Grégoire Ier

seule voix. Comprenant son échec, Jean XXIII[->4] s'enfuit le 20[->5] mars[->6] 1415[->7]. Les Pères conciliaires adoptèrent le 6 avril[->8] le décret Hæc sancta, affirmant la supériorité du concile sur le pape. Jean XXIII[->9] fut arrêté et déposé. Grégoire XII[->10], après avoir reconvoqué le concile[->11] par la voix de son légat[->12], démissionna par procurateur le 4[->13] juillet[->14] 1415[->15] au sein du concile[->16]. Sigismond[->17] fit avancer ses troupes en Espagne[->18] et au Portugal[->19]

aussi appelée l’Église avec un « É » majuscule. La réforme grégorienne est une politique menée sous l'impulsion de la papauté. Commencée sous le pontificat du pape Léon IX, elle entend entreprendre le redressement de l'Église, mais c'est le pape Grégoire VII (1073-1085) qui a laissé son nom à la réforme. Elle comporte trois projets principaux : - Affirmation de l'indépendance du clergé : les laïcs ne peuvent plus intervenir dans les nominations, ce qui entraine des conflits entre le pape, les rois

détails donne à penser qu'il évoluait à la Cour et a eu l'occasion de discuter avec des administrateurs du royaume ou des ambassadeurs de retour de mission. C'est à ce second rédacteur qu'on doit l'addition des Livres I à IV de l'Histoire des Francs de Grégoire de Tours ainsi que l'écriture de la préface..Cette chronique présente donc des événements contemporains qui sont ici décrits. Contexte : Le texte se situe après la mort de Thierry II , roi de Bourgogne et d’Austrasie , petit-fils de Brunehaut

1 L’ÉGLISE ET LA FOI DE LA RÉFORME MONASTIQUE À BONIFACE VIII Introduction La période étudiée ici est centrée sur ce que l'on a coutume d'appeler la "réforme grégorienne", du nom d'un de ses principaux acteurs, le pape Grégoire VII (1073-1085), et qui prit forme de 1049, avec l'élection du pape Léon IX, pour se parachever avec le premier concile de Latran en 1123. Ce moment grégorien est central mais en lui ne se résume pas toute l'histoire de l'Église de ces années là, contrairement à ce qu'affirmaient

d'Alexandrie [docteur depuis 1568], Éphrem le Syrien [1920], Hilaire de Poitiers [1851], Cyrille de Jérusalem [1882], Basile le Grand [1568], Grégoire de Nazianze [1568], Ambroise de Milan [1215], Jean Chrysostome [1568], Jérôme [1215], Augustin [1215], Cyrille d'Alexandrie [1882], Léon le Grand [1754], Pierre Chrysologue [1728], Grégoire le Grand [1215], Isidore de Séville [1722], Jean Damascène [1890]) * La patristique et la patrologie La connaissance des Pères de l'Église

Clovis Ier, en francique Chlodowig[2],[Note 1](prononcé probablement [xlod(o)wɪk] ou [xlod(o)wɪç]), en latin Chlodovechus, né vers 466 et mort à Paris le 27 novembre 511[1], est roi des Francs saliens, puis roi de tous les Francs de 481 à 511. Issu de la dynastie des Mérovingiens, il est le fils de Childéric Ier, roi des Francs saliens de Tournai, et de la reine Basine de Thuringe. Brillant chef militaire, il accroît considérablement le territoire du petit royaume des Francs saliens dont il hérite

COMMENTAIRE DU TEXTE «vase de Soisson», Grégoire de Tours, Histoire des Francs. La chronologie du règne de Clovis est très mal connue. L'essentiel de ce que nous en savons provient du récit rédigé à la fin du vie siècle par l'évêque Grégoire de Tours, né près de trente ans après la mort de Clovis. Grégoire de Tours est donc un évêque et un historien du Vième siècle qui admirait énormément Clovis. Il a rédigé Histoire des Francs  sous la forme de dix livres dans lesquels il retrace effectivement

n’hérite de son père qu’un territoire modeste et par ses armes il parvient a étendre ce royaume. né vers 466 il est roi des Francs saliens, puis roi de tous les Francs de 481 à 511. Issu de la dynastie des Mérovingiens, il est le fils de Childéric Ier. Il se lance dans des conquêtes et parvient à étendre son royaume au détriment des romains qui se sont regroupés dans une enclave sous l’autorité de Sygarius qui en 486 est battu à Soissons par Clovis. → Clovis parvient également a ce rendre maitre

dont la tâche était plus relevée, célébra la'vie'd'Antonin; Domitien parla de sa douleur sur la tombe du frère qu'il venait d'assassiner. Avec le christianisme fut réhabilitée et purifiée l'oraison funèbre. Dès le ive siècle, saint Grégoire de Nazianze, saint Grégoire de Nysse, saint Ambroise et saint Jérôme donnèrent à la douleur une admirable expression religieuse. Au moyen âge, saint Bernard fit entendre des plaintes touchantes sur la mort d'un frère chéri, et l'on pourrait citer d'autres sermons

eau fraîche d'anciennes taches dégoûtantes. Lorsqu'il se présente au baptême, le saint de Dieu l'interpelle d'une voix éloquente en ces termes : « Courbe la tête avec douceur, Sicambre ; adore ce que tu as brûlé ; brûle ce que tu as adoré ! » 1 Grégoire de Tours, Histoire des Francs, éd. Poupardin, p. 61-63 1 COMMENTAIRE − − − − − − − − Efforts inutiles de Clotilde pour convertir Clovis. La bataille contre les Alamans (le nom de Tolbiac n'a pas cité) la 15e année du règne (496/7). Le « voeu