Graziella Narrateur

maintenant une partie d’échecs. » Cela nous prouve bien que dans cette relation il y aura un gagnant et un perdant. * Dans le texte B, il s’agit de deux personnages qui ont également une relation amoureuse compliquée. Ces deux personnages sont le narrateur que le lecteur peut qualifier de maladif et très possessif vis-à-vis de sa compagne Albertine. Dans ce texte, nous pouvons voir qu’il est malheureux, cependant, il ne l’a veut que pour lui sans la partager avec d’autres personnes. En effet, «  Seul

dans La Divina Commedia. Le narrateur décrit ensuite la structure du camp et son règlement. Il évoque les différentes catégories de prisonniers et leur condition de travail. Durant ces 15 premiers jours passés dans le camp de Monowitz, Primo Levi montre l'horreur et la violence de ce monde impitoyable, il y évoque la première nuit dans le Block, le réveil, les problèmes d’hygiène, la distribution du pain qui devient une véritable monnaie d’échange. Le narrateur semble perdre la notion du temps

nombreuses allusions à la mort, l’emprisonnement, la tristesse, le meurtre et l’éloignement. L’action : Le narrateur nous laisse penser que l’action se déroule en été. L’année n’est pas précisée par l’auteur. L’action se déroule en Algérie (française), et au début du récit, elle se passe à Marengo (qui est à 80 km d’Alger), dans l’asile pour les personnes âgées. Le narrateur : Le narrateur est interne, donc à la première personne du singulier. Ce dernier se nomme M. Meursault. On ne connaît pas

précision des termes utilisés et l’usage d’un vocabulaire "technique" appartenant au discours explicatif («un quadrilatère forestier»l.6 ; «marqué M 312»l.7 ; «à deux cent trente-cinq pas, […]»l.7) en témoignent. Par ailleurs, au premier paragraphe, le narrateur semble donner des instructions sur la marche à suivre («Suivre ces traces qui contournent un épaulement […]») pour découvrir l’automne (qui sera présenté dans la suite de l’extrait), il agit comme un guide de montagne novice. Aussi, l’impératif est

inconnu. En 1932, l'introduction de la langue populaire en littérature reste rare et il est encore moins fréquent que ce soit le narrateur qui parle cette langue, d'habitude réservée aux seuls dialogues. Céline frappe fort. Voyage se divise en deux grandes parties. De façon très simpliste, la première relate les errances et les égarements de Bardamu, le narrateur, à travers le monde, et la seconde à son retour à Paris et sa carrière de médecin. Céline utilise sans retenue les données de son expérience

L'ami retrouvé Fred Uhlman C'est un roman autobiographique. Le livre raconte l'amitié impossible entre le narrateur Hans Schwarz, fils d'un médecin juif et possède une maison dans un quartier où habitent les gens aisés et la riche bourgeoisie de la ville. Hans est un garçon dont la vie ressemble à celle de tous les jeunes gens de son milieu. Il n’a pas d’amis au lycée et s’accommode assez bien des quelques moqueries et taquineries de ses camarades,et Conrad von Hohenfels, jeune aristocrate

si ... si notre successeur est réellement arrivé. » L'année suivante, Maupassant se remit à l'histoire, la refit entièrement à la première personne, sous forme d’un journal. ‘’Le Horla’’ (deuxième version) Nouvelle de 27 pages Le narrateur, qui se trouve chez lui, près de Rouen, écrit son journal. 8 mai : Étendu dans l'herbe, il contemple la nature printanière et la maison dans laquelle il a grandi. Il admire le cours ondoyant de la Seine et le passage d'un superbe trois-mâts brésilien

lectrices, nous nous posons tous la même question : est-il lucide ou fou ? Sujet divisé : Dans un premier temps, je traiterai les éléments révélant sa lucidité et par la suite, j’expliquerai les idées qui référent a la folie du narrateur. Idée principale 1 : Le narrateur est lucide, ce qui implique l’existence d’un être surnaturel, invisible et non palpable. Idée secondaire 1 : Les facultés de jugement, d’analyse et de réflexion de l’auteur sont inaffectées, en plus de ses points de vue d’intellectuelle

exprime toute la révolte du peuple noir. Il meurt en 2008. L’œuvre « Cahier d’un retour au pays natal » d’Aimé Césaire a été publié pour la première fois en 1939. Il s’agit d’un long poème en prose autobiographique. En effet, l’auteur est le narrateur et le personnage principal. Il écrit aussi à la première personne du singulier et s’adresse parfois au lecteur. L’auteur remplit des conditions du pacte autobiographique en se confessant parfois au lecteur et en garantissant sa sincérité. Par

du lien herméneutique, si l'on ose dire, qui existe de l'un à l'autre. B. Cassin formule alors une première remarque d'emblée aussi massive qu'elle est massivement ignorée. Ulysse occupe la même place, et inversement, que « l'homme qui sait », le narrateur en première personne du Poème auquel s'adresse la déesse au fragment 1. Ils occupent une même place physique, liés et enclos tous deux, fermement tenus par nécessité. Et ils occupent à l'identique la même place, du fait de leur assignation à cette