Gresham

illimité et la frappe libre). Cependant ce système va connaître des problèmes d’applications -> on installe des rapports métal déséquilibrés entre argent et or. L’or va perdre de sa valeur au profit de l’argent. L’argent est donc thésaurisé (loi de Gresham) et les gens veulent se débarrasser de l’or. L’argent n’aura plus de frappe libre et de pouvoir libératoire illimité pour les pièces de monnaie. On entre dans un bi-métallisme «boiteux». La France entre donc dans un système d’étalon or. Les contraintes

départager le scientifique de l’idéologique. L’historien doit être un vrai connaisseur de théories économiques, un habile arbitre entre les idées économiques. L’histoire de la pensée économique rend modeste tout chercheur ; souvent une découverte (Gresham : la mauvaise monnaie chasse la bonne) avait déjà été anticipée par Al Makrizi deux siècles avant. Cette perspective historique permet de mieux situer sa réflexion et ses découvertes, en évitant au nom du refus de citer, le simple plagiat des grands

constitue ni une caractéristique spécifique, ni une qualité essentielle de la monnaie. En effet, d'autres biens, comme les métaux précieux encore aujourd'hui, peuvent parfois remplir ce rôle bien mieux que la monnaie, et comme le suggère la loi de GRESHAM, cette caractéristique serait d'essence non monétaire puisque « la mauvaise monnaie chasse la bonne ». Autrement dit, dans le contexte de pluralité des espèces et de mutations monétaires de l'Occident médiéval, le fait d'être une bonne réserve de

ou qui était fabriqué avec un métal pauvre dans les alliages avait tendance à s’imposer dans les échanges alors que les autres monnaie métalliques, notamment celles qui étaient le plus riche en métal précieux était thésaurisées. C’est la loi de T. GRESHAM. La mauvaise monnaie chasse la bonne celle qui est thésaurisées. Cette monnaie métallique constitue la monnaie divisionnaire, cette monnaie divisionnaire, représente 1% des formes monétaires actuelles. (3) la monnaie dématérialisée est représentée

trésor effectuait un « réhaussement des monnoies », ce qui correspondait à une dévaluation de l’unité de compte (1 écu = 6 livres 1 louis = 30 livres). (Pour 60.000 livres, le trésor empruntait 12.000 écus et n’en remboursait que 10.000) La loi de Gresham (1519 -1579), veut que « la mauvaise monnaie chasse la bonne ». Lorsqu'il y a deux monnaies en circulation, les agents économiques thésaurisent la « bonne », et n'utilisent plus que la « mauvaise ». Malestroit attribue cette augmentation nominale

illimité et la frappe libre. Cela signifie qu’on peut-être libéré de toutes nos dettes par cette étalon. Et la frappe libre c'est-à-dire qu’on peut porter notre lingot d’or ou d’argent et nous frappe des pièces. Le problème est qu’il y a eu la loi de Gresham dit que la mauvaise monnaie chasse la bonne. Donc il vaut mieux acheter avec la mauvaise monnaie. Devant ces problèmes on va un peu supprimer l’étalon argent. En 1850 il y a la première crise du bimétallisme qui apparait donc l’argent va être la bonne

si tous les vendeurs ont la même tactique, on aboutit à la loi de Gresham : les mauvais produits chassent les bons du marché33. tel-00420846, version 1 - 29 Sep 2009 consommateur qui consomme uniquement des diamants est aussi rationnel qu’un consommateur qui ne consomme que du pain (Lancaster, 1966, p. 132). 33 Il est intéressant de noter que cette loi date du 16ième siècle du nom de l’expert financier anglais Sir Thomas Gresham qui expliqua le mécanisme de cette loi à la reine Elizabeth : si

d’accommodement entre des intérêts différents. Ce processus inclut les institutions officielles et les régimes dotés de pouvoirs exécutoires tout aussi bien que les arrangements informels. Gresham (loi de). Loi monétaire selon laquelle "la mauvaise monnaie chasse la bonne". Attribuée à tort à Sir Thomas Gresham, banquier anglais du XVIè siècle et conseiller du roi d'Angleterre Edouard VI, et formulée antérieurement par Aristophane, cette loi traduit la constatation suivante : lorsqu'il existe

veulent pas commercer là ou il y a une mauvaise monnaie. Il reconnait toutefois certaines exceptions qui pourraient aussi entrainer des mutations. * Pénurie de métal * Guerre et défense de l’Etat Les idées d’Oresme préfigurent la loi de Gresham qui dit que la mauvaise monnaie chasse la bonne (loi du XVIème). Constatation empirique : quand deux monnaies en circulation, les agents économiques thésaurisent la bonne monnaie et n’utilisent plus que la mauvaise dans les échanges. III) Les

l’état aura le monopole de l’émission * Circulation de monnaies différentes, la valeur de la pièce dépendait de son poids et de sa nature, cependant, le rognage et l’usure menaient immanquablement à une dévaluation de la pièce. * Loi de Gresham: « la mauvaise monnaie (a le contrôle) chasse la bonne » [qui est thésaurisée] La monnaie étrangère, on les converti, donc pas de caractère faussaire mais le problème est la monnaie faussaire, circulation de monnaie différente, on a tendance à garder