur progresse dans la découverte du corps de la belle :

attentive montre que le péché vient en réalité du mari. Est-ce une invitation à revenir aux textes, comme le soutiennent les évangélistes « sola scriptura ». Marguerite de Navarre semble inviter son lecteur à entendre le message évangéliste, puisque le narrateur réussit in fine à convaincre le mari d’un retour à la vie, loin d’une attitude mortifère, contraire à l’évangile de Saint Matthieu ?

à 16 la scène d’exposition : le narrateur explique la situation initiale. Puis, des Vers 17 à 23 on a l’intervention du narrateur et sa première morale. Ensuite, on a des Vers 27 à 38 un coup de théâtre ; le cerf se fait menacer de se faire tuer. Et des Vers 39 à 51 un deuxième coup de théâtre avec un renversement de la situation : le cerf arrive alors à faire tourner la situation à son avantage. Puis, pour finir, des Vers 52 à 55 la deuxième morale du narrateur. En ce qui concerne les registres