Graziella Narrateur

6. La héroïne c’est fatma car : C’est elle qui attire le plus notre intention Elle a le plus de contact avec les autres personnages C’est elle qui agit le plus sur les actions qui fait évoluer l’intrigue 7. C’est un narrateur externe car : * Le narrateur se contente d’observer le plus objectivement possible les agissements des personnages du récit. * La nouvelle est écrit à la troisième personne du singulier (ex: fatma, elle) Elle correspondait bien aux exigences du concours

sentiments, émotions et pensées, englobe une grande partie de l’abondance de la narratrice. On apprend aussi, que le roman est divisé en deux parties avec deux narrateurs différents. L’une qui est Sultana et l’autre Vincent, pour montrer le point de vue et le rôle de chaque personnage de manières différentes. Grace à la séparation des deux narrateurs on constate qu’il existe un certain destin qui mène plus tard, à la rencontre des deux personnages. On remarque qu’au début du roman, la voix de la narratrice

qui annoncent jours et nuits les résultats des compétitions, les triomphes des vainqueurs, ces grands stades et ces pistes de courses. La ville est sans cesse reliée au sport. Mais aussi, cette nation va au delà des différentes nationalités, le narrateur énumère ces dernières au pluriel qui montre la collectivité, car ici le sport est un idéal commun, ce qui créer une nouvelle communauté. A W, on porte le même uniforme pour tout les habitants, quand on est nouvel arrivant, on reçoit un survêtement

apparition mystérieuse digne d’un compte de fée : « il parut alors une beauté a la cour qui attira les yeux de tout le monde » b) Un portrait classique Le portrait de l’héroïne est pris en charge par un narrateur omniscient (« elle était de la même maison », son père était mort»). Le narrateur évoque d abord la beauté de l héroïne « une beauté » qui est plus suggérée que décrite dans la suite du texte : »la blancheur de son teint » « ses cheveux blonds », « ses traits(…) réguliers » sont des indices

DOCUMENT 1 : Le narrateur, « Cyrano », voyage dans les Etats et Empires du Soleil. Il y rencontre une société d'oiseaux très bien organisée. Une pie vient lui expliquer pourquoi elle aime bien les hommes : ils l'ont élevée et nourrie. Le gouvernement du bonheur Elle achevait ceci, quand nous fûmes interrompus par l'arrivée d'un aigle qui se vint asseoir entre les rameaux d'un arbre assez proche du mien. Je voulus me lever pour me mettre à genoux devant lui, croyant que ce fût le roi

ainsi que l'emploi des 3 pronoms personnels (je, on, nous). Le Roi utilise l'argument d'autorité (ver 21-22). Renard=> symbole de la fourberie , il est futté car il flatte le roi ! Le loup qui intervient en dernier et 2 fois cruel. Le narrateur intervient et prend parti pour l'âne en jugeant son crime comme une peccadille (petit pêché) et finit sur une morale. C'est un tribunal. La Fontaine utilise l'argumentation indirecte, il dénonce le pouvoir absolu du Roi.  2. Variété, diversité

- le récit plaît : genre épistolaire persan à la mode, caprices (désirs et exigences soudains et irréfléchis) de la mode => plait et endort la méfiance du lecteur, car critique n’est en apparence pas audacieuse) Le narrateur est persan : 1ère personne, focalisation interne, verbes de sentiments, de pensée, de jugement => le lecteur s’identifie et adhère mieux => permet de prendre du recul et est étranger (champs lexical de l’étonnement) II] Mais cet artifice litteraire

sans renoncer à ses passions qui sont la chasse, le canotage et les femmes. Mais peu à peu, Maupassant éprouve un sentiment de malaise et est victime d’hallucinations. Il tente de se suicider et est interné et meurt en juillet 1893. Comment le narrateur parvient à installer le doute dans l’esprit du lecteur ? I) L’auteur du journal intime Amateur d’antiquités, celui-ci achète un meuble où se trouve une chevelure de femme blonde. Cette chevelure l’obsède tellement, qu’il va finir par voir

was you who died in the car.” “No, they won’t. You’re going to put him back in the car and set fire to it” “I can’t do that! Now wait…” “You’ll do it or I’ll have to get rid of you, Johnny. There’s no other alternative.” Della a dit le narrateur qu'elle refuse de signaler le décès de Paul à la police. Elle plongea sa main dans le sac et en sortit un automatique 0,38. «Vous resterez où vous êtes», dit-elle doucement, et pointé l'arme vers moi. Ni elle ni moi déplacée. «Ne pas faire

« dégoutait ». Pour Flaubert « quiconque pense bassement » est bourgeois. Rodolphe, Léon, L’heureux et surtout Homais incarnent la figure du bourgeois. Style et choix narratifs. Flaubert ne cherche pas à tout savoir de ses personnages comme le narrateur omniscient de Balzac. Il ne donne pas non plus une peinture exhaustive ( complète ) de ses personnages, mais procède par petites touches à travers les chapitres, qui se complètent et s'enrichissent au fur et à mesure. La description expressive est