Grotesque De Verlaine

ALFRED DE MUSSET (1810­1857) Charles Baudelaire : Jeunesse et débuts littéraires THÉOPHILE GAUTIER (1811­1872) CHARLES BAUDELAIRE (1821­1867) T. DE BANVILLE (1823­1891) SULLY PRUDHOMME (1839­1907) STÉPHANE MALLARMÉ (1842­1898) FRANÇOIS COPPÉE (1842­1908) PAUL VERLAINE (1844­1896) NÉRÉE BEAUCHEMIN (1850­1931) ARTHUR RIMBAUD (1854­1891) RAINER MARIA RILKE (1875­1926) G. APOLLINAIRE (1880­1918) JULES SUPERVIELLE (1884­1960) ANTONIN ARTAUD (1896­1948) LOUIS ARAGON (1897­1982) JIM MORRISON (1943­1971) PLUS DE POÉSIE

littéraire qui prône de laisser largement place à l'expression des sentiments et des sensations en abolissant les règles strictes de la littérature classique. Il propose de jouer sur les contrastes, sur l'opposition du beau et du laid, du sublime et du grotesque. Il préconise la liberté et le naturel en art. Le Romantisme s'exerce dans les romans, la poésie, ainsi que le théâtre. (Victor hugo, de lamartine, alfred de vigny,chateaubriand) Réalisme :apparu en Europe dans la seconde moitié du 19 eme siecle

images poétiques - l’utilisation d’un langage énigmatique Manifestes et écrits théoriques : - Le manifeste du symbolisme (Moréas, 1886) - Avant-dire au traité du verbe (Mallarmé, 1886) - Traité du verbe (René Ghil, 1886) Ecrivains et uvres : - Verlaine, Sagesse (1880) - Laforgue, Les complaintes (1885) - Mallarmé, Poésies (1899) Le surréalisme Epoque : Première moitié XXème siècle Principes : Le surréalisme recherche à créer un langage poétique qui exprime la puissance du rêve et du désir

C’est l’une des œuvres les plus importantes de la poésie moderne, empreinte d’une nouvelle esthétique où la beauté et le sublime surgissent, grâce au langage poétique, de la réalité la plus triviale et qui exerça une influence considérable sur Paul Verlaine, Stéphane Mallarmé ou encore Arthur Rimbaud. [pic] [pic] Baudelaire par Etienne Carjat Première édition annoté de la main de l'auteur -Arthur Rimbaud Arthur Rimbaud et ses poèmes sont très connus dans

Résumé ● À travers le personnage de des Esseintes, Huysmans n'a pas seulement résumé et immortalisé les torpeurs, les langueurs, les névroses vénéneuses et perverses du siècle finissant. Car des Esseintes est aussi un héros kierkegaardien, à la fois grotesque et pathétique, une des plus fortes figures de l'angoisse qu'ait laissées notre littérature. Fils spirituel de René et de la génération du mal du siècle, il annonce à bien des égards le Bardamu de Céline et le Roquentin de La Nausée. ● Huysmans

romantique et constitue le manifeste de la nouvelle école. Il dira, à ce propos, dans la préface de Cromwell : Elle [la poésie] se mettra à faire comme la nature, à mêler dans ses créations, sans pourtant les confondre, l’ombre à la lumière, le grotesque au sublime, en d’autres termes, le corps à l’âme, la bête à l’esprit ; car le point de départ de la religion est toujours le point de départ de la poésie. […] nous venons d’indiquer le trait caractéristique, la différence fondamentale qui sépare

romantique et constitue le manifeste de la nouvelle école. Il dira, à ce propos, dans la préface de Cromwell : « Elle [la poésie] se mettra à faire comme la nature, à mêler dans ses créations, sans pourtant les confondre, l’ombre à la lumière, le grotesque au sublime, en d’autres termes, le corps à l’âme, la bête à l’esprit ; car le point de départ de la religion est toujours le point de départ de la poésie. […] nous venons d’indiquer le trait caractéristique, la différence fondamentale qui sépare

l'attendrissement, au contraire, est silencieux ; il nous réveille, il nous isole de tout. Je sors du spectacle meilleur que je n'y suis rentré‚ par cela seul que j'ai été attendri." Hugo : Cromwell (1827), Pr‚face "Faire comme la nature, mêler (...) le grotesque au sublime, le corps … l'âme, la bête … l'esprit." "Dans le drame, tout s'enchaîne et se déduit ainsi que dans la réalité." "Contre l'unit‚ de temps : "Toute action a sa dur‚e propre comme son lieu particulier." Musset : De la tragédie

écrit à partir d’une contrainte préalable imaginée par l’auteur lui-même à la manière de l’Oulipo. Apollinaire et ses méthodes - Ligne du temps: 16 au 19e: Romantisme (Hugo, Lamartine), Réalisme = Parnasse (Hérédia). 19 au 20e: Symbolisme (Verlaine, Maeterlinck), Dadaïsme, Surréalisme (Char, Aragon), Oulipo (Perec). - Situation des oeuvres et idées d’Apollinaire: 1) Symboliste, il acquiert ensuite un style très personnel. (Il n’appartient à aucune école poétique) 2) Ses textes ont beaucoup

que les empereurs romains morts recevaient pour être diviniser. Après leur apothéose, les empereurs reçoivent un culte. Donc cette double valorisation incroyable, ridicule, grotesque, donne lieu a la 4eme parole rapportés : les fameux 2 cris des courtisans « Miracle ! Apothéose ». Le cœur antique, le parachèvement du grotesque. Conclusion : Si on rajoute à tout cela la voix du narrateur et les commentaires des fabulistes, on a une POLYPHONIE à valeur ironique. Séance 4 : texte 4 Chapitre