Grégoire Ier

6e-milieu 7e) ! ! ! ! ! ! On a sur cette époque très peu de sources, et qui ne parlent que de meurtres et d’assassinats. Grégoire de Tours en est le principal auteur, ainsi que Frédégaire, deux sources largement postérieures aux événements qu’elles décrivent. On a aussi quelques actes administratifs de la dynastie mérovingienne, dont un diplôme de Dagobert Ier.! La période a fait l’objet de révisions historiographies récentes. Cette période a été longtemps considérée comme une époque d’extrême

torsion des formes, le spectaculaire et les effets d'illusion. Il se concilia par son talent précoce la faveur du pape Paul V. Favori des papes, il devient l'architecte de la basilique Saint-Pierre. Il fut employé sans interruption par les pontifes : Grégoire XV le nomma chevalier ; Urbain VIII le combla de richesses ; plutôt en disgrâce sous le pontificat d'Innocent X il n'en conçut pas moins la fontaine des quatre fleuves de la place Navone. On lui doit le baldaquin aux colonnes torses du maître-autel

que sur une partie de l'Allemagne et de la Suisse, du Ve siècle jusqu'au milieu du VIIIe siècle. Cette lignée est issue des peuples de Francs saliens qui étaient établis au Ve siècle dans les régions de Cambrai et de Tournai, en Belgique (Childéric Ier). L'histoire des Mérovingiens est marquée par l'émergence d'une forte culture chrétienne parmi l'aristocratie, l'implantation progressive de l'Église dans leur territoire et une certaine reprise économique survenant après l'effondrement de l'Empire

Histoire générale et personnalités[modifier] Le baptême de Clovis, d'après le Maître de Saint Gilles, ca. 1500 Le premier représentant historique de la dynastie mérovingienne, Childéric Ier, fils de Mérovée, dominait l'ancienne province romaine de Belgique Seconde au nom de l'Empire. Son fils Clovis, roi en 481, n'est lui-même à l'origine qu'un des nombreux petits rois sous le gouvernement desquels se répartissaient les Francs Saliens. Son royaume, qui devait correspondre à peu près à l'étendue

des institutions Dissertation : La conception du pouvoir à l'époque des Mérovingiens. Les Mérovingiens forment la dynastie de rois francs qui régna sur la Gaulle de 481 à 751. Cette dynastie fut fondée par Clovis, fils de Childéric Ier et, selon la tradition, petit-fils de Mérovée qui a donné son nom à la dynastie. Nous allons nous centrer sur la conception du pouvoir à l'époque des Mérovingiens. En effet, après la chute de l'empire romain d'Occident en 476, l'Europe a connu une période

pourrait assimiler à un "décret juridique" quand à la forme rédactionnelle. Ce texte n'a pas eu de promulgation officielle (ce n'est pas du droit ecclésiastique officiel, droit canonique) Auteur : Probablement le Pape Grégoire VII, ou tout du moins initié par lui Grégoire VII (1073-1085) principal acteur de la réforme grégorienne lutte contre le nicolaïsme : célibat ecclésiastique lutte contre la simonie : achat et vente de biens spirituels en particulierles charges ecclésiastiques

(séculier et régulier) assurent le salut de la société. En contrepartie, les laïques leur doivent protection et subsistance ; impôts instauré -> dîme (qui représente 1/10ème des récoltes) L’Eglise est dirigée par le pape depuis Rome ; XIIème siècle, Grégoire VII qui lance la réforme grégorienne pour corriger les abus de l’Eglise ( le nicolaïsme, fait de ne pas respecter le célibat ; lutter contre le concubinage ou le mariage des prêtres ; et la simonie, fait de vendre des sacrements, d’acheter sa change

prouve encore une fois les rapports privilégiés avec les papes d'Avignon. Mais la crise pontificale au tournant des XIV et XV siècles va diviser la chrétienté catholique. En décidant, en 1376, de ramener à Rome le siége de la papauré, le pape Grégoire XI (succésseur de Innocent VI) montre qu'il a une certaine conscience de la crise. Il souhaite rendre une part de son prestige en satisfesant l'aspiration d'un grand nombre de chrétiens qui a l'image de Catherine de Sienne, restent fidèle à une conception

Extrait de la Vita Prima, il parle de la vie de François d'Assise, redigé par Thomas de Celano un homme très érudit qui est entré dans l'ordre franciscain vers 1214-1215. C'est un texte hagiographique. Ce texte a été commandé et approuvé par le Pape Grégoire IX (1227-41). Ce texte correspond a 2 choses : La bulle de canonisation de François (reconnu comme saint) et en plus au programme réformateur du pape. Cette vie développe l'image d'un saint qui avait passé sa jeunesse dans le péché, qui s'est ensuite

plus « philosophe » de tous les Pères, était Grégoire de Nazianze «ούτε ουσίας όνομα ο Πατήρ, ω σοφώτατοι, ούτε ενεργείας, σχέσεως δε και του πώς έχει προς τον Υιόν ο Πατήρ ή ο Υιός προς τον Πατέρα» (PG 36.96). Le mot «σχέσις» fait ici référence à la façon dont, comment. Dans ce cas-là, c’est la relation qui joue le rôle primodial et pas l'essence. Ainsi, nous voyons le saut de personnalisme sur l’ essentialisme. Un autre père « philosophe » Grégoire de Nysse «η του πατρός κλήσις ουκ ουσίας εστί